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Ecrin chic, lieu de vie ou clinique esthétique huppée, on ne sait plus ! Au cœur de la Capitale dans le XVIIème arrondissement, Maison Lutétia est surtout une adresse d’initiés qui défend une certaine idée de la beauté à la Française. Une beauté sublimée pour personnes sophistiquées. Nathanaël Aknine, son fondateur, a marié technologies de pointe, expertise médicale et codes feutrés en vue de répondre aux exigences de sa patientèle. Des personnalités du show business et des entrepreneurs pour la plupart. Maison Lutétia est notamment devenue la référence européenne en matière de traitements capillaires. Un marché à la demande exponentielle. Yalayolo Magazine a poussé la porte de cette destination unique dans l’offre parisienne.
Maison Lutétia cultive sa singularité dans le paysage esthétique parisien. Présentez-nous votre concept et ses particularités ?
Nathanaël Aknine : Nous proposons les dernières technologies en matière de traitements du cheveu, du corps et de la peau, dans un hôtel particulier du XIXème siècle revisité à notre image, avec un jardin floral à l’abri des regards. Élégance, technologie de pointe et discrétion sont les mots d’ordre de la Maison Lutétia, avec un plateau technique qui se renouvelle en permanence, des traitements dans l’air du temps, pour répondre aux exigences de notre patientèle, un service haut de gamme, et une atmosphère enchanteresse propre à notre univers. Souvent, on entre à la Maison Lutétia pour répondre en une visite à une problématique du quotidien, comme un accès de fatigue avec un soin coup d’éclat, l’apparition soudaine d’imperfections à l’aide d’un traitement ciblé, ou encore l’envie de tracer sa barbe avec quelques séances d’épilation laser. Connue pour être la référence internationale en greffe de cheveux, la Maison Lutétia accompagne le projet capillaire des patients, tous stades de calvitie confondus…
La Maison Lutétia est une destination unique pour ceux qui se soucient de leur apparence dans le respect d’une image naturelle. Un repaire de médecine esthétique subtile, à la française, qui séduit des personnalités mondaines, des sportifs de haut niveau, des influenceurs, mais aussi des adeptes du self-care de tous horizons.
La terminologie de « maison » plutôt que de « clinique esthétique », n’est pas anodine non plus…Que recouvre ce mot ?
N.A : L’appellation “maison” fait d’abord écho à plusieurs de nos valeurs, comme l’importance de l’expertise, d’une approche artisanale, et du sens du savoir-vivre. C’est également l’idée que l’on se fait d’un lieu de vie raffiné, d’un cocon chaleureux, loin des murs froids des cliniques esthétiques parisiennes. Une décoration à mi-chemin entre modernité et tradition, des parquets qui sentent bon l’Histoire, un paysage floral délicat… Tout a été choisi avec goût pour magnifier notre écrin parisien, et pour que nos patients s’y sentent bien, n’ayant qu’une idée en tête : revenir y flâner. Le soin que nous avons apporté à ce havre de paix est la clé de la sensation de bien-être qu’éprouvent nos visiteurs en passant la porte. Ici, le temps s’arrête pour profiter d’une harmonie qui invite à la détente et au plaisir.
Vous êtes à la pointe en matière de traitements capillaires. Votre expertise vous classe parmi les meilleurs en Europe. Quels sont les solutions proposées et pour quelles problématiques ?
