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C’est désormais officiel, Uber se lance bel et bien dans la bataille des vélos en libre-service. Pour cela, la plateforme de VTC vient d’acquérir la société new-yorkaise JUMP, spécialisée dans les vélos électriques en «free-floating». Les modalités financières de l’opération n’ont pas été dévoilées mais TechCrunch avance la somme de 200 millions de dollars.
Lancé en 1999, Salesforce est le pionnier du logiciel SaaS. Sales Cloud est la plateforme CRM numéro 1 au monde, avec un chiffre d’affaires annuel de 8,4 milliards de dollars pour l’exercice 2017.
Entre les autorités russes et Telegram, ce n’est pas une histoire d’amour. Et pour cause, Roskomnadzor, l’agence russe de régulation des télécommunications, a lancé une procédure auprès d’un tribunal de Moscou pour restreindre l’accès à l’application de messagerie instantanée, réputée pour offrir un haut niveau de confidentialité.
Cette décision fait suite au refus de Telegram de fournir aux services de sécurité russes, et plus spécifiquement au FSB (ex-KGB), ses clés de cryptage qui permettent de lire les messages des utilisateurs. Le 20 mars, les autorités russes avaient fixé un ultimatum de 15 jours à Telegram pour satisfaire leurs attentes. D’emblée, Pavel Durov, co-fondateur de la messagerie, avait balayé cette possibilité. «Les menaces de bloquer Telegram s’il ne communique pas les données personnelles de ses utilisateurs ne porteront pas leurs fruits. Telegram se dressera en faveur de la liberté et de la vie privée», avait-il déclaré sur Twitter.
De plus, sur le papier, Telegram n’a pas accès aux clés permettant le chiffrement de bout-en-bout, utilisé pour les conversations dites «secrètes». Ainsi, le FSB sous-entend qu’il existe une porte dérobée dans l’application pour accéder aux conversations cryptées. Pour rappel, Telegram revendique plus de 200 millions d’utilisateurs dans le monde, dont 10 millions en Russie.
Après son entrée en bourse remarquée début avril, Spotify pourrait devenir faire parler : en effet, la start-up a convié les journalistes à un évènement à l’agenda encore secret, le 24 avril prochain. Cependant, si l’on en croit les informations du site spécialisé The Verge, Spotify annoncerait, entre autres, un système hardware destiné à la voiture. Le form-factor de cet appareil reste encore mystérieux : enceinte connectée et autonome, à la façon d’un Google Home ou d’un Amazon Echo, ou petit player à poser sur le tableau de bord ?
La deuxième hypothèse est appuyée par le fait qu’en février dernier, certains abonnés américains Spotify avaient reçu une offre publicitaire (par erreur ?) leur permettant d’acquérir en précommande un petit lecteur streaming, de forme ronde, destiné à la voiture, à commander par la voix, contre un engagement d’un an à une offre mensuelle de 12,99 dollars (soit 155 dollars), comme le montre la capture ci-dessus, tandis que d’autres ont reçu une offre à 14,99 dollars par mois, avec un player embarquant l’assistant Alexa d’Amazon, ainsi que la 4G – permettant au device de fonctionner sans passer par le smartphone.
Ce n’est pas la première incursion dans le domaine automobile pour le suédois, qui avait déjà développé une app native dédiée pour Cadillac (sans passer par Apple Carplay ou Android Auto). Spotify a refusé de commenter ces informations.
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