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#Flashback: Twitter se prépare à un retour chronologique de ses tweets
AFP – Twitter s’apprête à faire machine arrière après avoir provoqué la grogne de ses utilisateurs il y a deux ans, en modifiant son algorithme pour leur permettre de voir les messages les plus marquants sur leur fil d’actualité, rompant avec l’habituel ordre chronologique dans lequel apparaissaient les messages. Le réseau social aux 280 caractères «travaille sur de nouveaux moyens de vous donner plus de contrôle sur votre fil d’actualité», a-t-il annoncé dans une série de messages lundi soir.
Il autorisera dorénavant ses utilisateurs à choisir leur fil d’actualité selon leurs préférences : les messages pourront s’afficher soit par ordre strictement chronologique, soit via l’algorithme qui choisit et met en avant les «meilleurs» tweets, une fonction notamment calquée sur celle de Facebook. Ce choix sera proposé aux internautes «dans les semaines qui viennent», a précisé le réseau social à l’oiseau bleu.
La nouveauté instaurée il y a deux ans a permis à Twitter d’être «plus pertinent et pratique», a assuré l’entreprise basée à San Francisco, qui explique prendre également en compte «les réactions de ses utilisateurs» adeptes de l’ancien mode de fonctionnement chronologique.
#Apple: l’Irlande récolte les fonds exigés par l’UE sur un compte bloqué
AFP – Le gouvernement irlandais a annoncé mardi avoir récolté auprès du géant Apple la somme de 14,3 milliards d’euros qui correspond à des avantages fiscaux jugés indus par l’Union européenne (UE) et qui a été placée sur un compte bloqué. Le ministre des Finances irlandais Paschal Donohoe a expliqué dans un communiqué qu’au cours des deuxième et troisième trimestres, Apple a déposé cette somme sur ce compte, correspondant aux 13,1 milliards d’euros d’aides d’État présumées ainsi que 1,2 milliard d’intérêt.
L’Irlande avait signé en avril avec Apple un accord sur la mise en place de ce compte sous séquestre pour accueillir les capitaux correspondant aux arriérés d’impôt. La somme est placée sur ce compte bloqué en attendant le résultat des appels du pays et du groupe américain sur le fond de la décision européenne d’imposer à Apple le remboursement à Dublin de ces «avantages fiscaux indus».
Le ministre irlandais a répété mardi qu’il contestait l’analyse de l’UE sur ce dossier, mais que cette étape montrait l’engagement de son pays à se conformer à ses obligations légales. «Il a fallu du temps pour bâtir l’infrastructure et le cadre légal autour de ce fonds sous séquestre mais il était essentiel de protéger l’intérêt de toutes les parties», explique Paschal Donohoe.
Bruxelles estime qu’Apple a payé trop peu d’impôts en Irlande du fait d’un accord fiscal passé pendant des années avec les autorités irlandaises qui lui aurait permis de ne soumettre à l’impôt qu’une infime partie des milliards gagnés en Europe – alors que la marque à la pomme fait transiter de nombreux revenus en Irlande qui abrite son siège pour le continent. La Commission avait demandé il y a plus d’un an à l’Irlande de commencer à récupérer les fonds.
Apple et Dublin offrent un front commun pour contester ces accusations, jugeant tout à fait légales les conditions fiscales entourant l’activité de la marque à la pomme en Irlande. Le siège européen d’Apple en Irlande y enregistre tous les bénéfices réalisés dans cette zone géographique ainsi qu’en Afrique, au Moyen-Orient et en Inde.
#Cybersécurité: les cyberattaques par les États-nations en hausse
AFP – Les cyberattaques au «rançongiciel» sont de plus en plus liées à l’action des États-nations, a indiqué mardi l’agence européenne de police criminelle Europol. Désignées par le terme «rançongiciel» (contraction de rançon et logiciel, «ransomware» en anglais), ces attaques consistent à s’emparer des données d’un utilisateur via des logiciels malveillants avant d’exiger une rançon en échange de leur déblocage.
En 2017, des logiciels tels que WannaCry ou NotPetya avaient contaminé plusieurs centaines de milliers d’ordinateurs dans le monde, causant des pertes économiques importantes. «En plus des attaques menées par des criminels pour des motivations financières, les cyberattaques mondiales sont, selon de nombreux rapports publics, de plus en plus attribuées aux actions des États-nations», affirme Europol, dont le siège se situe à La Haye, dans son dernier rapport annuel sur la cybercriminalité.
