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À l’heure où ChatGPT est au cœur des discussions, The Creator tombe à pic et entend offrir une réflexion sur l’intelligence artificielle et ses bénéfices mais aussi et surtout ses risques.
Le soulèvement des robots, la naissance d’une conscience artificielle et sauvegarde de l’humanité, la science-fiction s’évertue à questionner de possibles futurs depuis des décennies. Sauf que depuis Métropolis ou 2001 : L’odyssée de l’Espace, nos sociétés ont largement évolué et les nouvelles technologies n’ont eu de cesse de progresser jusqu’à s’inviter dans chaque détail de nos quotidiens. Des assistants virtuels qui peuvent programmer une alarme ou répondre à une question existentielle ou encore des aspirateurs qui effectuent vos basses besognes, les machines ont su se rendre indispensables à bien des égards.
Depuis quelques mois, c’est l’assistant conversationnel ChatGPT qui fait beaucoup parler de lui. Entre fascination et craintes, les amateurs de nouvelles technologies regardent cet outil gagner en efficacité et menacer par la même occasion plusieurs branches de métiers. Les scénaristes, en grève depuis le début du mois, ont d’ailleurs ajouté ce volet à leurs doléances.
Gareth Edwards va aussi interroger la place de tels outils dans nos sociétés, à travers un récit d’anticipation pour le moins ambitieux. En partenariat avec 20th Century Studios, le réalisateur s’apprête à dévoiler The Creator. Dans un futur proche, humains et IA se livrent une guerre sans merci. Joshua, un ex-agent des forces spéciales fragilisé par la disparition de sa femme, est recruté pour traquer et neutralisé l’architecte d’une arme qui pourrait mettre fin à la guerre… et détruire le monde. Sa mission va néanmoins se compliquer lorsqu’il découvre que l’IA a pris les traits d’un jeune enfant.
Gareth Edwards a une certaine connaissance de la science-fiction, après tout, il a signé un opus de l’une des sagas les plus populaires du genre. Le réalisateur de Rogue One explore néanmoins de nouveaux horizons avec cette épopée d’anticipation nerveuse et on l’espère aussi, un peu métaphysique. Les images partagées ce week-end ne laissent que peu de place au doute concernant la tonalité du récit et les enjeux narratifs. Il s’agira de confronter l’action à des moments plus enlevés sur la notion de mal nécessaire. L’histoire nous plongera dix ans après qu’une intelligence censée nous défendre ait décidé de raser Los Angeles de la surface du globe. Il s’agira sans doute de découvrir les raisons qui ont motivé ce choix.
Bientôt le début des hostilités
Pour porter son aventure au cinéma, Gareth Edwards a fait appel à sacré casting. Le rôle principal a d’ailleurs été confié à un acteur plutôt à l’aise dans le registre puisque c’est John David Washington (Tenet) qui tient l’affiche. À ses côtés, il faudra compter sur Gemma Chan (Les Éternels), Ken Watanabe (Inception) et Sturgill Simpson (Dog). À noter que Gareth Edwards s’est entouré des meilleurs et entend soigner sa copie visuelle et sonore. C’est Greig Fraser qui est annoncé à la photographie. Il avait déjà montré l’étendue de son talent avec The Batman et Dune. Il sera d’ailleurs aussi crédité en tant que directeur de la photo pour le second volet mis en scène par Denis Villeneuve.
Un film de science-fiction ne serait rien sans sa musique originale, et Gareth a confié la tâche à Michael Giacchino. Le compositeur a déjà signé quelques-unes des partitions les plus marquantes de ces dernières années comme avec Là-Haut ou plus récemment The Batman et Spider-Man : No Way Home. Rendez-vous le 27 septembre prochain au cinéma pour découvrir The Creator. Il faut bien avouer que la bande-annonce est particulièrement alléchante. La fin d’année sera donc placée sous le signe de la science-fiction avec la sortie prochaine de Dune et le retour de Black Mirror sur Netflix.
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