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Qu’il s’agisse de réduire les heures de travail hebdomadaires ou d’amener des chiots au bureau, les entreprises du monde entier accordent la priorité au bonheur de leurs employés, car il a été prouvé que cela augmente la productivité. Il est important d’accorder la priorité à l’équilibre entre le travail et la vie personnelle, à la communication continue et à la rémunération équitable. Pour certains salariés, leur humeur est directement liée à l’attitude de leur hiérarchie. Yalayolo Magazine US s’est entretenu avec Steve Bushnell, coach certifié en management et fondateur de Charles River Careers. Voici les cinq mesures simples que chaque patron devrait adopter pour assurer le bonheur de ses employés au travail.
1. Tout d’abord, chaque patron doit écouter ses employés.
Steve Bushnell assure que la qualité la plus importante, et de loin, d’un bon patron est sûrement être à l’écoute. Il a même insisté sur l’importance de « l’écoute avec intention ». « Dans le conseil en management, les gens sont très enthousiastes à propos de leurs idées et veulent que les choses avancent très rapidement, » dit Bushnell. « Ce qu’ils ne font pas souvent, c’est écouter la pertinence des témoignages. »
Pour écouter avec intention, dit-il, les patrons doivent délibérément prendre le temps d’écouter et doivent être présents lorsqu’ils sont en contact avec leur personnel. « N’y allez pas avec des jugements préétablis, mais plutôt avec un état d’esprit ouvert », dit-il. « Si tu arrives avec une série de préjugés, tu n’écoutes pas réellement. »
2. Les patrons doivent comprendre l’importance de l’équilibre entre le travail et la vie personnelle.
Le travail ne devrait jamais occuper toute la vie d’un employé. Ils ont d’autres loisirs, engagements et événements qui se déroulent à l’extérieur du bureau, et les cadres doivent être ouverts à l’idée que les employés puissent explorer ces autres domaines.
« Il est important de donner aux employés une certaine marge de manœuvre pour effectuer leur travail d’une façon qui puisse convenir à leur vie occupée et complexe », a déclaré Steve Bushnell. « Plus vous inclinerez le cadran pour améliorer cet équilibre, plus ils seront présents, engagés et disponibles à la fin. Et ils seront plus heureux. »
3. Les managers devraient régulièrement partager ce qu’ils pensent du travail de leurs employés.
Steve Bushnell estime que les patrons devraient fournir à leurs employés une évaluation « régulière et continue ». Qu’elle soit positive ou négative, la communication est importante pour créer un environnement de travail agréable. « Quand je suis tout seul dans mon bureau pendant toute la journée, c’est agréable quand quelqu’un vient me voir et me demande comment je vais, » explique-t-il. « Je veux savoir si ce que je fais a un lien avec les objectifs de l’entreprise. Je veux travailler avec des gens qui s’intéressent à ce que je fais. »
Steve Bushnell souligne également que la communication passe mieux en tête-à-tête. « Allez dans leur bureau ou connectez-vous sur Skype et remerciez-les personnellement. Vous pouvez aussi leur dire que vous appréciez ce qu’ils ont fait au sein de l’entreprise », conseille-t-il.
4. Les bons dirigeants font le lien entre le rôle de leurs employés et le reste de l’entreprise.
Pour qu’un employé soit heureux, il doit avoir la conviction que le travail qu’il fait compte vraiment. S’il a l’impression de perdre son temps, il finira par ne plus s’intéresser à l’emploi dans son ensemble. « Vous devez relier leur rôle à la mission plus large de l’organisme », a dit Steve Bushnell. « Je veux construire une cathédrale. Je ne veux pas poser les briques. »
En tant que leader, a dit Steve Bushnell, les dirigeants devraient indiquer clairement quels sont les objectifs et ce qu’ils essaient d’accomplir en tant qu’entreprise. Ils doivent ensuite expliciter comment chaque rôle s’insère dans l’ensemble.
5. Les patrons doivent offrir une rémunération juste et raisonnable.
Même si cela peut sembler évident, les employés sont plus heureux lorsqu’ils sont bien payés. Si un travailleur a l’impression qu’il n’est pas rémunéré de manière équitable, il pourrait se sentir sous-estimé et même exploité.
Version originale : Frank Olito / Yalayolo Magazine
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