Le 6 septembre, les États-Unis ont annoncé l’inculpation d’un programmateur informatique nord-coréen, accusé d’avoir mené pour le compte du régime de Pyongyang certaines des plus importantes cyberattaques des dernières années, dont le piratage du studio de cinéma Sony en 2014, l’attaque contre la Banque centrale du Bangladesh en 2016 et l’attaque au «rançongiciel» WannaCry en 2017. En février, les États-Unis et le Royaume-Uni avaient pointé du doigt la responsabilité de la Russie dans la cyberattaque NotPetya, Washington accusant Moscou d’avoir voulu déstabiliser le régime ukrainien.
Selon Europol, les pirates informatiques délaissent «les attaques aléatoires» afin de cibler des personnes ou des compagnies qui présentent «de plus gros profits potentiels». Les cyberattaques qui visaient autrefois les entreprises financières traditionnelles se concentrent désormais sur les cryptomonnaies, comme le bitcoin, ajoute l’agence européenne de police criminelle.
Cependant, les cyberattaques classiques telles que le «hameçonnage» par mail («phishing» en anglais), qui trompent les utilisateurs en leur offrant par exemple une assistance technique ou de faux espoirs de gains financiers, «génèrent toujours un nombre considérable de victimes». Dans son rapport, Europol tire également la sonnette d’alarme sur la diffusion en direct d’agressions sexuelles d’enfants, une tendance grandissante dans ce que l’agence qualifie d’«aspect le plus dérangeant de la cybercriminalité».
#eCommerce: Après la France, ArcelorMittal va déployer la vente en ligne en Europe
AFP – Le groupe sidérurgique ArcelorMittal a indiqué lundi que la vente en ligne de produits, lancée en France en janvier 2018, va se poursuivre en Europe avec le Benelux et l’Italie en fin d’année, puis l’Espagne et l’Allemagne en 2019. Le groupe précise, dans un communiqué, que son site de vente en ligne couvre depuis cet été toute la France à travers les 29 agences de la branche ArcelorMittal Distribution West Europe, et affirme que cette initiative est un «succès» et marque «un tournant stratégique».
Dans certaines des agences, les commandes en ligne représentent «déjà plus de 20%» des ventes, note le groupe, qui «envisage (…) de dépasser son premier objectif pour 2021 : réaliser 25% de ses ventes en ligne sur toute la France». «Nous mesurons aujourd’hui l’importance du canal de vente digital. Après quelques mois d’expérience, nous voyons à quel point les mentalités évoluent rapidement», a commenté le directeur général d’ArcelorMittal Distribution Solutions France, Jean-Baptiste Courtier, cité dans le communiqué. Le site ArcelorMittal e-steel propose des tôles, poutrelles, barres, tubes, en acier, au carbone, inox ou aluminium. Le client commande et choisit de retirer les produits en agence ou de se faire livrer.
#Nomination: BPCE nomme Laurent Benatar directeur général adjoint
AFP – Le géant français de la banque mutualiste BPCE a annoncé mardi le recrutement de Laurent Benatar, actuellement chez Orange France, en tant que directeur général adjoint qui sera notamment en charge de la transformation du groupe. «Laurent Benatar, actuellement directeur technique et des systèmes d’information (SI) d’Orange France, rejoindra le groupe dans les prochaines semaines comme directeur général adjoint (…). Il aura notamment en charge l’informatique du groupe», est-il indiqué dans un communiqué.
Ce dernier a effectué sa carrière au sein du groupe Orange où «il a accompagné la montée en puissance des réseaux fixes et mobiles, les grands projets cloud et data center et les nouvelles offres emblématiques Open, la fibre ou encore Sosh, la marque 100% digitale et communautaire d’Orange», précise le groupe.
Engagé dans une transformation de son modèle, le groupe bancaire mutualiste mise fortement sur le numérique, à l’instar de ses concurrents, notamment via le rachat de FinTech, telle que Fidor, ou en développant des solutions de paiement mobile. Laurent Benatar remplace à ce poste Jean-Yves Forel qui lui sera à présent responsable de la stratégie de développement de Fidor et plus généralement de la banque de proximité en Europe.
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