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Reconnaissance visuelle, analyse des émotions, compréhension du langage, réconciliation des données… L’intelligence artificielle ne va certes pas remplacer l’humain, mais elle affûte les sens des professionnels du marketing.
L’IA remplacera-t-elle l’humain ? La question a été posée mille fois, et la réponse est souvent la même : « Non ». Mais un « mais » suit presque systématiquement. Si l’IA ne remplacera jamais l’humain et, a fortiori, le marketeur, ses sens sont de plus en plus affûtés ! Pas au point de remplacer l’imagination débordante de notre DA, mais ses milliers d’yeux scrutent déjà ce que vous faites dans les magasins ou sur les réseaux sociaux, tandis que les oreilles d’Alexa, Cortana et autres noms se terminant en « ome » ou « od » se multiplient dans vos foyers. Ces fonctionnalités de l’IA ouvrent un nouveau champ de la data, visuelle, sonore… Comment exploiter au mieux ces nouvelles données ? Je vous le donne en mille : grâce à l’IA ! Elle devient la tête pensante de vos entreprises, à défaut de prendre les décisions. Car comme le dit l’essayiste Idriss Aberkane, dans l’IA, il y a certes beaucoup d’intelligence, mais elle est plus humaine qu’artificielle. Si l’IA sait jouer aux échecs ou au jeu de go, c’est parce qu’elle a enregistré et disséqué une somme astronomique de décisions humaines.
Aux nombreux directeurs marketing qui se demandent comment utiliser l’IA, tant pour augmenter leurs performances que pour travailler l’image innovante de leur marque, nous dédions ces articles (voir ci-dessous). Quels sont les usages les plus matures ? Peuvent-ils être déployés à grande échelle ? Comment collaborer avec l’IA ? Stop au bullshit ! « La vraie IA est caractérisée par son approche non-déterministe. Souvent, ce qu’on nous vend comme de l’IA est simplement l’analyse statistique à grande échelle, explique Guilhem Fouetillou, fondateur de Linkfluence. Aux États-Unis, si vous dites IA dans un pitch, vous levez des fonds. La règle est : « Fake it and did yourself », explique-t-il, avant de souligner que de nombreuses solutions se basent sur les moteurs open source des GAFA : « Nous utilisons Tensorflow de Google, que nous avons bien sûr adapté. Nous avons une équipe de pionniers de l’IA, dont certains reçoivent chaque semaine des propositions à plusieurs centaines de milliers de dollars pour aller dans la Silicon Valley… »
L’IA a un coût, notamment humain. Mais plus vite vous vous en emparez, plus vite vous saurez si vous êtes fait pour elle ou non. « Se montrer innovant est une chose, mais l’avantage d’un projet IA, c’est de faire un état des lieux internes de votre entreprise : soit vous faites de l’IA pour exploiter les données que vous avez, soit vous essayez d’en faire pour voir les données qu’il vous manque », avance Douglas Willcocks, CDO d’Artefact.
Se pose alors la question : IA ou IA pas ?
– L’IA nous tient à l’oeil
À l’heure où les parcours sont de plus en plus complexes et la data omniprésente, difficile d’avoir un oeil sur tout. Heureusement, l’IA est là, et ouvre le champ des possibles pour les retailers désireux d’améliorer l’expérience client, ou pour les pros des études prêts à percer tous vos secrets.
– L’IA donne de la voix
Dans le domaine vocal, si l’intelligence artificielle semble encore à ses balbutiements, elle participe à créer une conversation plus « humaine » sur les assistants vocaux.
– Et demAIn, quelles perspectives ouvrent l’IA?
Alors que près de 70% des marques envisagent principalement l’intelligence artificielle pour personnaliser leurs offres et l’expérience client, l’horizon ouvert par l’IA dans le marketing pourrait être plus… troublant.
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