[ad_1]
De Ehang 184 à SureFly en passant par UberAir, Vahana (d’Airbus), Joby et Volocopter, voici une sélection des huit projets de drones taxis qui ont les meilleures chances d’aboutir dans un avenir proche.
Ehang 184 : ce drone taxi vous emmène partout en un clin d’œil L’idée d’un taxi personnel et autonome est séduisante, surtout si celui-ci est capable de voler comme le Ehang 184. En plus de pouvoir se déplacer rapidement et d’être intégralement électrique, le véhicule ne demande aucune connaissance de pilotage. Le voici présenté en vidéo.
Le développement de drones taxis suscite actuellement beaucoup d’enthousiasme, avec plus d’une dizaine de projets. L’idée que nous puissions un jour nous déplacer dans de tels engins pour effectuer de courts trajets d’un point à l’autre d’une ville semble encore difficile à envisager. Pourtant, des entreprises aussi puissantes qu’Airbus, Boeing ou encore Uber y travaillent et y consacrent des moyens importants.
C’est le transport urbain du futur qui se dessine devant nous, propre et moins bruyant nous assure-t-on. La question n’est plus de savoir « si » mais plutôt « quand » des services de drones taxis verront le jour, le principal obstacle à un déploiement rapide étant plutôt juridique que technique. Pour se faire une idée plus précise des forces en présence, nous avons réalisé une sélection, non exhaustive, des projets actuellement les plus avancés.
1. Ehang 184
La firme chinoise Ehang a tout récemment fait parler d’elle en étant a priori la première à effectuer des essais de transport de passagers en autonomie avec deux drones taxis, l’un monoplace, l’autre biplace. En tout, une quarantaine de personnes ont déjà volé à bord de ces appareils.
L’Ehang 184 a également affronté des vents de force 7, volé dans le brouillard ou de nuit, grimpé à 300 mètres d’altitude et parcouru 15 kilomètres d’une traite. Il est censé être testé en conditions réelles dès cet été à Dubaï.
2. Volocopter
Le projet Volocopter, porté par la société allemande éponyme, a fait l’actualité en début d’année au Consumer Electronics Show (CES) avec une démonstration en direct durant la conférence d’Intel. Le géant des semi-conducteurs est en effet un partenaire technique ayant fourni le contrôleur de vol adaptatif et des systèmes redondants qui assurent la sécurité de l’appareil.
Le Volocopter est propulsé par 18 rotors électriques ; il peut emporter deux personnes en volant à une vitesse moyenne de 50 km/h pendant trente minutes et faire des pointes à 100 km/h. Comme l’Ehang 184, il doit faire des essais à Dubaï.
3. UberAir
Lorsqu’il a dévoilé son projet de drone taxi à décollage et atterrissage verticaux en 2016, Uber a tout d’abord suscité l’incrédulité. Mais entre-temps, d’autres acteurs de premier plan se sont embarqués dans l’aventure, prouvant qu’il ne s’agissait pas d’un simple coup de communication.
Et, en janvier 2017, Uber a signé un accord de partenariat avec la Nasa pour le développement d’un système de gestion du trafic d’engins autonomes volant à basse altitude. Si tout se déroule comme prévu, les premiers essais auront lieu en 2020 dans plusieurs villes des États-Unis ainsi qu’à Dubaï.
4. Passenger Drone
Le Passenger Drone est le petit nouveau de la bande. Le projet a été dévoilé en septembre dernier, mais l’appareil à 16 rotors électriques a déjà effectué un baptême de l’air avec un pilote à bord (voir cette vidéo YouTube).
Le Passenger Drone peut transporter deux personnes assises l’une derrière l’autre avec une autonomie de 30 à 35 minutes pour une vitesse de 80 km/h. Des performances qui peuvent sembler modestes au vu de ce qu’annonce la concurrence. Mais les concepteurs du Passenger Drone assurent que leurs estimations sont « réalistes » et correspondent à ce que la technologie des batteries actuelles peut permettre.
