[ad_1]
La start-up française Iconem est capable de faire revivre Pompéi avant l’éruption du Vésuve, le temple de Bel à Palmyre en Syrie, les ruines laissées par les guerres en Afghanistan et en Irak, ou celles du tremblement de terre en Haïti. Cofondée par un ancien architecte indépendant reconverti dans les nouvelles technologies, Iconem utilise la numérisation 3D grâce aux données récoltées par des drones.
Côté modèle économique, alors que les besoins pour chaque projet sont importants, la start-up recherche désormais de nouvelles sources de financement. Sur «un marché naissant», selon le cofondateur Yves Ubelmann, elle trouve quelques clients auprès des ONG, telle l’UNESCO, des gouvernements (Oman, Afghanistan) ou des instituts culturels (Le Louvre, RMN Le Grand Palais avec l’exposition «sites éternels»). Mais pour assurer sa pérennité et aller chercher des privés et des particuliers, l’entreprise vient de créér un fonds de dotation pour «la sauvegarde et la conservation du patrimoine».
Fin 2015, Parrot, le spécialiste français des drones prenait 45% du capital de la société avec l’intention de dégager de la rentabilité sur le segment des drones professionnels.
[tabs]
[tab title= « Iconem: les données clés »]
Fondateur : Yves Ubelmann, Philippe Barthélémy
Date de création : 2013
Siège : Paris
Effectifs : 2 / équipes locales
[/tab]
[/tabs]
[ad_2]
Yalayolo Magazine