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- Uber comparaît devant la justice britannique ce lundi pour faire appel de la perte de son permis d’opérer à Londres.
- L’affaire a des ramifications importantes parce que Londres représente pratiquement toute l’activité d’Uber au Royaume-Uni.
- L’autorité de régulation des transports de Londres a décidé de révoquer la licence d’Uber en raison de son bilan en matière de sécurité — ce qui signifie qu’il y a une chance que Uber puisse être expulsé de Londres.
- Mais Uber a une chance de renverser la décision parce qu’elle a apporté de manière proactive des changements positifs dans son activité.
Le combat d’Uber pour continuer d’opérer Londres commence sérieusement lundi matin, dans une affaire judiciaire qui a des ramifications pour l’ensemble de ses activités.
C’est un test majeur pour le directeur général Dara Khosrowshahi, et les changements qu’il a mis en place pour la société de VTC afin d’apaiser les critiques publiques et réglementaires dans le monde entier.
Les représentants d’Uber comparaîtront devant le tribunal des magistrats de Westminster à Londres pour faire appel de la perte de son permis d’opérer dans la capitale britannique. Le régulateur des transports de Londres, TfL, a révoqué la licence en septembre dernier.
L’audience devrait durer trois jours, et nous ne saurons pas nécessairement si Uber a obtenu sa licence à la fin du processus. L’appel pourrait être porté devant une cour supérieure.
Uber continue d’opérer à Londres entre temps, mais s’il perd ce processus, il devra quitter Londres.
Uber affirmera être « en mesure de et propre à » avoir un permis
Quand il a annoncé sa décision en septembre, TfL a publié un document de 21 pages expliquant pourquoi il ne pensait pas qu’Uber était « en mesure de et propre à » détenir une licence d’opérateur. Plus précisément, il s’inquiétait des antécédents de la compagnie en matière de sécurité des passagers, sa façon d’évaluer les conducteurs et son prétendu antécédent d’utilisation de logiciels pour échapper aux autorités américaines.
Des sources s’attendent à ce qu’Uber pointe vers les changements majeurs opérés au Royaume-Uni et en Europe depuis septembre.
Cela comprend le recrutement d’un ancien dirigeant d’Amazon en tant que nouveau patron de l’Europe du Nord et la nomination de la femme d’affaires Laurel Powers-Freeling comme nouvelle présidente non-exécutive indépendante. L’entreprise a également recruté cette année l’ancienne responsable du voyage d’Acromas Susan Hooper et l’entrepreneur des médias Roger Parry à titre de directeurs non exécutifs.
Uber s’engage également à signaler tout incident grave directement à la police.
Yalayolo Magazine comprend que le tribunal ne va pas décider si TfL a pris la bonne décision en septembre. Plutôt, il décidera si Uber est maintenant « en mesure et propre à » détenir une licence.
La compagnie a déjà suggéré qu’on pourrait lui donner une licence de 18 mois, contrairement à sa licence habituelle de cinq ans, afin qu’elle puisse montrer qu’elle a apporté des changements positifs.
Version originale: Shona Gosh/Yalayolo Magazine UK
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