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Leader sur le marché de la location de vêtements, l’entreprise Une Robe Un Soir propose de consommer la mode autrement, de façon responsable sans pour autant renoncer au plaisir de porter des nouvelles pièces. Entre location ponctuelle et sélection mensuelle par abonnement, la mode se renouvelle intelligemment.
Offrir une alternative à l’achat pour les occasions particulières
Ancienne avocate d’affaires, Naïma Cardi a choisi de faire de sa passion pour la mode le fil rouge de sa reconversion. A 40 ans, entourée d’un cercle d’investisseurs, des anciens collègues pour la plupart qui apporte au projet à la fois un soutien financier et une expertise dans divers domaines, Naïma Cardi lance Une Robe, Un soir en 2017.
« Le vintage commençait à prendre de l’ampleur et à se démocratiser en France. Un tempo idéal pour pénétrer le marché avec une offre qui cible le business des occasions particulières : cocktails, anniversaires, ou mariages, des évènements pour lesquels le vêtement nécessite souvent un investissement important, et est rarement porté plus d’une fois » explique la fondatrice. Le concept fait mouche auprès d’une clientèle féminine assez large, séduite par la proposition de valeur évidente, celle de concilier nouveauté et économie.
« C’est véritablement avec la location ponctuelle que nous avons appris notre métier de loueur et de logisticien, sans compter le développement web qu’un tel service nécessite. Des étapes clés qui nous ont permis ensuite d’adosser un nouveau service en 2020, celui de l’abonnement ». Attentive aux finances, l’ancienne avocate sait que l’investissement est clé pour permettre à la start-up d’atteindre ses objectifs. Elle organise alors un second tour de table auprès d’un family office et de la société Provestis, qui détient notamment des parts d’OVH ou encore de Kaporal, et dont le président n’est autre que Daniel Bernard, ancien PDG de Carrefour.
La BPI apporte également son soutien au projet en octroyant à Une Robe, Un Soir le label de Jeune Entreprise Innovante, assorti d’une subvention. Grâce à cela, l’entreprise réalise ses premières acquisitions (My Couture Corner et L’Habibliothèque) pour étoffer sa base de données et diriger le trafic. « Chaque acquisition a été suivie d’une intégration de six mois, une période essentielle pour la passation entre les deux équipes managériales » poursuit Naïma Cardi.
L’occasion de faire le tri entre les bonnes idées, et les pratiques à proscrire, car dans ce type d’activités, la logistique peut rapidement devenir le maillon faible de votre business. « Il faut constamment anticiper les différents scénarii : celui d’un retard de livraison, prévoir des temps tampons entre deux locations pour éviter les chevauchements, intégrer le contrôle qualité, et les traduire en développement web pour que la technologie épouse tous les contours de votre offre ».
L’abonnement : la location de vêtements pour le quotidien
Lancée en 2020, le service d’abonnement permet à l’entreprise d’accompagner les femmes dans leur consommation mode au quotidien, et non plus uniquement sur des besoins ponctuels. Robe, tailleur, accessoires, tous les indispensables du dressing se retrouvent dans cette offre mensuelle déclinée en trois formules : essentiel (69€), premium (99€) et illimitée (199€).
« L’idée de l’abonnement est de pouvoir répondre au désir de nouveauté des femmes, tout en limitant son impact sur notre planète. Profiter des tendances, sans accumuler des pièces dans son armoire qu’on finit par oublier ». A ce service ultra-flexible, Naïma Cardi a intégré une option d’achat qui permet de s’offrir la pièce coup de cœur du mois. En cette période de fêtes, l’activité bat son plein. Dans le top 3 des marques les plus consultées, on trouve Saint Laurent, Maria Lucia Hohan et le créateur Jacquemus.
Un an après son lancement, l’abonnement semble tenir toutes ses promesses. Pourtant, avec un démarrage en plein confinement, l’accueil aurait pu être plus mitigé. « La majorité des femmes étant en télé-travail, on pouvait légitimement s’attendre à ce que leurs attentes “mode” soient moindres, et pourtant, cela a été tout le contraire. Alors que les services de la poste étaient quasiment à l’arrêt, nous avons mis un point d’honneur à livrer nos clientes, qui en retour, ont vécu la réception de leur box comme de véritables moments pour soi ». Forte d’une croissance à deux chiffres, Une Robe, Un Soir compte mettre l’année 2022 à profit pour accroître sa notoriété sur le marché français, et développer l’offre d’abonnement, prisée par la tranche d’âge 25-50 ans.
Autre capex essentiel, l’investissement dans la technologie pour suivre au plus près les demandes de la communauté. « Un mix d’analyses pré et post-achat qui nous permettent d’affiner les sélections mensuelles en fonction des tendances, mais aussi des attentes et de la morphologie de nos abonnées ». Un service de personal shopper en somme, mais livré à domicile !
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Yalayolo Magazine