5. Vahana, d’Airbus
Deux ans à peine après avoir lancé son projet de drone taxi électrique à décollage et atterrissage verticaux baptisé Vahana, Airbus a impressionné en effectuant il y a peu un premier vol d’essai en totale autonomie. Celui-ci n’a duré que 53 secondes, mais un tel résultat en si peu de temps est de bon augure.
6. Joby
De tous les projets de drone taxi à décollage et atterrissage verticaux, celui de Joby Aviation est sans aucun doute le plus spectaculaire. L’appareil de cinq places est doté de 12 rotors électriques basculants à 90° qui assurent la transition entre le décollage vertical et le vol horizontal.
Le Joby pourra parcourir plus de 240 km sur une charge et promet un fonctionnement « 100 fois plus silencieux que les avions conventionnels pendant le décollage et l’atterrissage ». Joby Aviation a récemment levé 100 millions de dollars auprès de plusieurs investisseurs de renom, dont Intel et Toyota.
7. Lilium Jet
La société allemande Lilium a accompli, en avril 2017, le vol inaugural de son prototype d’avion électrique à décollage et atterrissage verticaux. L’engin est équipé de 36 moteurs électriques, dont une partie est positionnée à l’intérieur de volets mobiles sur le bord arrière des deux ailes.
L’appareil disposerait d’une autonomie de 300 km avec une vitesse de pointe de 300 km/h. Il pourrait par exemple effectuer la liaison Paris-Londres en une heure. Une version pouvant emporter cinq personnes est en développement et le premier essai avec passager est prévu l’année prochaine.
8. SureFly
Le SureFly, de la firme américaine Workhorse, a fait son apparition au salon du Bourget à Paris l’année dernière. Ce drone taxi biplace est celui qui ressemble le plus à un hélicoptère, avec un total de huit hélices contrarotatives fixées à quatre bras repliables.
Il utilise les mêmes moteurs électriques que ceux qui équipent la i3 et le scooter C660, de BMW. Workhorse vient d’obtenir un agrément de la part de la Federal Aviation Administration pour pouvoir effectuer des essais.
L’entreprise a également conclu un partenariat avec le service de transport UPS.
Un drone pour débutant, le DJI Phantom Le drone DJI Phantom est un drone d’agrément sous lequel il est possible d’adapter une mini caméra. Il pèse 880 grammes, mesure 17 centimètres de haut et 39 x 39 cm de côté. Il se dirige à l’aide d’une télécommande chargée de quatre piles AA et est équipé de led colorées vertes et rouges indiquant la direction de vol. La distance maximale qui permet de garder le contact est d’environ 1.000 mètres. Sa vitesse en vol horizontal est de 10 mètres par seconde (m/s) et en vertical de 6 m/s. Il est équipé d’un système de Contrôle intelligent d’orientation (CIO) et d’un GPS. Son temps de vol maximum varie entre 10 et 15 minutes. Lorsque la communication entre le contrôle principal et l’émetteur est coupée, le système GPS ramène automatiquement l’engin à son pilote et le pose au sol. © Don McCullough, CC by-nc 2.0
MD4-200, un mini drone réservé aux professionnels Cet aéronef de petite taille est l’un des meilleurs de sa catégorie. Son format compact et la faible vitesse de rotation de ses pales lui confèrent une grande discrétion. Grâce aux différents capteurs dont il peut être équipé, il est en mesure de réaliser des enregistrements numériques 3D, procéder à des inspections de structures, effectuer des contrôles à l’aide de capteurs infrarouges, réaliser des photos ou des vidéos aériennes artistiques, etc. Il pèse moins d’un kilo, bénéficie d’un temps de vol de 30 minutes et peut soulever une charge de 200 grammes. Sa hauteur de fonctionnement atteint 1.000 mètres (alors que la législation n’en autorise que 150). Il est capable de voler par temps de pluie ou de neige. Mais ses aptitudes ont un prix… 11.000 euros ! © Thomas Kretzer, Domaine public
