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- L’appli de vélos en libre-service Ofo a levé 866 millions de dollars auprès d’Alibaba, pour continuer son développement international.
- Elle est au coude-à-coude avec Mobike, une appli concurrente, soutenue par Tencent.
- Mais le concept de vélos en libre-service a du mal à prendre en Europe, où ils sont souvent vandalisés, à l’image de ceux de Gobee.bike.
Ofo, l’appli chinoise de vélos en libre-service, vient d’annoncer une nouvelle levée de fonds de 866 millions de dollars (702 millions d’euros) menée par le géant Alibaba, a rapporté TechCrunch ce mardi 13 mars 2018.
L’entreprise essaie ainsi de lutter contre son plus grand concurrent, Mobike, soutenu par Tencent, le rival d’Alibaba, sur un marché surchargé et fragile du fait du vandalisme.
Il y a 18 mois, près de 60 startups chinoises tentaient de percer sur le créneau des vélos en libre-service, rapporte CNN.
Les vélos jaunes à trois vitesses d’Ofo sont disponibles en France depuis fin 2017, six mois après avoir levé 700 millions de dollars. De son côté, Mobike est arrivé à Paris début 2018 et a inondé la capitale de plus de 4000 de ses vélos gris aux roues orange.
Mais tout n’est pas rose dans l’univers des vélos en libre-service — ces vélos que l’on peut déverrouiller, utiliser puis reposer n’importe où grâce à une application de géolocalisation —.
Le 9 janvier 2018, la startup hongkongaise Gobee.bike a annoncé son retrait de Lille, Reims et Bruxelles. Elle a ensuite été contrainte de quitter Paris le 23 février dernier, seulement cinq mois après son arrivée.
En cause: un très grand pourcentage (au moins 60% à Paris) de ses vélos ont été dégradés ou volés. A Reims, ce seraient même 380 vélos Gobee sur 400 qui auraient été vandalisés.
A ce jour, les vélos de Mobike, Obike et Ofo sont toujours présents à Paris.
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