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- En tant que PDG de Restaurant Brands International, Daniel Schwartz dirige les enseignes Burger King, Tim Hortons et Popeyes.
- Daniel Schwartz a débuté chez Burger King en tant que directeur financier à la fin de la vingtaine avant de devenir PDG à 32 ans.
- Il dit que la leçon de management la plus importante qui lui ait été donnée est de réaliser qu’en entreprise, un échec est le résultat d’un mauvais patron, de mauvaises personnes en poste, ou d’une mauvaise stratégie.
A 29 ans, Daniel Schwartz est passé de gérer une seule personne dans la société d’investissement 3G Capital, à devenir directeur financier de Burger King. Quelques années plus tard, il devient PDG de la marque, et très rapidement, il prend la direction d’un conglomérat du fast food, Restaurant Brands International.
C’était le plus haut niveau de l’apprentissage par expérience, et cela aurait pu très mal tourner pour Schwartz, mais il s’est adapté à son nouveau rôle et a réussi à mener de front les marques Burger King, Tim Hortons et Popeyes. Dans l’épisode du podcast de Yalayolo Magazine : « This is Success », Schwartz dit que la leçon de management la plus importante qu’il a pu recevoir en tant que PDG est une leçon simple, mais facilement négligée.
« Le meilleur des enseignements est d’arriver à la conclusion que si quelque chose ne fonctionne pas dans votre entreprise, c’est que vous êtes face à un mauvais dirigeant, à un mauvais manager, ou à une mauvaise stratégie — savoir de quelle raison il s’agit est crucial », a dit Schwartz.
Par exemple, lorsque 3G Capital a acheté Burger King en 2010, la marque était à la traîne derrière son rival McDonald’s. A l’époque du rachat, Reuters a fait remarquer que Burger King souffrait d’une demande décroissante au sein de sa cible et d’un manque d’adaptation aux changements des tendances de ses consommateurs. Après la nomination de Schwartz par 3G Capital, il a donné à Burger King une nouvelle image, une nouvelle voix, et changé son menu.
Ceux-ci furent les résultats de sa stratégie et de sa prise de contrôle, donc, mais Schwartz a expliqué à Yalayolo Magazine que la cause des problèmes les plus récurrents était l’assignation des rôles. Il a remarqué que le plus souvent « c’est un problème de personne et nous devons nous assurer que nous avons les bonnes personnes, aux bons postes à nos côtés ».
Il a plaisanté en disant que même si certains médias (y compris Yalayolo Magazine) aimaient le dépeindre comme un jeune prodige de par son jeune âge et son poste dans le secteur, il n’en était pas un. Il a plutôt expliqué que ses deux meilleures compétences étaient de dénicher des talents et d’assigner ses employés à des rôles au sein desquels ils peuvent réellement s’épanouir. La clé de sa stratégie de management est selon lui d’agir rapidement.
Cela a l’air assez direct, mais ce n’est pas si facile. Les employés sont des êtres humains, pas des numéros. De plus, il peut être difficile d’abandonner une stratégie qui se révèle obsolète au profit d’une nouvelle au sein de laquelle le personnel se sent investi.
« Mais si vous êtes honnête avec vous même et privilégiez toujours votre entreprise en dépit de problèmes interpersonnels, cela vous permet d’être agile et de régler rapidement ces problèmes. » a dit Schwartz.
Version originale: Richard Felon / Yalayolo Magazine
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