Le RQ-4 Global Hawk, un drone militaire Le RQ-4 est un drone de surveillance développé par Northrop-Grumman pour le compte de l’US Air Force et l’US Navy. Il est un des rares modèles capables de voler à haute altitude (autour de 18.000 mètres) et sur de longues distances. Son poids avoisine celui d’un petit chasseur, soit 14,6 tonnes pour une envergure de 14 mètres. Sa durée de vol est d’environ une trentaine d’heures. L’appareil n’est pas armé et ne sert actuellement que pour des missions d’espionnage et de localisation d’objectifs fixes ou mobiles. Il est capable de soutenir les forces armées lors d’opérations militaires en localisant les positions ennemies grâce à ses senseurs électro-optiques. Plus rarement, il peut également servir à des fins civiles afin de juger de l’ampleur d’une catastrophe naturelle et ainsi permettre de cibler les priorités en matière de mise en œuvre des secours. L’appareil a été utilisé en janvier 2013 pour soutenir l’opération Serval au Mali. © U.S. Air Force, Bobbi Zapka, Domaine public
Un mini drone pour s’amuser, Hubsan X4 H107C Le drone Hubsan X4 H107C est un quadricoptère de loisirs équipé d’une micro-caméra à la résolution minimaliste. Il est destiné aux débutants. Sa taille permet de le faire voler aussi bien en intérieur qu’en extérieur. Il mesure 10,7 cm en diagonale et 2,9 cm de hauteur, sans les hélices. Au décollage, l’appareil se positionne en mode stationnaire. Très stable, il répond au quart de tour aux sollicitations de la télécommande. Il est capable d’effectuer des demi-tours et des loopings. La portée n’est que d’une centaine de mètres mais il peut rester en l’air une vingtaine de minutes. © Stevie Spiers Photography, CC by-nc 2.0
Parrot AR, un jouet pour adulte ? Le Parrot AR peut se piloter à partir d’un iPhone ou d’un iPod grâce à une connexion Wi-Fi. Sa taille avoisine les 50 cm de côté. Il pèse entre 360 et 400 grammes selon qu’il est utilisé à l’extérieur ou à l’intérieur. Il possède un rayon d’action d’une cinquantaine de mètres et, lorsque le contact est perdu, il descend par paliers successifs d’un mètre jusqu’à se poser au sol. Ce drone est extrêmement stable et supporte des vents de 15 km mais son autonomie n’est que d’une dizaine de minutes. Sur le plan de la sécurité, les pales sont programmées pour s’arrêter immédiatement lors d’un contact avec un objet quelconque ou… un doigt. © Halftermeyer, CC by-sa 3.0
Salle de guidage : opérateur de drone devant ses écrans de contrôle Le drone aérien est le vecteur d’un système composé de plusieurs éléments distincts. Il y a tout d’abord le drone, un vecteur aérien équipé de capteurs de détection. Il faut aussi compter une ou plusieurs stations au sol. Elles assurent les commandes en vol, le recueil d’informations ainsi que les liaisons radioélectriques de données transmises par le vecteur aérien via des relais de communications tels que les satellites. L’opérateur est chargé de guider le vecteur aérien, de recueillir les données en temps réel et, dans une opération militaire, de localiser l’objectif à mettre sous surveillance ou à détruire. Même si le niveau d’automatisme est très élevé et se perfectionne régulièrement, la décision reste du ressort de l’Homme. © Jason Ridder, Domaine public
Le MQ-9 Reaper en vol, un drone aux multiples fonctions Conçu par General Atomics, ce drone ne peut être contrôlé que jusqu’à 200 km maximum de son site de guidage ou par liaison satellite. Son envergure est de 20 mètres et sa longueur de 11 mètres. Il peut atteindre une vitesse de 480 km/h et son rayon d’action est de 1.850 km. Son altitude de vol est de 15.200 mètres. Drone de combat pour l’US Army et pour l’US Navy, il existe une version pour la surveillance des frontières avec le Mexique prévu pour lutter contre le trafic de drogue et l’entrée de clandestins. Un modèle non armé mais bourré de capteurs et de caméras est également utilisé par la Nasa et destiné à des recherches scientifiques. Le programme aurait été abandonné en 2003, mais le MQ-9 Ikhana a été utilisé en 2007 pour surveiller les incendies en Californie. © U.S. Air Force, Master Sgt. Robert W. Valenca, Domaine public
