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Après avoir passé en revue l’essentiel des aspects du Playstation VR, il est désormais temps de s’intéresser aux premiers jeux disponibles sur la plateforme. Sony sait…
Sony sait que pour démocratiser la réalité virtuelle, il lui faudra des jeux. La firme nippone a donc essayé de proposer le plus d’expériences possibles pour que les premiers acheteurs aient quelque chose à se mettre sous la dent dès la sortie. Il est donc possible d’avoir accès dès aujourd’hui à une trentaine de titres.
Un chiffre qui peut paraitre élevé, mais qui est à prendre avec des pincettes. Nouvelle technologie oblige, ces softs ne sont pour la plupart que des démos de luxe. De ce fait, leurs tarifs sont d’ailleurs souvent trop elevés. Malgré tout, certains titres se distinguent et permettent de s’engager dans des sessions plus longues. Nous avons pu essayer plusieurs d’entre eux afin de faire une sélection de ce qui vaut vraiment le coup aujourd’hui sur le store de PlayStation. Voici la liste complète de ce qu’il est possible d’acheter dès aujourd’hui.
– 100ft Robot Golf
– Ace Banana
– Battlezone
– Batman Arkham VR
– Bound
– DRIVECLUB VR
– EVE Gunjack
– EVE Valkyrie
– Harmonix Music VR
– Hatsune Miku : Project Diva X
– Headmaster
– Here They Lie
– Hustle Kings VR
– Job Simulator
– Keep Talking and Nobody Explodes
– Loading Human
– SportsBarVR
– Super Stardust VR
– PlayStation VR Worlds
– Resident Evil 7 Kitchen Demo
– Rez Infinite
– RIGS : Mechanized Combat League
– Rise of the Tomb Raider
– superHYPERCUBE
– The Assembly
– The Playroom VR
– Thumper 13 octobre
– Until Dawn : Rush of Blood
– Volume : Coda
– Wayward Sky
– World War Toons
– Waddle Home
[nextpage title=”Les jeux qu’il faut essayer”]
Batman Arkham VR (20 euros)
Le titre de Rocksteady est probablement le plus bel ambassadeur du casque. En plus d’afficher les plus beaux graphismes qu’on ait vus sur la plateforme, Batman Arkham VR est aussi un titre intéressant à parcourir. Il donne un avant-gout des possibilités (parfois vertigineuses) de la réalité virtuelle en termes de mise en scène pure. Le titre se présente comme un jeu d’enquête simplifié, qui vous fait passer de tableau en tableau comme un point & click, à la recherche d’indices.
Les manettes du PS Move remplacent les mains de Bruce Wayne, et permettent d’interagir avec les éléments ou manier les gadgets du chevalier noir. Ici, pas de combat, mais une plongée très convaincante dans l’univers de DC. Les fans de la série devraient vite tomber sous le charme, malgré une durée de vie vraiment faible (2-3 heures).
EVE Valkyrie (60 euros)
Developpé par le studio CCP, EVE Valkyrie est un des titres majeurs de ce lancement. L’expérience qu’il propose est plus complète que les autres jeux malgré un manque de diversité des objectifs. Les joutes spatiales font passer le genre dans une autre dimension, et offre un nouveau degré de réalisme au pilotage, qui reste malgré tout très arcade. On comprend très vite les mécaniques de jeu et on se prend rapidement à slalomer entre les astéroïdes à la recherche d’une nouvelle cible, qu’il est possible de traquer en la suivant du regard. Les plus sensibles auront peut-être du mal à enchaîner les longues sessions, mais le jeu devrait faire son effet auprès du grand public. On aurait en revanche aimé profiter d’une campagne solo digne de ce nom.
RIGS Mechanized Combat League (60 euros)
RIGS Mechanized Combat League est une des réussites de ce line-up. Le studio Guerilla Cambridge, déjà auteur de Killzone Mercenary, a réussi à mettre en place un gameplay fluide et assez intuitif. Chaque joueur contrôle une machine (il en existe plusieurs, doté de spécificités différentes) et affronte d’autres participants dans un sport de combat en arènes fermées. Chaque robot peut profiter du terrain à son avantage en volant, rampant ou se protégeant selon sa taille et son poids. Ici aussi, il est possible d’utiliser son regard pour viser ses ennemis ce qui donne lieu à des combats ultra dynamiques.
Le titre a beau être simple à prendre en main, il offre assez de profondeur pour accueillir des joueurs plus aguerris. Un mode nommé Endzone transforme le titre en un jeu de football américain ultra violent assez jouissif, et laisse entrevoir quelques belles actions en ligne. Comme tous les autres titres de la sélection, la campagne solo ressemble au multijoueurs, mais avec des bots. Quelques cut-scenes et des bons commentaires permettent néanmoins de favoriser l’immersion. RIGS possède donc un véritable capital séduction.
