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Fort d’un concept mi-cave / mi-bar qui renforce ses deux activités, le réseau V and B affiche ses ambitions pour 2019 : poursuivre sa croissance, se digitaliser et gagner en notoriété, comme en témoigne l’organisation du V and B Fest en septembre prochain et le sponsoring du skipper Maxime Sorel.
« V and B a été créé en 2001 autour d’un concept simple : d’un côté une cave, où vous retrouvez des centaines de références de vins, bières et spiritueux. De l’autre, un bar pour les déguster. Fin février, nous avons 185 points de vente, et prévoyons entre 25 et 30 ouvertures par an« , résume Richard Zuber, en charge de la transformation digitale du réseau en tant que CDO depuis septembre 2018, après en avoir été le Brand Manager pendant trois ans. Avec un chiffre d’affaires de 180 millions d’euros réalisé l’an dernier, généré à parts égales par les activités bar et cave, le réseau allie la force des deux mondes et a les moyens de se développer.
L’expertise d’un caviste et l’ambiance d’un bar
« Nous disposons de plus de 300 références de bières, d’une centaine de vins et d’un nombre équivalent de spiritueux. De plus, les clients du bar bénéficient de l’expertise de nos cavistes. Inversement, l’espace de dégustation est plus chaleureux que chez une majorité de cavistes, et vous avez moins la pression de l’achat une fois que vous avez goûté », poursuit le CDO, évoquant l’ambiance du concept, à mi-chemin entre le pub anglais et le biergarten allemand. Sa particularité réside dans le fait qu’il se concentre sur les zones périphériques, d’où des points de vente de 450m2 en moyenne, de quoi valoriser les deux activités et travailler sa différenciation : « Nous n’avons qu’un seul point de vente en centre-ville, dans un centre commercial de Toulouse. Le test se révèle très concluant, mais cette implantation relève plus d’une opportunité qui s’est présentée à nous que d’une réelle volonté de nous positionner sur ce créneau. Les loyers y sont plus élevés, il y a plus de concurrence et cela nous obligerait à revoir entre autres nos heures d’ouverture. Mais si d’autres occasions se présentent, nous les étudierons », révèle Richard Zuber.
Principalement implanté dans l’ouest, étant originaire de Mayenne, le réseau s’est ainsi développé dans le sud-est et en couronne parisienne. Sur 180 points de vente, 150 sont franchisés, les autres étant confiés à un gérant actionnaire. « Nous avons la licence 4 mais nous ne sommes pas un bar classique puisque nous ouvrons de 10h à 20h30. Notre promesse est celle de la convivialité. 60% des clients viennent grâce au bouche à oreille. Notre offre en bar est surtout axée sur l’afterwork, et si nous nous différencions via sa profondeur, qui permet à chacun de trouver son bonheur, qu’on soit novice ou connaisseur, notre force est notre ambiance : tous les types de personnes s’y mêlent, des cadres aux fêtards, en passant par les clubs sportifs, et l’heure de fermeture évite la suralcoolisation. Nous prônons plus la découverte et l’appréciation d’un produit que la consommation d’alcool. » Un aspect essentiel du concept, alors que l’implantation en périphérie encourage l’utilisation de son véhicule personnel, et que la modération de la consommation d’alcool devient une tendance forte au sein de la société, en témoigne le succès de l’initiative anglo-saxonne Dry January, la fin du binge drinking chez les jeunes et le succès des marques et établissement proposant des bières et cocktails sans alcool.
Maxime Sorel pour mener la course à la notoriété
Au-delà des cavistes et barmen formés à la prévention, le réseau peut également compter sur les 210 écrans déployés en 2018 dans une centaine de ses points de vente pour faire de la sensibilisation aux dangers de l’abus d’alcool. Leur déploiement a été l’une des principales missions de Richard Zuber, avec le développement des l’omnicanal et d’un CRM unique (découvrez comment V and B se digitalise et a transformé ses magasins en canaux publicitaires au profit de ses partenaires dans le n°214 de Marketing, à paraître début avril, ndlr). En parallèle de sa digitalisation, le réseau mène une quête de notoriété et valorise son principal atout : l’expertise de ses barmen et cavistes. Face aux cavistes concurrents qui s’associent à des oenologues reconnus, le réseau a mis en place un concours interne, sorte de « Masterchef des cavistes », dont les trois vainqueurs (pour les catégories bière, vin et spiritueux) seront dévoilés en avril. « Ils pourront choisir les nouvelles références et seront les visages de nos cavistes auprès du grand public », explique le CDO.
Autre enjeu de notoriété : le festival V and B Fest, lancé par le réseau en Mayenne, qui se déroulera les 13, 14 et 15 septembre prochains, et qui devrait, entre autres, accueillir les rappeurs d’IAM. V and B mise aussi sur le sport, et plus particulièrement la voile en accompagnant le skipper cancalais Maxime Sorel, vainqueur de la Transat Jacques Vabre 2017 et favoris malheureux de la Route du Rhum 2018. Habitué aux bateaux de Class40 (40 pieds), Maxime Morel va désormais concourir dans la classe Imoca (60 pieds) avec pour objectif la Transat Jacques Vabre 2019 et notamment le prochain Vendée Globe, en novembre 2020. Son bateau, le V and B – Sailing Together, sera mis à l’eau dès avril 2019.
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