Le Hermes 450, un drone tactique israélien Initialement conçu comme drone de surveillance des frontières, l’appareil peut être équipé de deux missiles air-sol de facture israélienne ou d’AGM 114 Hellfire américains. D’une envergure de 10,50 mètres et d’un peu plus de 6 mètres de long, il est capable de porter une charge maximale de 600 kg et vole à 5 500 mètres d’altitude. Sa vitesse de croisière n’excède pas 150 km/h. Le Hermès 450 a été utilisé par le Département de la Défense des États-Unis en 2004 pour le contrôle des frontières. Il peut rester en vol pendant une vingtaine d’heures mais la portée de relais des données n’est que de 150 km. © Gérald L. Nino, Domaine public
L’hexacopter de l’AIEA, un drone atomique à six moteurs Le laboratoire des sciences et de l’instrumentation nucléaire a mis au point un drone pour le compte de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Il est équipé de capteurs qui sont en mesure de relever et de mesurer les taux de radioactivité. Le premier modèle a été utilisé au-dessus de la centrale japonaise de Daiichi Fukujima pour la détection de rayonnements. Il permet d’éviter d’exposer l’Homme aux radiations létales. Il peut également servir à mesurer la pollution aérienne. © IAEA Imagebank, CC by-nc 2.0
L’Ar Drone 2.0 de sortie au soleil couchant L’Ar Drone 2.0 est l’un des appareils les plus prisés de chez Parrot. Sur cette photo, l’appareil est présenté dans son habit de sortie, c’est-à-dire sans la coque de protection des rotors qui lui permet d’absorber les chocs en cas de vol à l’intérieur d’un local. Il est équipé d’un GPS et de deux caméras. La première est située à l’avant et la seconde sous le drone mais la qualité des images est sans intérêt. L’autonomie est assez faible. Un léger handicap largement compensé par son extrême maniabilité. © Lee, CC by-nc 2.0
Le MQ-8 Fire Scout, un drone d’hélicoptère Construit par Northrop Grumman pour l’armée américaine, cet engin ressemblant à un hélicoptère à quatre pales et ses petits frères ont été déployés en Afghanistan pour des missions de reconnaissance. C’est le seul drone à décollage vertical qui vole au biocarburant. Sa turbine unique développe 420 ch. Le diamètre du rotor est de 8,38 mètres, sa longueur de 6,98 mètres et sa hauteur de 2,87 mètres. Une version 8B est en service dans la marine américaine et un prochain modèle de version 8C sera destiné à la guerre électronique. © Jrfreeland, Domaine public
Le X47 B, un drone au pied marin Le drone X 47 est décliné en plusieurs versions. Conçus par le groupe Northrop Grumman, ces engins sont destinés à l’armée et à la marine américaines. Ils présentent une forme triangulaire d’aile volante. Le X47 A, premier modèle exclusivement terrestre atteint une envergure de 6 mètres. Le modèle X47 B destiné à la marine et capable d’apponter, déploie 19 mètres de portance. Sa longueur est de 11,63 mètres et sa hauteur est de 3,10 mètres. Son rayon d’action s’exerce sur 3.900 kilomètres à un plafond maximum de 12 200 mètres. Sa vitesse est supérieure à mach 0,9. Une troisième version, le X47 C, dont l’envergure avoisinerait les 52 mètres et dont la charge utile pourrait atteindre 4,5 tonnes, est en cours d’étude. © U.S. Air Force, Chris Neill, Domaine public
