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Les Etats membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) sont parvenus à un accord vendredi 22 juin sur une augmentation de leur production, relevée d’environ un million de barils par jour à partir de juillet.
Dans les faits, la hausse de la production devrait être moins importante, car des pays comme le Venezuela et l’Iran, victime des sanctions américaines, risquent d’éprouver des difficultés à pomper plus.
Cette décision, intervenue en début d’après-midi, a dans tous les cas fait grimper le cours du baril de Brent, qui prenait 2,94% autour de 15h20, à 75,20 dollars.
A la faveur d’une hausse du prix baril, les valeurs pétrolières montent également à la Bourse de Paris, TechnipFMC (+5% vers 15h30) et Total (+2,35%) caracolant en tête du CAC 40.
Au sein de l’indice SBF 120, les sociétés parapétrolières Vallourec (+4,95%), Gaztransport & Technigaz (+4%) et CGG (3,20%) s’inscrivent également en forte progression.
Les ministres des pays de l’Opep et de plusieurs autres grands producteurs, dont la Russie, s’étaient réunis à Vienne pour faire le point sur leur politique de production alors que de grands consommateurs de brut comme les Etats-Unis, la Chine et l’Inde appellaient à une baisse des prix de l’or noir afin de soutenir l’économie mondiale.
Depuis l’année dernière, l’Opep et ses alliés ont signé un accord dit « Opep+ », visant à réduire la production cumulée des participants de 1,8 million de barils par jour pour (bpj) désengorger le marché mondial.
Cet accord a contribué à faire remonter le cours du Brent autour de 73 dollars le baril, contre 27 dollars en 2016. Mais les perturbations survenues au Venezuela, en Libye et en Angola ont retiré du marché environ 2,8 millions de bpj ces derniers mois.
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Yalayolo Magazine