Until Dawn : Rush of Blood (20 euros)
On n’attendait pas grand-chose de cet Until Dawn : Rush of Blood, notamment car il n’avait rien à voir avec le jeu de base, mais le soft est plutôt surprenant. Ce rail-shooter horrifique propose d’embarquer à bord d’un train fantôme, et de tirer sur une multitude de cibles afin d’engranger un maximum de points. Pas question de gagner des peluches puisque des monstres en tout genre ne cessent de vous attaquer via des jumpscares bien sentis.
Si les textures sont un peu trop baveuses, on est surpris par l’ambiance très mature du titre. La durée de vie est une nouvelle fois trop courte, mais il y a de fortes chances pour que vous soyez plus effrayé que dans un vrai train fantôme. Un titre à essayer… et à faire essayer. Sensations (quasi) garanties.
DriveClub VR (40 euros)
Les amateurs de jeu de course connaissent déjà le sympathique Drive Club. Mais sa déclinaison en réalité virtuelle en fait un des meilleurs jeux du PSVR. Les sensations de conduite sont bonnes et devraient ravir ceux qui découvrent la réalité virtuelle grâce à l’appareil de Sony. Jeter un coup d’oeil au tableau de bord ou regarder dans son rétroviseur se fait de manière totalement naturelle, et donne un vrai dynamisme aux courses.
Le jeu est certes moins joli que l’original, et la bande-son en retrait, mais les développeurs ont eu la bonne idée de rajouter du contenu via de nombreux défi hors-ligne et en ligne. Avec 110 circuits et 80 véhicules, vous aurez de quoi faire. Couplé à un volant, il y a moyen de passer de très bons moments avec son casque… en attendant la concurrence. Un titre actuellement indispensable pour les fans de voiture.
[nextpage title=”Les titres qui nous ont déçus”]
Playstation Worlds (40 euros)
Développé par London Studio, Playstation Worlds fait office de pure démo technique. La galette propose de s’adonner à cinq mini-jeux plus ou moins réussis. Parmi eux, on retrouve Ocean Descent, un film interactif sous-marin qui accuse ses graphismes (surtout quand on a joué à TheBlu), ou encore VR Luge, qui propose de descendre des routes à toute vitesse sans vraiment convaincre. Enfin, Scavenger Odyssey s’essaye lui à l’aventure spatiale via un shooter un peu mou du genou. Deux titres s’en sortent un peu mieux : Danger Ball et The London Heist.
Le premier est une sorte de jeu de palet futuriste qui permet de contrôler la raquette avec sa tête. Un principe simple, mais accrocheur, qui pourra vous divertir une dizaine de minutes de temps à autre. Enfin, The London Heist représente ce qu’on est en droit d’attendre de la VR. Il s’agit d’un shooter efficace qui plonge le joueur au coeur de la pègre londonienne. Tout n’est pas parfait, mais on se laisse rapidement emporter par l’ambiance. Mais à 40 €, cela coince. Une compilation qu’on aurait beaucoup plus vue intégrée directement avec le casque.
BattleZone (60 euros)
Le retour de BattleZone se fait en réalité virtuelle, mais est-ce que l’expérience vaut le coup ? Pas complètement. Le casque vous permet de pénétrer à l’intérieur d’un tank afin de combattre des ennemis en tout genre (tank, drones, etc…) et de prendre un à un des avant-postes adverses. Si la maniabilité est vraiment au point, on peut déplorer une direction artistique peu inspirée, qui n’aide pas l’immersion. On peut également signaler un sentiment de répétitivité assez fort après quelques niveaux. Le jeu se rattrape quand il est pratiqué avec un ami, mais la proposition actuelle ne mérite pas de payer plein pot.
Job Simulator (30 euros)
Job Simulator est un titre connu des amateurs de réalité virtuelle, qui ont pu le découvrir sur Oculus Rift. Il n’est donc pas étonnant qu’il débarque sur la plateforme de Sony. Ce simulateur de boulots inintéressants est d’ailleurs plutôt bien adapté aux PS Move, mais on s’attendait à ce que le contenu soit étoffé. On se retrouve avec une démonstration intéressante de ce que peuvent faire les manettes de Sony, mais la durée de vie du titre reste faible. À cela s’ajoutent des graphismes (trop ?) simplistes et un tarif assez élevé pour seulement quelques jobs. Une critique que les joueurs PC avaient déjà adressée au studio, qui avait été contraint de baisser son prix. Ça fait cher la rigolade.
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