Le RQ7 Shadow, le drone sur catapulte Le RQ7 Shadow est un drone militaire capable de s’envoler et d’atterrir sur courte distance. Sur cette photo, le drone placé sur la catapulte est un RQ7 Shadow utilisé par l’armée américaine, le Corps des Marines, les armées australiennes et suédoises. Il sert à la reconnaissance, la surveillance, l’acquisition de cibles et l’évaluation des dommages de combats. Il est lancé à partir d’une catapulte pneumatique montée sur remorque. Il en existe plusieurs versions dont l’autonomie avoisine les 7 heures. Propulsé par un moteur de 38 ch, la vitesse de croisière est de 110 km/h. L’envergure de l’appareil atteint 4,27 mètres pour une longueur de 3,40 mètres. La masse maximale en charge est de 170 kg pour un poids à vide de 75. Il peut couvrir une brigade en intervention pendant 4 heures et dispose d’une autonomie de 125 km. L’atterrissage s’effectue de façon automatique à l’aide d’un système de crochet d’arrêt et de câbles comme sur les porte-avions. © Latvijas Armija, CC by-nc 2.0
Game of drones : une prise de vue d’un drone On connaît surtout les drones pour leur utilisation dans le domaine militaire ou dans certaines entreprises pour contrôler l’état des infrastructures. L’engouement pour les appareils volants sans pilote est phénoménal et ces engins rencontrent également un énorme succès auprès du public, surtout lorsqu’ils sont équipés d’une caméra ou d’un appareil photo. Le particulier peut ainsi capturer des images inédites et contempler pendant un bref laps de temps, via l’objectif, des paysages qu’il n’aurait pas été possible de saisir sans louer un avion de tourisme ou un hélicoptère avec pilote. L’utilisation d’un drone équipé d’un matériel de prise de vue est cependant interdite sans homologation de la DGAC. © Thierry Weber, CC by-nc 2.0
Le MQ-1 Predator, un drone explosif Fabriqué par General Atomics Aeronautical Systems, le MQ-1 Predator a essentiellement été conçu pour des opérations militaires de reconnaissance de l’armée américaine. Il a été utilisé pour la première fois dans des opérations de combats dans les Balkans en 1995. Depuis, il n’a pas cessé de suivre les champs de bataille. Sa dernière « sortie » officielle a eu lieu au Mali en février 2013. L’engin déploie 14,8 mètres d’envergure, 8,22 mètres de longueur pour 2,1 mètres de haut. Équipé de deux missiles AGM-114 Hellfire à guidage laser, il possède un rayon d’action de 1250 km, peut atteindre l’altitude plafond de 7 620 mètres et voler à la vitesse de croisière de 130 km/h. Il est propulsé par un moteur turbocompressé de 115 ch, entraînant une hélice montée à l’arrière. © U.S. Air Force, Lt Col Leslie Pratt, Domaine public
Le X-37 B, un drone spatial Construit par Boeing, cet appareil « X » fait partie des programmes secrets expérimentaux américains. Le drone X-37 B, qui adopte l’aspect d’une mini navette spatiale sans équipage, est certainement celui qui suscite le plus d’interrogations compte tenu du mystère qui l’entoure. Il mesure 8,38 mètres de long pour une envergure n’atteignant que 4,57 mètres. Son poids au lancement peut atteindre 5 tonnes. Il est propulsé dans l’espace à l’aide d’une fusée porteuse depuis le pas de tir de Cape Canaveral, en Floride. La version B militaire a été lancée le 11 décembre 2012 et est restée 674 jours dans l’espace en orbite basse avant d’atterrir le 17 octobre 2014 sur la base militaire de Vandenberg, en Californie. © United States Air Force, Domaine public
Le Sperwer B, un drone made in France Le Sperwer B est un drone tactique toujours en activité fabriqué par Sagem Défense Sécurité. L’appareil est un avion sans pilote à ailes delta. Propulsé par une catapulte pneumatique, il est entraîné par un moteur bicylindre à deux temps de 65 ch activant une hélice à quatre pales. D’une envergure de 4,2 mètres, il mesure 3,5 mètres de long et 1,3 mètre de haut. Son altitude maximale de vol est de 3.800 mètres pour un rayon d’action n’atteignant que 180 km. Utilisé par l’armée de terre française, le Sperwer B n’est pas armé. Il est destiné à la conduite de missions d’observation, de surveillance et de réglages de tirs d’artillerie. © David Monniaux, CC by-sa 3.0
Vous avez aimé cet article ? N’hésitez pas à le partager avec vos ami(e)s et aidez-nous à faire connaître Yalayolo Magazine 🙂 ! La Rédaction vous remercie.
[ad_2]
Yalayolo Magazine
Mars87 Innovative Digital And Social Media Marketing