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A l’occasion du dernier épisode de son Last Week Tonight sur HBO, John Oliver, que l’on avait déjà connu très inspiré sur la neutralité du net, s’attache cette fois-ci à expliquer les cryptomonnaies. Car, comme le résume très bien l’humoriste anglais, le bitcoin c’est finalement « tout ce que vous ne comprenez pas sur l’argent, combiné à tout ce que vous ne comprenez pas sur les ordinateurs ».
Une vidéo à voir absolument.
WeWork voit les choses en grand et à l’international pour la Flatiron School. Le géant américain du coworking a ainsi annoncé qu’il allait proposer des cours dispensés par l’école new-yorkaise de codage, rachetée par WeWork l’an passé, à Londres dès juin prochain. L’antenne londonienne de l’école sera basée à Finsbury Pavement, l’un des sites de WeWork dans la capitale anglaise. La formation proposera deux cursus : l’un à plein temps consacré à l’ingénierie logicielle, qui durera 15 semaines, et l’autre à temps partiel, qui s’étalera sur 10 semaines, pour devenir développeur web.
C’est la première fois que la Flatiron School s’exporte physiquement en dehors des États-Unis. Jusqu’à maintenant, l’école avait déjà proposé des cours en ligne à l’international mais jamais des cours physiques. Il s’agit également de la première percée significative de WeWork dans l’éducation depuis le rachat de la Flatiron School en octobre dernier.
En parallèle de l’arrivée de l’école à Londres, WeWork lance également un programme de bourses d’études, qui octroiera un million de dollars en frais aux personnes de groupes sous-représenté dans l’univers de la Tech pour s’inscrire à des cours dispensés par la Flatiron School. Ce programme sera déployé en collaboration avec des groupes locaux, comme AllBright, Code Bar et Women Who Code.
Lyft poursuit son bonhomme de chemin outre-Atlantique. Le rival d’Uber aux États-Unis a ainsi annoncé avoir réalisé 1 milliard de dollars en 2017. Certes, cela reste bien loin des plus de 7 milliards de dollars de revenus engrangés par Uber l’an passé, mais cela démontre la résistance de Lyft, qui, malgré la stratégie agressive de son conçurent (capacité de financement astronomique, espionnage commercial…) parvient à rester dans la course et même à progresser sur le marché américain.
Preuve de la bonne forme de Lyft, la firme américaine affirme que son chiffre d’affaires a progressé de 168% sur un an au quatrième trimestre 2017, soit quasiment trois fois plus que celui d’Uber, qui s’est contenté d’une progression de 61% sur la même période. L’an passé, Lyft a levé plus de deux milliards de dollars, notamment auprès d’Alphabet, et a réalisé une première incursion à l’international, à Toronto. En 2018, Uber, qui a perdu 4,5 milliards de dollars l’an passé, devra donc composer avec un rival qui se porte de mieux en mieux…
La sentence est tombée. Broadcom, le géant des semi-conducteurs, ne pourra pas mettre la main sur le fabricant de puces pour smartphones Qualcomm. Donald Trump a décidé de suivre les recommandations du Comité américain sur les investissements étrangers (CFIUS) qui avait été saisi par Qualcomm qui s’opposait à cette fusion. Selon le décret présidentiel, ce rachat serait une menace pour la sécurité nationale.
Le président américain affiche encore une fois son protectionnisme, sur fond de bataille technologique avec la Chine. Le siège de Broadcom est à Singapour. Le CFIUS craignait notamment que la société américaine Qualcomm ne poursuive pas ses investissements dans la 5G après avoir été rachetée par Broadcom.
Ce n’est pas la première fois qu’un président américain prend une telle décision. Mais cette fois-ci, fait rarissime, elle a été prise avant même que les deux parties soient parvenues à un accord. En septembre dernier, Donald Trump avait déjà empêché la prise de contrôle de Lattice, fabricant de microprocesseurs, par le fonds d’investissement Canyon Bridge Capital Partners car il était financé par des capitaux chinois.
L’entreprise Qualcomm a envoyé un communiqué très succinct où elle annonce avoir « reçu l’ordre [de la Maison Blanche, Nldr] de convoquer à nouveau son assemblée annuelle des actionnaires de 2018 le plus tôt possible, en fonction de la période de préavis de 10 jours requise, soit le 23 mars 2018 ». L’entreprise rappelle également que sur « les termes de l’ordonnance présidentielle, tous les candidats aux postes d’administrateur de Broadcom sont également disqualifiés pour se présenter aux élections en tant qu’administrateurs de Qualcomm ». Cette fusion aurait constitué la plus grosse opération dans le secteur des semi-conducteurs.
Dropbox, l’entreprise américaine qui développe un service de stockage en ligne, a fixé le prix de son introduction en Bourse. Celui-ci se situe dans une fourchette de 16 à 18 dollars par action. Sa valorisation pourrait alors atteindre plus de 7 milliards de dollars. Un beau montant, mais moins élevé que son dernier tour de table de 2014 qui valorisait la société à 10 milliards de dollars.
De son côté, la branche de capital-risque de salesforces.com a accepté d’acheter pour 100 millions de dollars d’actions ordinaires de catégorie A de Dropbox dans le cadre d’un placement privé. Cela à un prix par action similaire à celui de l’IPO, comme l’annonce Reuters.
Côté entreprise, Dropbox a concédé une perte de 111,7 millions de dollars en 2017, toutefois moins élevée que l’année précédente (210,2 millions de dollars en 2016). Le chiffre d’affaires de la société s’est élevé à 1,11 milliard de dollars en 2017. D’après le document fourni par Dropbox aux autorités boursières américaines, la société cherche à lever jusqu’à 500 millions de dollars lors de son entrée en Bourse sous l’indice Nasdaq.
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