[ad_1]
Après moins de trois ans d’existence, Mashable France va disparaître. Lancée en partenariat avec France 24 en mars 2016, la version française du pure-player américain fondé par Pete Cashmore fermera ses portes à la mi-septembre, selon une information révélée par Les Échos.
Cette décision serait selon France24 le fruit de l’échec des discussions menées depuis plusieurs mois entre France 24, qui détient 50% du site, et le groupe de presse américain Ziff Davis.
Ce dernier a mis la main sur Mashable en décembre dernier pour près de 50 millions de dollars. Dans la foulée du rachat, Ziff Davis a décidé de mettre en place une nouvelle ligne éditoriale qui n’a pas été au goût de France 24, indique Les Echos. En effet, le groupe de presse américain mise sur le «commerce affilié», c’est-à-dire le recours à des liens renvoyant vers des sites partenaires en échange d’une rémunération à chaque clic d’un internaute, et le «brand content» pour tirer ses revenus. Par conséquent, la rupture était devenue inévitable.Apple-converted-space »>
Au-delà de cette divergence de point de vue, les résultats de Mashable France ne sont pas vraiment au rendez-vous, avec une audience revendiquée de 2 millions de Visiteurs uniques, quand SimilarWeb en indique 960 000, dont la moitié viennent du site France24, et surtout une marque qui ne s’est jamais installée sur le marché français.
Mashable France emploie sept journalistes, dont quatre en CDI. D’après Les Échos, ces derniers devraient se voir proposer un autre poste dans le groupe France Médias Monde, auquel appartient France 24. Financée par France Médias Monde, la version française avait pu être lancée grâce à une subvention de 980 000 euros accordée par le Fonds pour l’innovation numérique de la presse (FINP), créé par Google en France, (désormais devenu la Digital News Initiative). Le budget annuel était d’un million d’euros selon Frédéric Bonnard, le directeur des nouveaux médias à France Médias Monde, depuis parti pour France Télévisions dont il dirige les activités numériques. Le coût de Mashable France devait être pris en charge par les recettes publicitaires de France 24 qui s’élevaient lors du lancement à 5 millions d’euros, dont 1 million provenant du numérique. L’équilibre budgétaire était d’entrée de jeu difficile à atteindre.
Le lancement de Mashable France avait créé la polémique, notamment avec Johan Hufnagel à la direction de Libération, qui twittait : «Faire une ode à la concurrence quand on est dans un média de service public, c’est gonflé, vous faites votre truc dans votre coin, hors de votre mission, ça aussi c’est bizarre. Essayez de trouver un modèle d’affaire sur Internet et ensuite, on en reparle. Le service public n’a pas à faire concurrence aux médias privés qui existent déjà.»
Amazon continue de renforcer son emprise sur Seattle. Après y avoir ouvert au public une première supérette Amazon Go dans en janvier, la firme de Jeff Bezos vient d’en inaugurer une deuxième dans la ville américaine où se trouve le siège du groupe. Pour rappel, Amazon Go est un concept d’épicerie high-tech où le client n’a plus besoin de passer à la caisse pour payer. Des puces et des capteurs se chargent de comptabiliser les produits embarqués par le consommateur avant d’automatiquement débiter le client sur son compte Amazon.
Plus petit que le premier (168 m2), ce deuxième magasin s’étendra sur une surface de près de 135 m2 proposera une offre plus restreinte, sans alcool et sans cuisine sur place notamment, mais avec des petits-déjeuners, des déjeunes et dîners prêts à manger et des kits de repas. Après Seattle, les supérettes Amazon Go devraient être prochainement lancées à Chicago, San Francisco et Los Angeles.Apple-converted-space »>
(AFP)- Google a fermement démenti mardi les accusations de partialité politique lancées par Donald Trump en soulignant que son moteur de recherche « ne classe jamais les résultats de recherche pour manipuler une opinion politique« .
« La recherche n’est pas utilisée pour défendre un programme politique et nous n’orientons pas nos résultats en fonction d’une quelconque idéologie politique« , a affirmé Google, dans un communiqué au ton très ferme. Mardi matin, dans un tweet, le président américain avait assuré qu’une recherche « Trump News » donnait des résultats « truqués » et en grande majorité critiques.
Digital in Pulse est un programme de soutien des entrepreneurs innovants dans leur développement à l’international, notamment entre la France et la Chine. A l’initiative de Huawei, il est mené depuis 5 ans en partenariat avec Business France, le Comité Richelieu et la French Tech, et soutenu dans les villes de Lyon, Lille, Bordeaux et Nice.
En 2018, afin de célébrer ses 5 ans, Digital In-Pulse lance un appel à projets aux start-up oeuvrant dans les nouvelles mobilités : travaux sur la voiture connectée et autonome, transports du futur, vélos connectés, systèmes de pilotage de transports etc… D’après Huawei, « la France excelle dans les nouvelles technologies et dans les solutions de transports : Digital InPulse souhaite apporter un coup d’éclairage à ce secteur, et à sa promotion en Chine du Sud. »
Le Comité Richelieu et les 4 French Tech à Lyon, Lille, Nice et Bordeaux ont lancé l’appel à projet cet été, pour ensuite organiser un cycle d’audition avec les acteurs de l’écosystème numérique à la rentrée dans les territoires.
Deux lauréats par ville seront promus, avec à la clé, les dotations respectives suivantes :30 000 euros et 20 000 euros, ainsi qu’un voyage d’affaires en Chine.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur la page dédiée de Digital In Pulse 2018.
[ad_2]
Yalayolo Magazine
Mars87 Innovative Digital And Social Media Marketing