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Dans le milieu désormais très feutré des NFT et du Métaverse, il est vrai que l’on peut avoir du mal à trouver de vrais artistes au milieu des centaines de milliers de visuels qui sont lancés chaque jour. Pourtant, son nom devrait vous dire quelque chose tant il est parvenu à se faire un nom dans l’industrie : Gal Yosef. Prodige autodidacte dans le domaine de l’art 3D et de la sculpture numérique, Gal Yosef se spécialise dans la réimpression de personnages de dessins animés bien connus. Sa curiosité et sa passion pour la peinture et le dessin l’ont incité à commencer à expérimenter la conception 3D alors qu’il n’avait que 12 ans.
L’art de Gal Yosef continue d’évoluer dans le style de ses dernières pièces, qui dépeignent une version plus sombre et avant-gardiste d’un univers de dessins animés imaginé de toute pièce cette fois et qui commence à pénétrer doucement mais sûrement le Métaverse et est disponible chez son distributeur, Eden Gallery.
GAL n’a pas fréquenté d’école d’art, il a appris tout ce qu’il sait sur la modélisation 3D par lui-même. Et il l’a fait à fond, travaillant comme designer indépendant dès l’âge de 21 ans, ouvrant son propre studio de design un an plus tard et attirant des clients comme Unilever et Mini Cooper.
L’ Art qu’il pratique est la conséquence logique de ces préoccupations. Il a recherché une nouvelle dimension car, comme il le dit, “il y a de la place pour toutes sortes de créativité dans le Pop Art“. Réinterprétés par Gal, des personnages iconiques de notre enfance a tous nous racontent l’éternelle histoire de la vanité humaine, l’obsession de l’argent, de la mode, du pouvoir : que seraient ces personnages en immersion dans la vrai vie actuelle, quelle serait leur interaction avec les marques de luxe ?
Surfant désormais sur la hype des NFT et du Métaverse avec le lancement de la collection NFT Meta Eagle Club, sa représentation futuriste, l’artiste s’est fait un nom et collabore désormais avec des personnalités bien connues du grand public.
En exclusivité, nous avons pu l’interviewer.
Hello Gal, peux-tu nous parler de toi ?
Je suis un artiste qui a démarré très tôt, à l’âge de 12 ans et depuis toujours obsédé par le dessin et plus spécifiquement les personnages emblématiques comme Pokemon, Disney, Lucky Luc. Ce que j’aime le plus, c’est construire un tout nouveau monde fait pour ces personnages à travers un tout nouvel univers qui puisse raconter de belles histoires.
Depuis combien de temps es-tu un artiste 3D ?
Depuis mon plus jeune âge je suis ce créneau, il a fallu trouver un premier logiciel sans l’aide de tuto à l’époque. Au départ j’ai passé 3 mois à utiliser un logiciel de modélisation 3D mais je n’arrivais pas toujours à obtenir les résultats souhaités. Un peu après mes vingt ans j’ ai commencé à m’investir de manière beaucoup plus intensive dans la modélisation 3D, je passais des journées de 15 heures à perfectionner mon art et la gestion du logiciel. Mes œuvres et les personnages étaient alors devenus une obsession.
A ce moment-là j’ai aussi commencé à obtenir mes premiers contrats ce qui m’a permis d’ouvrir un studio et à ce moment là de très nombreuses demandes pour des projets me sont parvenues.
Est-ce que certains artistes actuels ou passés t’inspirent dans ton travail ?
Aujourd’hui, je ne regarde pas beaucoup autour de moi, je suis très focus sur mon travail et sur mon style. Depuis mon plus jeune âge j’étais fasciné par l’art que je pouvais produire autour de personnages, même si certaines personnes autour de moi me disaient que je me trompais j’ai persisté dans cette voie, j’ai cru en moi et ça a fini par payer. Je n’ai donc pas d’inspiration d’artistes actuels mais plutôt d’artistes iconiques tels que Picasso notamment.
Quelle est la collection qui t’a le plus permis de te démarquer ?
Dans le monde des NFTs j’ai démarré avec un NFT en édition unique réalisé avec Steve Aoki qui s’est vendu chez Sotheby’s pour 214 000 dollars.
