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#Industrie: l’ex-numéro deux d’Airbus atterrit à la tête de la filiale française de Palantir
L’information a été révélée par Intelligence Online (paywall) : Fabrice Brégier, 57 ans, ancien numéro deux du groupe Airbus en charge des avions commerciaux, devrait prendre la tête ce vendredi 28 septembre de la filiale française de Palantir. Cette startup américaine, fondée en 2004 et basée à Palo Alto en Californie, est spécialisée dans le traitement et l’analyse de données. Malgré sa discrétion, la licorne valorisée plus de 20 milliards de dollars, laisse dans son sillage une réputation sulfureuse, pour le moins, notamment pour ses rapports étroits avec la CIA, la NSA, ou le FBI.
Palantir connaissait déjà Airbus, pour avoir collaboré avec une première fois avec l’avionneur européen, afin de réduire les coûts de production de l’A350, puis renouvelé leur partenariat en 2017, avec l’annonce au Bourget d’une plateforme commune de données, nommée Skywise. En 2016, un contrat, signé entre cette fois-ci entre Palantir et la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure) avait déjà défrayé la chronique.
#E-santé: Doctolib se lancera dans la téléconsultation médicale à partir de janvier 2019
Depuis le15 septembre, les téléconsultations médicales seront remboursées par la Sécurité sociale. Pour profiter de cette aubaine, plusieurs sociétés se sont lancées dans le créneau et des entreprises étrangères ont décidé de récemment de se lancer sur le créneau dans l’Hexagone. Au tour de Doctolib, spécialisé dans la prise de rendez-vous en ligne chez les professionnels de santé, de se lancer dans le secteur. Le service sera accessible à partir de janvier 2019.
#SocialMedia: Facebook accélère sur le format «stories», désormais ouvert à la publicité
AFP – Facebook entend développer son format « stories », utilisé quotidiennement par 300 millions de personnes, et l’ouvrir davantage aux annonceurs qui peuvent désormais placer de la publicité sous ce format, a annoncé le groupe mercredi.
Lancé en mars 2017 sur Facebook et Facebook Messenger, le format « stories » est hérité d’Instagram (filiale de Facebook), qui le propose depuis 2016 et s’est largement inspiré lui-même d’un autre réseau social, Snapchat, pionier du genre en 2013. Il permet aux utilisateurs de Facebook de créer et partager du contenu vidéo et/ou photo, en utilisant parfois la réalité augmentée (en ajoutant des lunettes ou un chapeau par exemple), et souvent agrémenté de texte et d’émojis. Une fois postée, la « story » n’est visible que 24 heures, puis disparaît définitivement de Facebook. En mai, Facebook revendiquait 150 millions d’utilisateurs quotidiens de « stories » sur sa plateforme.
En un peu plus de quatre mois, le chiffre a doublé, signe de la popularité du format. Le réseau rattrape ainsi son retard sur sa filiale Instagram, qui compte 400 millions d’utilisateurs quotidiens de « stories ». Pour inciter les utilisateurs à recourir davantage à ce format, le réseau social enrichit la palette des outils accessibles pour créer une « story ». A partir de la semaine prochaine, il va progressivement offrir la possibilité d’utiliser une chanson pour illustrer une « story », une option facilitée par la conclusion d’accords avec les trois principaux labels musicaux du monde, finalisée en début d’année.
Pour accélérer encore le développement du format, Facebook a également annoncé mercredi l’ouverture officielle de « stories » à la publicité. Concrètement, en passant en revue les « stories », les utilisateurs verront, à intervalles réguliers, s’intercaler la « story » d’une marque ou plus généralement d’un annonceur. Selon une enquête réalisée par Facebook dans douze pays, 62% des personnes interrogées disent s’intéresser davantage à une marque ou à un produit après l’avoir vu dans leur fil de « stories ». Outre le format attractif utilisant l’image sur la totalité de l’écran du smartphone, l’un des atouts de ce format est qu’il est conçu sur un modèle « pull », ce qui signifie que l’utilisateur fait la démarche de consulter une « story », plutôt que « push », comme le fil d’actualité, sur lequel les messages lui arrivent sans qu’il les ait choisis.
