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Le géant informatique IBM a profité de sa venue à Paris pour le sommet « Tech for good » afin d’annoncer un ensemble d’investissements et d’initiatives dans les domaines de l’IA, de la blockchain, du cloud et de l’IoT dans l’Hexagone qui créera 1 800 emplois au cours des deux prochaines années en France.
« Le président Macron fait le pari que l’IA va transformer chaque travail, chaque profession et chaque industrie », déclare Ginni Rometty, PDG d’IBM, dans un communiqué. « Chez IBM, nous partageons cette conviction et en voyons chaque jour des preuves, Watson [l’intelligence artificielle conçue par l’entreprise, Ndlr] ayant un impact exponentiel ici en France et dans le monde, c’est pourquoi nous apportons 1 800 nouveaux emplois en France pour répondre à la demande croissante d’IA de nos clients ». IBM souhaite recruter des architectes informatiques, des consultants, des développeurs est des experts techniques, pour des profils juniors et expérimentés. Ces emplois comprennent les 400 déjà annoncés par IBM en mars dans le domaine de l’intelligence artificielle.
Avec ces nouvelles embauches, IBM souhaite renforcer sa présence en créant des pôles de compétitivité locaux avec des partenaires publics et privés, comme cela a déjà été mis en place à Lille et à Strasbourg.
Lors de sa conférence des développeurs plus tôt dans le mois, Google avait fortement impressionné son audience avec la démonstration de Duplex, la technologie qui permettra à Google Assistant de tenir une conversation téléphonique à votre place, par exemple pour effectuer une réservation au restaurant ou chez le coiffeur. Mais l’entreprise Microsoft tient à rappeler qu’elle avait déjà réussi à mettre au point une IA capable de tenir une conversation depuis août. Satya Nadella, le CEO, en a fait la démonstration a un événement autour de l’intelligence artificielle qui s’est tenu à Londres mardi.
Tom Warren, journaliste pour The Verge, a publié une vidéo de la démonstration réalisée par Microsoft mardi à Londres. Elle montrerait Xiaoice en train de tenir une conversation avec une personne au téléphone.
Crédit: Tom Warren, journaliste pour The Verge.
Microsoft utilise cette technologie en Chine pour son chatbot Xiaoice. À une différence près, celle-ci discute avec vous, tandis que Duplex parle pour vous à travers Google Assistant. Les utilisateurs peuvent interagir avec Xiaoice via WeChat ou d’autres applications de messagerie. Et l’IA ne cesse d’être développée, par exemple, le 1er juin, une nouvelle fonctionnalité sera lancée en Asie. L’IA sera capable de créer une histoire audio personnalisée de 10 minutes pour les enfants et de la leur raconter.
L’entreprise de Bill Gates n’a donc pas l’intention de se faire devancer par Google sur ce terrain. D’ailleurs, elle a récemment fait l’acquisition de la start-up Semantic Machines pour se renforcer dans l’intelligence artificielle conversationnelle.
Mark Zuckerberg est à Paris. Après son audition mardi devant les députés européens à Bruxelles, le patron de Facebook s’est envolé pour la capitale française afin de se rendre au sommet «Tech for Good» organisé par Emmanuel Macron à l’Élysée. Sur fond de scandale Cambridge Analytica, le milliardaire américain a rejoint une cinquantaine de grands patrons du numérique ce mercredi pour réfléchir ensemble sur la manière de se mettre au service du bien commun et ainsi influer positivement sur des secteurs clés comme la santé, l’emploi et l’éducation.
Arrivé de Bruxelles à Paris mardi soir, Mark Zuckerberg en a profité pour faire une petite balade touristique dans les rues de la capitale. Le patron de Facebook était en compagnie de David Marcus, qui, après avoir dirigé Facebook Messenger, va piloter la division blockchain de la firme américaine. Sur Instagram, «Zuck» a posté un selfie avec Davis Marcus pour immortaliser leur balade nocturne devant le Louvre.
On croyait Amazon, souvent cité comme un modèle d’expérience client, particulièrement souple en termes de retours client, mais les choses ne sont parfois pas si simples. En effet, selon The Wall Street Journal, plusieurs clients du e-commerçant en ont fait l’amère expérience : ils ont carrément été bannis pour cause de retours trop fréquents au goût du marchand.
Ainsi, certains clients concernés par cette mesure de rétorsion se sont saisis des réseaux sociaux pour raconter comment leur compte avait été clos abruptement, tandis qu’une autre a posté le mail reçu de la part du service client lui demandant d’expliquer les raisons de ses retours. Elle précise avoir renvoyé 7 articles sur une cinquantaine d’achats.
@amazon – wow, great customer service, so personal and caring! Do u even read my return reasons (like 6 purchases in the last year…and that’s too many?) and a replacement for something I NEVER rec’d. #BadCustomerExperience #onlineshopping #Horrible #ShopLocal #BoycottAmazon pic.twitter.com/2DY1qHmFka
— Claire Bochner (@cmbochner) 17 avril 2018
Ce n’est cependant pas la première fois que la pratique est repérée. En 2016, le journal anglais The Guardian avait relayé le cas d’un client « banni » pour avoir retourné 37 de ses 343 achats sur le site de Jeff Bezos. En avril dernier, des membres de Prime s’étaient également plaints de voir le compte brutalement fermé sans explication, certains menaçant même d’exercer une action collective contre l’entreprise.
Les conditions générales d’Amazon n’indiquent pas précisément la limite à ne pas dépasser pour rester dans les petits papiers de la firme de Jeff Bezos, toutefois l’entreprise se réserve le droit de fermer des comptes à sa discrétion.
« Nous voulons que tout le monde puisse utiliser Amazon, mais il y a de rares occasions où un client abuse de notre service pendant une longue période », dit un représentant d’Amazon, « Nous ne prenons jamais ces décisions à la légère, mais avec plus de 300 millions de clients à travers le monde, nous prenons des mesures pour protéger l’expérience de tous nos clients. Si un client croit que nous avons commis une erreur, nous l’encourageons à nous contacter directement afin que nous puissions examiner son compte et prendre les mesures appropriées ».
Amazon Prime permet à ses membres de bénéficier de la livraison gratuite sous 24 heures, de l’accès au service de SVOD Prime Video, ainsi que du stockage dans le cloud. Le service, qui a dépassé la barre des 100 millions d’abonnés dans le monde, est coûteux pour l’entreprise : selon une estimation de JPMorgan, la valeur de ces services avoisine les 785 dollars par an. Et d’après Le Monde, ses coûts nets de livraison s’élevaient à 7,2 milliards de dollars en 2016, soit 43% de plus qu’en 2015. Désormais, la société ne chiffre plus ce poste dans ses communications financières. En avril, Amazon a augmenté le prix de l’abonnement annuel Prime aux Etats-Unis de 99 dollars à 119 dollars. Amazon a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 178 milliards de dollars, pour un bénéfice net de 3 milliards de dollars.
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