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#BioTech: la startup parisienne DNA Script ouvre une filiale aux États-Unis
DNA Script, spécialisé dans la synthèse enzymatique d’ADN, poursuit sur sa lancée. Après une levée de 11 millions d’euros l’année dernière, la jeune pousse parisienne annonce l’ouverture d’une filiale aux États-Unis.
Elle en profite également pour renforcer son management avec une série de nominations: Jeffrey Jeddeloh, docteur en génétique moléculaire de l’Université Washington à Saint-Louis, devient vice-président en charge du développement et de la stratégie commerciale, Stephen Macevicz, docteur en biophysique et en droit de l’Université de Berkeley, est nommé vice-président en charge de la propriété intellectuelle et Christine Peponnet, docteur en génétique humaine de l’Université Paris VII, occupera le poste de vice-présidente responsable du développement technologique.
« Au cours de la dernière année, la société a porté son niveau de financement à 25 millions d’euros, s’est vu délivrer deux brevets, a déposé cinq nouvelles demandes de brevets et a atteint un effectif de 35 salariés. Ce n’est qu’un début : nous souhaitons vendre nos premiers produits commerciaux à nos partenaires d’ici 12 mois. Etant donné l’importance du marché américain, il est essentiel pour nous de s’y implanter et de renforcer notre équipe de direction avec des personnes ayant une expérience industrielle solide», explique l’entreprise.
Fondé en 2014 par Thomas Ybert, Sylvain Gariel et Xavier Godron, DNA Script développe une imprimante capable de synthétiser de l’ADN de haute qualité pour favoriser l’innovation dans les sciences et la technologie. Pour cela, cette technologie d’écriture utilise des enzymes génétiquement modifiées à la place de méthodes chimiques classiques. A travers cette technologie, DNA Script entend donner un second souffle à l’écriture des codes génétiques. Cette dernière considère que sa technologie va permettre d’accélérer le développement de nouveaux produits thérapeutiques, la production écologique de produits chimiques, ou encore l’amélioration du stockage de données sous forme d’ADN.
#MarTech: Splio met la main sur la startup Gowento
Pour sa première acquisition, Splio, plateforme spécialisée dans la relation client et l’omnicanal, a mis la main sur la startup française Gowento, une solution d’engagement client sur mobile.
À travers ce rachat, Splio souhaite devenir l’acteur majeur du CRM mobile et moderniser la relation client en profondeur. « Avec l’acquisition de Gowento, Splio place les Mobiles Wallets au cœur des enjeux CRM et de néo-fidélisation, permettant notamment de digitaliser la carte de fidélité, d’envoyer des push notifications Wallet, et de déclencher un affichage géolocalisé et individualisé à proximité des points de vente », explique l’entreprise.
Fondé en 2015, Gowento revendique 50 marques clientes à l’instar de la Fnac, Dessange ou encore Nicolas et a déployé sa solution dans plus de 60 pays.
#Rakuten: de solides résultats sur 9 mois confortent les ambitions
AFP – Le groupe japonais de commerce et services en ligne Rakuten, qui a entrepris une vaste réorganisation de ses activités, a annoncé jeudi un bond de 49% de son bénéfice net sur les 9 premiers mois de l’exercice calendaire, grâce à de fortes ventes.
Rakuten a dégagé un gain net de 108 milliards de yens (831 millions d’euros), sur un chiffre d’affaires qui s’est élevé de 17% à 790,30 milliards de yens (6,09 mds EUR). Rakuten a un portefeuille de quelque 70 activités comprenant, outre le commerce en ligne, celles d’agence de voyage, d’opérateur mobile (il n’a pas encore son propre réseau mais cela devrait bientôt être le cas), de gérant de monnaie électronique, de maison de courtage, etc.
Rakuten, nouveau sponsor de l’équipe de football de Barcelone, encaisse surtout des recettes provenant de divers services Internet qu’il propose. Ces dernières ont augmenté de 15% et les bénéfices afférents de 11%. Bien que le groupe soit confronté à la forte concurrence d’Amazon au Japon, il a réussi à fidéliser des clients avec des événements promotionnels réguliers. Il tente continûment de renforcer l’attrait de sa galerie marchande virtuelle pour inciter les acheteurs à commander davantage avec leurs smartphones et tablettes. À l’étranger, il se félicite, comme à chaque fois, des performances de la société américaine Ebates, qui propose des rabais sur les achats en ligne. Rakuten est aussi propriétaire de la plateforme française de vente en ligne Priceminister et du canadien Kobo (liseuses et services d’ouvrages numérisés).
Dans le domaine des services financiers (fintech), son chiffre d’affaires a progressé de 24% et ses bénéfices de 14% grâce aux services bancaires, mais le groupe a quand même souffert de pertes dans le domaine de l’assurance en raison de plusieurs catastrophes naturelles survenues en septembre. Comme à son habitude, Rakuten n’a pas livré de prévisions chiffrées pour 2018. Le groupe est actuellement en train d’investir notamment pour accompagner des start-up. Il prépare aussi activement son propre réseau cellulaire afin de devenir le vrai 4e opérateur de télécommunications mobiles japonais, alors qu’il se contente jusqu’à présent de proposer des offres s’appuyant sur la location d’infrastructures aux acteurs en place.
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