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Uber serait en discussions avec son rival Careem au Moyen-Orient afin de combiner leurs activités voire même de racheter l’entreprise tout entière, selon Bloomberg.
Une source a confié à l’agence qu’Uber souhaiterait avoir au moins plus de la moitié du nouvel ensemble. Pour l’instant, aucun accord ne serait trouvé.
Ces discussions arrivent alors que Careem cherche à lever 500 millions de dollars, valorisant potentiellement l’entreprise qui intervient dans 10 pays et 100 villes à 1,5 milliard de dollars.
Le Moyen-Orient, l’Afrique et l’Inde font partie des territoires où Uber veut s’étendre après avoir dû faire machine arrière en Asie du Sud-Est face à Grab et Didi — avec lequel il a finalement fait une alliance dans cette région.
Careem est présent dans 14 pays et 100 villes, de l’Afrique du Nord au Pakistan en passant par Gaza. Son principal marché est l’Arabie Saoudite. Ça tombe bien: le fonds souverain d’Arabie Saoudite est d’ailleurs un des investisseurs d’Uber — il a ainsi pris une participation de 3,5 milliards de dollars (2,9 milliards d’euros) dans le spécialiste des VTC.
Et l’Arabie Saoudite soutient aussi VisionFund, de SoftBank, qui est devenu actionnaire d’Uber en toute fin d’année dernière pour 1,25 milliards de dollars à la faveur d’une décote importante.
L’IPO d’Uber ne devrait pas se faire avant 2019, après une année 2017 désastreuse, où l’entreprise a amassé de grosses pertes.
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