N.A : Alopécie androgénétique, effluvium télogène, pelades, chute de cheveux liée au post-partum…A la Maison Lutétia, il existe une solution à chaque problématique capillaire, un plan de traitements sur-mesure étant défini par un médecin expert lors d’une première consultation. Traitement phare de la médecine esthétique, la MésoLED capillaire permet de retrouver force, densité et éclat. Les micro-injections d’un cocktail biostimulant de nutriments essentiels associées à la luminothérapie régénérante ont pour effet d’augmenter le diamètre du cheveu : peu à peu la chevelure s’épaissit visiblement. Une cure à réaliser pour accompagner une période de stress, un changement de saison difficile, un trouble hormonal…Pour ceux qui ne sont pas prêts à sauter le pas de la greffe de cheveux, la dermopigmentation du cuir chevelu est préconisée. Il s’agit d’un traitement esthétique pour donner une illusion de densité à l’aide de micro-traits réalisés dans les couches superficielles du cuir chevelu, réalisé à l’aide de pigments hypoallergéniques. Idéal aussi pour ceux qui apprécient l’effet crâne rasé, qui ont envie de dissimuler une cicatrice, ou de recouvrir une zone clairsemée. L’effet est on ne peut plus authentique, et réversible, puisqu’une retouche environ tous les trois ans est à prévoir dans le cas où le patient souhaite rehausser les pigments.
Enfin, notre méthode exclusive de greffe de cheveux sans bistouri, ni cicatrice, est préconisée dans le cas où vous présentez une alopécie androgénétique, quel que soit son stade, pour harmoniser esthétiquement une ligne capillaire, densifier une barbe, ou encore retrouver coiffe et épaisseur de la façon la plus naturelle qui soit. C’est sans doute la douceur de notre méthode, l’intelligence, la dimension artistique de notre technique d’implantation, et la stricte standardisation de notre protocole, qui font de nous le premier centre capillaire d’Europe.
La pandémie a mis en lumière ce sujet jusqu’alors ‘tabou’ chez les femmes qui, pourtant, sont de plus en plus concernées. Il y a une explosion de la demande et de l’offre. Qu’observez-vous ?
N.A : Un effet indésirable lié à la Covid-19 a été découvert cette année : une personne sur cinq constaterait un appauvrissement capillaire dans les six mois suivant l’infection, avec un pourcentage plus élevé chez les femmes. L’affaiblissement du système pilaire serait presque inévitable, avec une chute de cheveux environ 6 semaines après l’avoir contracté. Les scientifiques s’accordent sur le fait qu’il s’agit d’un effluvium télogène (chute importante de cheveux sans plaque alopécique), pouvant survenir après un problème de santé. Si les médecins sont unanimes sur le fait que la repousse reprendra dans l’année suivant la contraction du virus, l’attente peut sembler interminable, surtout pour les femmes considérant que leurs cheveux font partie de leur identité. A la Maison Lutétia, des traitements efficaces sont proposés pour booster le fonctionnement des cellules, nourrir la fibre capillaire de l’intérieur et apporter aux cheveux les nutriments essentiels à leur vitalité, comme la MésoLED, qui s’apparente dans ce cas à une rééducation capillaire.
« Sublimer, jamais changer » est votre motto. La tentation du toujours plus est-elle obsolète ? Instagram, ce baromètre, semble toujours s’inscrire dans cette mouvance.
N.A : Beaucoup de nos patients nous demandent de sublimer leurs traits, en révélant une version d’eux-mêmes, en mieux, tout en accompagnant leur processus de vieillissement cutané. S’ils nous font confiance, c’est parce qu’ils adhèrent à notre philosophie, qui est de faire surgir la beauté, sans jamais les transformer. Nous ne souhaitons pas changer les traits de nos patients, mais plutôt sublimer leurs atouts par touches délicates, les traitements que nous proposons étant d’ailleurs toujours réversibles. Nos standards de beauté sont en effet très éloignés du cliché des visages transformés par des interventions excessives et non maîtrisées, comme on pouvait en voir il y a une vingtaine d’années. Lorsque nos patients nous rendent visite, c’est souvent pour réaliser des traitements de prévention ou de correction douce, et de mise en beauté non-invasive.
