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Après son retrait fortement critiqué de l’Accord de Paris sur le climat, Donald Trump fait un nouveau pas en arrière pour lutter contre le réchauffement climatique.
La Maison-Blanche a annoncé l’annulation d’un programme de la NASA destiné à surveiller dans l’atmosphère deux gaz considérés comme contribuant au réchauffement climatique — le dioxyde carbone et le méthane — rapporte la revue Science citée par Le Temps.
La NASA a refusé de fournir une raison à cette annulation autre que « des contraintes budgétaires et des priorités plus pressantes au sein du budget scientifique », selon Science.
Pourtant, selon un rapport compilé par l’Urban Climate Change Research Network, basé à l’université de Colombia (Etats-Unis), la hausse moyenne des températures pourrait dépasser les 2°C dans une douzaine de villes à l’horizon 2020, c’est-à-dire dans à peine deux ans.
Et d’ici 2050, la situation pourrait empirer. Les experts ont répertorié 18 villes à travers le monde dans lesquelles les températures moyennes augmenteraient de 3,9°C voire plus.
Paris ne fait pas partie de ces villes-là, mais dans les années 2050, la hausse de la température moyenne oscillerait entre 1,3°C, au minimum et 3,2°C, au maximum.
Voici les 18 villes où les températures moyennes vont le plus augmenter à l’horizon 2050, selon les chercheurs de l’Urban Climate Change Research Network.
18 ex-aequo. Boston (Etats-Unis) — +3,9°C
18 ex-aequo. Calgary (Canada) — +3,9°C
18 ex-aequo. Somerville (Etats-Unis) — +3,9°C
18 ex-aequo. Trondheim (Norvège) — +3,9°C
18 ex-aequo. Varsovie (Pologne) — +3,9°C
18 ex-aequo. Windsor (Royaume-Uni) — +3,9°C
1. Moscou (Russie) — +4,7°C
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