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#École: la Holberton School ouvre un second campus sur la côte Est
La Holberton School, l’école lancée en 2016 par Julien Barbier et Sylvain Kalache à San Francisco, continue son expansion en s’installant également sur la côte Est des États-Unis, à New Haven dans le Connecticut.
La Holberton School forme les élèves au métier d’ingénieur informatique en deux ans. Ces derniers ne payent rien jusqu’à ce qu’ils trouvent un emploi. Côté fonctionnement, l’école favorise l’apprentissage par projet. En avril 2018, la Holberton School a levé 8 millions de dollars pour former de plus en plus d’ingénieurs.
#Phygital: LDLC ouvre ses premiers magasins «en dur» en Espagne
AFP – Le vendeur en ligne de produits de haute technologie LDLC va inaugurer cet automne ses premiers magasins «en dur» en Espagne, selon un communiqué publié mercredi. Un établissement de 600 mètres carrés ouvrira ses portes à Barcelone le 17 septembre et un autre de 900 m2 à Madrid en octobre. Simultanément, l’entreprise lyonnaise ouvrira un site de vente en ligne spécialement dédié au marché espagnol.
C’est la première fois que le groupe fondé par Laurent de La Clergerie, déjà présent en Belgique, au Luxembourg et en Suisse, s’aventure sur un marché non-francophone. A l’origine «pure-player» de la vente sur internet, LDLC s’est engagé depuis quelques années dans une stratégie de diversification de ses canaux de commercialisation, avec l’ouverture prévue d’une centaine de boutiques d’ici 2021.
#GAFA: Paris et Madrid main dans la main pour taxer les géants du numérique
AFP – Le ministre français de l’Économie, Bruno Le Maire, et son homologue espagnole, Nadia Calviño, ont réitéré mardi leur soutien à l’adoption de la proposition de la Commission européenne sur la taxation des géants du numérique d’ici la fin de l’année.
«Nos concitoyens demandent une fiscalité équitable et efficace», ont indiqué les deux ministres après un déjeuner de travail à Paris, cités dans un communiqué diffusé par Bercy après leur rencontre. «Pour cela, (tous deux) ont réitéré leur détermination à soutenir l’adoption, par le Conseil Ecofin (qui regroupe les ministres des Finances de l’UE), d’ici la fin de l’année 2018, de la proposition de la Commission européenne de taxe sur les services numériques», ont-ils indiqué.
Lors de cette réunion, qui s’est tenue avant l’Ecofin informel de samedi à Vienne, Bruno Le Maire et Nadia Calviño ont exprimé «leur soutien à la présidence autrichienne de l’Union européenne sur ce sujet». Tous deux ont «rappelé que l’adoption de cette solution au niveau européen allait de pair avec la volonté de trouver une solution pérenne sur ces questions au niveau international et qu’il fallait pour cela intensifier encore les travaux au sein de l’OCDE».
Fin mars, la Commission européenne a proposé la mise en place rapide d’une taxe sur le chiffre d’affaires des géants du net, comme Facebook et Amazon, le temps qu’une solution soit négociée à l’échelle mondiale avec l’OCDE. Mais les petits pays comme Malte, l’Irlande et le Luxembourg, accusés de tirer profit de leur fiscalité avantageuse vis-à-vis de ces entreprises, ont sans surprise fait part de leur circonspection, tout comme la Suède, le Danemark, la Finlande mais aussi le Royaume-Uni.
Alors que les géants du numérique sont accusés de pratiquer l’optimisation fiscale en consolidant leurs bénéfices là où ils sont le moins imposés, une taxation sur le chiffre d’affaires réalisé dans un pays donné est plus difficile à contourner.
#USA: un quart des utilisateurs de Facebook ont supprimé l’application en un an
AFP – Un quart (26%) des utilisateurs de Facebook aux États-Unis ont supprimé de leur smartphone l’application du réseau social depuis un an, selon un sondage publié mercredi par l’institut indépendant Pew Research Center. Sans surprise, le mouvement est encore plus marqué chez les 18-29 ans : 44% affirment avoir effacé l’application de leur téléphone portable entre juin 2017 et juin 2018. Supprimer l’application ne signifie pas pour autant se désabonner de Facebook. Le sondage a été réalisé du 29 mai au 11 juin, sur un échantillon de 3 413 utilisateurs de Facebook, issus d’un échantillon plus large de 4 594 personnes.
Le premier réseau social au monde a été mi-mai au centre du scandale lié au cabinet britannique Cambridge Analytica (CA), qui a collecté indûment les données de millions de ses usagers. L’affaire a suscité une prise de conscience chez beaucoup d’internautes, qui se sont soudainement inquiétés de la diffusion de leurs données personnelles. L’entrée en vigueur, fin mai, du nouveau Règlement européen sur la protection des données personnelles (RGPD) a encore attiré un peu plus l’attention des usagers sur le sujet. Facebook a réagi en facilitant la modification des paramètres d’utilisateurs.
Sur les douze mois étudiés par le Pew Research Center, 54% des détenteurs de pages Facebook aux États-Unis assurent avoir modifié leurs paramètres d’utilisateurs. Parmi les 18-29 ans, la proportion monte à 64%. Et 42% des personnes interrogées indiquent avoir volontairement cessé de consulter leur page durant plusieurs semaines, voire davantage. Quelque 74% des usagers du réseau social ont répondu avoir effectué au moins une de ces trois actions (supprimer l’application, modifier les paramètres, ne plus consulter) durant les douze mois de la période considérée.
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