Ensuite, la collection “Crypto Bull Society” ou j’ ai été impliqué en tant qu’ artiste a été un énorme succès, l’ensemble des 7,777 NFTs ont été “Sold out” le jour même pour une valorisation à 6 millions de dollars au moment du Mint. Aujourd’hui, les Crypto Bull ont été acheté au total pour plus de 50 millions de dollars avec le second marché qui s’en est suivi. C’était émouvant pour moi que l’ argument principal de promotion du drop était mon nom, c’est le résultat de tellement de travail.
J’ai également vendu pour plusieurs millions de dollars de collections physiques. Je suis aujourd’hui un artiste représenté par la très célèbre Eden Gallery qui a des enseignes entre autre à New York, Londres, Aspen ,Mykonos, Miami et bientôt Dubaï.
De nombreuses célébrités apprécient ton travail, Justin Bieber notamment, peux-tu nous en dire plus ?
Oui en effet j’ai collaboré avec Justin Bieber dans le cadre de sa collection de vêtement “Drew House”. L’événement organisé à Miami lors d’Art Basel autour de mon art a permis de rassembler des milliers de fans dont certaines célébrités comme Jordan Belfort qui a inspiré le film “Le loup de Wall Street” mais aussi le célèbre Youtubeur David Dobrik, ou encore le rappeur “A Boogie wit da hoodie” qui y a même fait un show.
Je ne peux pas en dire plus aujourd’hui mais d’importants projets sont à venir avec de grandes célébrités.
En regardant tes œuvres on a l’impression que les personnages sont vivants tellement il y a de détails, quel est ton secret pour créer des œuvres si originales ?
J’ai créé mes propres outils qui me permettent de créer sans limites. J’utilise des logiciels qui existent sur le marché mais avec le temps j’ai développé mes propres méthodes qui me permettent d’atteindre le résultat que je souhaitais. Mais au-dessus de la simple technique, nécessaire, le plaisir est d’ essayer de créer de l’émotion.
Quelle est ta vision sur le phénomène NFT ainsi que ses déclinaisons dans le métaverse ?
Les NFTs sont plus qu’une mode, ils ont de beaux jours devant eux. En revanche, avec le temps, je pense que les artistes reconnus auront une place de plus en plus prépondérante . Les projets avec peu de réflexion artistique auront plus de difficulté à éclore selon moi.
Pour ce qui est du Métaverse, de nombreuses personnes se demandent ce qu’il se passe, je suis persuadé que de la même manière que les prix des appartements augmentent à New York, ils vont augmenter dans le métaverse au fur et à mesure de l’adoption et ceux qui auront la chance de détenir une parcelle détiendront les mêmes avantages que les propriétaires de bien immobiliers dans le monde réel.
Meta Eagle Club est ton projet phare aujourd’hui, peux-tu nous expliquer le projet ?
Actuellement je travaille sur mon plus gros projet NFT depuis mes débuts qui se nomme “Meta Eagle Club”. Cette Collection de NFT disposant chacun de ses propres caractéristiques prendra vie au sein d’un écosystème : le “Galyverse”. L’objectif est de retrouver l’ensemble de mes personnages et collections dans un même espace. Pour la première fois, c’ est un projet où je suis artiste mais aussi initiateur aux côtés de ma galerie, Eden Gallery.
Meta Eagle Club est prêt pour devenir une Icône dans le monde de l’art en général comme je l’ espère. Cette collection de NFT offrira également des avantages incroyables à la communauté. L’aspect communautaire de cette collection NFT est très important pour moi et je tiens à honorer les personnes qui la rejoignent chaque jour, cote a cote avec l’ as. Et d’ailleurs, de très grandes célébrités feront partie du Meta Eagle Club.
A l’approche du Mint Day, il va y avoir beaucoup de surprises à venir, le site web va être disponible prochainement, un billboard géant à New York va être utilisé pour mettre en avant la collection, des surprises importantes attendent la communauté.
Pour ceux qui souhaitent s’intéresser de plus près au drop à venir de Meta Eagle Club, quelle est la marche à suivre ?
Le meilleur moyen d’intégrer la communauté et de se tenir au courant des dernières infos est de rejoindre le discord du projet ainsi que le compte Twitter sur lequel on a commencé à présenter les premiers rendus des Meta Eagle et bien sur Instagram et prochainement le site..
Il ne vous reste plus qu’à suivre de près cet artiste prometteur.
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Yalayolo Magazine