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#Mobilité: la Mairie de Paris se méfie des trottinettes électriques
Si les nouvelles formes de mobilité séduisent de plus en plus d’utilisateurs, elles ont aussi le don d’irriter fortement les municipalités. C’est notamment le cas de la Mairie de Paris qui entend bien agir pour sanctionner les abus des usagers des trottinettes électriques en libre-service (Lime, Bird, Taxify…) qui ont envahi les trottoirs parisiens depuis cet été. Pour se faire entendre, plusieurs représentants de la municipalité parisienne, notamment Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la maire de Paris, et Christophe Najdovski, adjoint à la maire de Paris chargé des transports, des déplacements, de la voirie et de l’espace public, ont signé une tribune publiée par Libération.
«Ces nouvelles mobilités (vélos, scooters, trottinettes…) permettent de découvrir la ville sous un autre angle, offrant un moyen de transport efficace pour les petits trajets. […] Mais ils donnent lieu à certains abus», notent les élus. Ils dénoncent notamment le stationnement non-approprié des engins et le mauvais comportement de certains utilisateurs, dangereux pour les piétons. «Nous ne souhaitons pas bannir ces nouvelles façons de se déplacer à Paris. […] Mais pour qu’elles prospèrent et servent l’intérêt général, les innovations doivent être accompagnées et encadrées par la puissance publique. […] Il est urgent que le gouvernement, à travers sa loi Orientation des mobilités, vienne combiner un vie juridique», estiment-ils.
A défaut d’interdire les trottinettes électriques et les autres services de mobilité en libre-service, la Mairie de Paris souhaite la mise en place d’une réglementation pour apaiser la situation, avec la possibilité de retirer l’agrément d’un opérateur s’il ne fournit pas d’efforts pour responsabiliser ses utilisateurs. En attendant un vote du Parlement dans ce sens, la municipalité parisienne demande aux agents de la protection et de la sécurité parisienne de verbaliser les comportements à risque.
#eCommerce: Crystal City en pole position pour accueillir le second siège social d’Amazon
Les choses se précisent pour le nouveau siège social d’Amazon. Le géant américain du commerce en ligne serait ainsi en «négociations avancées» avec Crystal City, une commune limitrophe de Washington dans le nord de la Virginie, pour y installer son deuxième centre névralgique aux États-Unis, après celui de Seattle, le siège historique du groupe. L’information a été révélée par le Washington Post, qui n’est autre qu’un journal détenu par… Jeff Bezos, le patron d’Amazon. Plusieurs détails auraient déjà été évoqués entre les deux parties, comme la vitesse du transfert des employés vers les nouveaux locaux, l’emplacement des bâtiments et l’annonce officielle du déménagement.
Attendue après les élections de mi-mandat aux États-Unis, la décision d’Amazon mettra fin à une bataille qui a opposé 238 villes américaines, mais aussi canadiennes ou encore mexicaines. Pour être sélectionné, la firme américaine avait indiqué que le nouveau site doit permettre d’accueillir plusieurs milliers d’employés et être situé dans une métropole d’au moins un million d’habitants à moins de 45 minutes d’un aéroport international. Pour séduire un maximum de villes, Amazon avait fait part de son intention d’investir 5 milliards de dollars dans le cadre de ce projet et de faire venir 50 000 employés dans son deuxième siège social.
#USA: Twitter supprime 10 000 comptes appelant à s’abstenir aux élections de mi-mandat
AFP – Twitter a confirmé avoir supprimé des comptes automatiques qui écrivaient des messages pour décourager les électeurs d’aller voter mardi aux élections législatives de mi-mandat aux États-Unis. La presse américaine a indiqué que ces comptes étaient au nombre de 10 000. Le réseau social a indiqué avoir «supprimé des comptes qui tentaient de faire passer de fausses informations de façon automatique – en violation de nos règles».
Selon CNN, c’est le comité de campagne des démocrates qui a alerté Twitter sur ces comptes, qui ont été supprimés en septembre et en octobre. Ces comptes cherchaient à donner l’impression qu’ils étaient gérés par des démocrates. Les auteurs véritables n’ont pas été démasqués, mais semblent se trouver aux États-Unis et non hors des frontières, selon plusieurs médias.
Encore marqué par les accusations de manipulation par la Russie sur sa plateforme pendant la campagne présidentielle de 2016, Twitter dit avoir cherché ces derniers mois à éliminer les faux comptes ou comptes automatiques destinés à manipuler l’opinion avant les élections législatives de mi-mandat. Le président Donald Trump s’était récemment plaint de son côté que le réseau social, un de ses outils de communication préférés, supprimait les comptes de certains de ses partisans.
#Cybersécurité: 64% des Européens ne savent pas où sont stockées leurs données personnelles
AFP – Le spécialiste de l’antivirus Kaspersky, qui vendra à partir de 2019 une solution permettant aux particuliers de mieux maîtriser la circulation de leurs données personnelles sur la toile, a publié une étude détaillant les nombreux manques et défaillances des Européens en matière de sécurité des données. Ainsi, 64% d’entre eux reconnaissent ne pas vraiment savoir où sont stockées et qui détient leurs données personnelles (adresse mail, numéro de téléphone privé, date de naissance…). 39% des parents interrogés dans cette étude (réalisée auprès de 7 000 Européens) ignorent quelles informations personnelles leurs enfants partagent en ligne. 20% des consommateurs ne protègent pas leur connexion WiFi avec un mot de passe. Et 31% n’ont pas mis à jour les options de sécurité de leur routeur WiFi, tandis que 30% n’utilisent pas de logiciel de sécurité sur leurs terminaux.
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