Sur les réseaux sociaux, deux tendances de mise en beauté se distinguent : celle de la modification ostentatoire des traits, à l’Américaine, parfois chez de très jeunes femmes, et celle d’une magnification subtile des atouts, à la Française. Vous l’avez deviné : nous incarnons plutôt cette deuxième approche de la beauté, dont la délicatesse accompagne nos patients à chaque période de leur vie. Pour illustrer ces deux pans de la médecine esthétique, prenons l’exemple de l’augmentation des lèvres par injections d’acide hyaluronique. Celles-ci peuvent se faire de plusieurs façons, selon les résultats attendus. Très prisé par les stars de télé-réalité notamment, le « Russian Lips », que nous faisons le choix de ne pas pratiquer, est une technique de « gonflement » des tissus, réalisée à l’aide d’une aiguille placée au-dessus des lèvres, à la verticale. Ses résultats peu naturels sont très éloignés de notre « French Kiss », réalisé à l’aide d’une canule souple beaucoup plus douce pour la peau, placée aux coins des lèvres pour une injection à l’horizontale, afin d’ourler la bouche de façon subtile en suivant son dessin originel, et d’apporter douceur et charme au visage. “Les lèvres botoxées” ne font pas partie de notre vocabulaire, la toxine botulique n’étant d’ailleurs pas un produit volumateur, comme on le croit encore souvent, et n’est donc pas injectée dans les lèvres.
En résumé, cela ne correspondrait pas à nos valeurs d’accéder à des demandes que les médecins ne jugeraient pas adaptées, dans la mesure où nous souhaitons accompagner l’épanouissement de nos patients de façon saine, efficace et sur le long-terme, en valorisant leurs atouts avec goût et justesse. C’est la raison pour laquelle nous ne tombons pas dans le piège des modes éphémères, le charme étant à nos yeux une valeur universelle, que nous avons à cœur de préserver à travers le temps.
A l’heure de la distanciation sociale et du travail à distance, la demande en médecine esthétique est exponentielle. Comment expliquez-vous ce paradoxe ?
N.A : Avec l’explosion du télétravail, beaucoup se sont mis à participer à des visio-conférences. La qualité de la caméra de l’ordinateur n’étant pas forcément flatteuse, avec une piètre lumière d’intérieur qui n’aide pas, de nombreux hommes et de femmes ont développé des complexes, se focalisant sur des petites imperfections qui ne les avaient jamais dérangés auparavant. A force de se regarder dans le miroir, virtuel ou non, il est facile de développer une obsession autour de petits détails qu’on est parfois seuls à remarquer. Le port du masque y est aussi pour beaucoup ! Comme la partie inférieure du visage est dissimulée, l’attention se concentre sur l’apparence des yeux. Ainsi, le PlexR, qui a pour but de lisser les paupières en induisant une rétractation des tissus, les fils tenseurs résorbables, dont l’effet de traction remonte les queues de sourcils, ainsi que les injections de toxine botulique, qui atténuent en quelques jours les rides péri-orbitales, connaissent un franc succès.
Vous êtes par ailleurs implanté à Dubaï, une destination dont la culture est de prime abord éloignée du chic parisien.
N.A : Lorsque nous avons eu l’idée de développer la Maison Lutétia à Dubaï, cela partait d’une volonté d’exporter le savoir-faire à la française, amener notre « French Touch », en proposant une approche authentique de la sublimation des traits. Dans une ville où les locaux sont déjà très avertis en matière de médecine esthétique, cela pouvait paraître challengeant. Mais notre vision unique de la beauté, l’élégance parisienne et la discrétion propre à notre culture, a su charmer au-delà des frontières. Il existait en effet une réelle demande concernant une mise en beauté subtile, ignorée par les cliniques dubaïotes, le standard de beauté oriental penchant plutôt vers l’ostentatoire. La Maison Lutétia a ainsi pu développer son activité naturellement.
Des projets à moyen-terme ?
N.A : Nous avons beaucoup de demandes pour des projets d’expansion en France et à l’internationale. Dans le futur, nous verrons certainement éclore de nouveaux lieux de vie signés Maison Lutétia.
Maison Lutétia
6 rue Ampère
75017 Paris
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Yalayolo Magazine