[ad_1]
Pour rester compétitif, quelle entreprise peut vraiment se passer de l’analyse et de l’exploitation des données? «Apporter quelque chose sur le marché, se différencier, avoir une proposition de valeur, c’est compliqué de le faire sans la donnée. Cela reviendrait à se regarder soi-même alors que le monde est ouvert », détaille Julie Caredda associée AI & Data Analytics pour KPMG et interviewée lors de la première édition de The Robot of the Year.
« C’est presque de l’acculturation »
Côté utilisation de la data, les niveaux de maturité diffèrent énormément d’une industrie à une autre. Par exemple, là où les acteurs du retail ont très vite su s’emparer du sujet, d’autres à l’instar de la banque /assurance y sont venus plus tardivement et on dû accélérer ces dernières années.
L’un des enjeux est donc de savoir instiller une culture de la data au sein de son entreprise. «C’est un travail de longue haleine et qui touche vraiment toute l’organisation. C’est presque de l’acculturation», explique Julie Caredda. Les usages, l’importance du sujet mais aussi le rôle de chaque collaborateur doivent être clairement expliqués. Puis, la démarche test & learn est essentielle. «Beaucoup de groupes attendent des résultats très rapides», constate l’interviewée. Or, « en voulant des résultats tout de suite sans accepter les échecs, les entreprises se mettent des barrières. Les équipes vont se démotiver et les projets s’essouffler au fur et à mesure».
Retrouvez l’interview complète de Julie Caredda associée AI & Data Analytics pour KPMG:
[ad_2]
Yalayolo Magazine