#Résultats: les gagnants du Startup Tour révélés
On connait les gagnants de la seconde édition du Startup Tour organisé par FrenchFounders et BNP Paribas. Après 6 compétitions organisées de juin à septembre 2018, les finalistes se sont retrouvés face à une assemblée de plus de 500 participants et des personnalités de l’écosystème (politiques, entrepreneurs et investisseurs français et américains). Parmi eux, des membres du gouvernement comme Jean-Baptiste Lemoyne, ministre d’État, attaché au ministère Européen des Affaires Etrangères.
Mohamed Houache, CEO de Storefront, a remporté le First Prize soit un package d’une valeur supérieure à 100 000 dollars. Mayur Saxena, fondateur de DroiceLabs est reparti avec l’American Prize, un accompagnement de la startup en France, soutenu par Business France, Paris Region (PRIME) et BNP Paribas. Joshua Hass, co-fondateur de Bubble a gagné le AAGEF Prize – un package d’une valeur de 6 000 dollars donnant accès à des mentors exclusifs issues des Grandes Ecoles. Teo Borschberg, co-fondateur et CEO de Oto, a mis la main sur le People’s Choice Prize – un package d’une valeur de 3 500 dollars avec accès à des mentors membres de FrenchFounders.
#FrenchTech: l’armateur CMA-CGM lance Zebox, incubateur et accélérateur de start-up innovantes
AFP – AFP – Accompagner les start-up innovantes dans le domaine du transport, de la logistique ou encore de l’intelligence artificielle: c’est l’objectif que s’est fixé l’armateur français CMA-CGM avec l’inauguration jeudi à Marseille de « Zebox », un incubateur et accélérateur de projets à vocation internationale.
Cinq premières start-up ont pris place dans les 800m2 de bureaux égayés d’oeuvres d’art contemporain, inaugurés jeudi par la ministre des Transports Elisabeth Borne. « L’objectif est d’en accompagner 12 à 16 par an et 6 à 8 par cycle d’accélération d’ici 2020« , explique Matthieu Somekh, responsable de Zebox. La structure, créée par le numéro trois mondial du transport maritime par conteneurs, a vocation, outre un soutien financier, à accompagner avec ses quatre partenaires (Accenture, BNP Paribas, centrimex, EY) les startups dans leur développement en leur apportant « son expertise et ses réseaux« , résume M. Somekh. L’hébergement et l’accompagnement est facturé à « taux très faible » pour les startups en phase d’incubation (d’une durée d’un an avec une option de six mois supplémentaires).
Pendant celle d’accélération (8 mois), la participation de la CMA-CGM se traduira par la prise d’obligations convertibles en vue de devenir à terme actionnaire, poursuit M. Somekh qui refuse d’en dire plus sur le montant de l’aide apportée. « Zebox est un événement fondamental de la stratégie digitale du groupe CMA-CGM. Le digital est à la fois pour nous un levier de croissance, de différenciation et de performance« , a souligné le PDG de la CMA-CGM Rodolphe Saadé, lors de l’inauguration.
Parmi les projets sélectionnés par Zebox, figure notamment Transpare, une plateforme digitale permettant aux exportateurs et importateurs de comparer les transitaires maritimes et aériens (intermédiaires entre les expéditeurs et les transporteurs chargés de la logistique) avec « plus de transparence », notamment grâce à un outil de cotation et au partage d’avis, et qui doit leur offrir un gain de temps, vante son fondateur Ali Messoudi. « On est aux prémices de la digitalisation dans le fret, les innovations arrivent lentement », observe l’entrepreneur de 27 ans, ravi de ne pas « travailler dans son salon » et de bénéficier d’un accompagnement au moment crucial du développement de son entreprise. « On profite des réseaux, de conseils dans le choix des profils de recrutement et dans la recherche d’investisseurs« , poursuit le jeune dirigeant, qui a réussi à dégager 100.000 euros de chiffre d’affaires par mois depuis le lancement de son activité en juillet.
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