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Le scandale Cambridge Analytica aurait touché 87 millions de personnes, dont les données – et celles de leurs amis, si les paramètres les y autorisaient – auraient été collectées et utilisées de façon pour le moins contestable par la société de profilage, sous couvert d’une anodine application de quizz.
Parmi des 87 millions d’utilisateurs, on compterait 2,7 millions d’Européens et 211 591 Français.
Facebook commence d’ailleurs à prévenir ces utilisateurs touchés depuis ce lundi, en leur notifiant un message spécifique, à la connexion sur la plateforme.
Vous pouvez aussi vous rendre directement sur ce lien, qui vous dira si vous avez été concernés.
De son côté, Mark Zuckerberg a commencé hier à 2:15 pm EST (20:15, heure de Paris) son exercice d’explication – ou plutôt de contrition – devant le Congrès américain. Durant cette audition, qui se poursuivra mercredi 11 avril, il a plaidé la responsabilité personnelle. « Il est évident que nous n’avons pas -fait assez pour empêcher Facebook d’être utilisé de façon mal intentionnée (…) Nous n’avons pas pris une mesure assez large de nos responsabilités et c’était une grosse erreur. C’était mon erreur et je suis désolé », a déclaré le jeune dirigeant, qui joue gros pendant ce grand oral. Il doit aussi être interrogé sur le dossier de l’ingérence russe pendant la campagne de Donald Trump en 2016. Ce mea culpa – pour lequel Zuckerberg s’est dûment entrainé avec des coachs lors d’auditions à blanc – suffira-t-il à émouvoir des élus déjà bien remontés contre la plateforme ? Il s’agit avant tout pour Facebook d’éviter de subir une régulation qui viendrait fragiliser son modèle économique. Quant aux ambitions personnelles de Zuckerberg, qu’on disait intéressé par la course à la présidence 2020, elles semblent pour le moins compromises : difficile d’aspirer à prendre les rênes du pays, quand on a co-fondé et dirigé une société désormais accusée par certains de miner les fondements de le démocratie.
Entre l’Union européenne et Uber, le divorce semble définitivement consommé. Ce mardi, la Cour de justice de l’UE a estimé que la France ainsi que d’autres pays européens étaient en droit d’interdire l’exercice illégal d’une activité de transport comme UberPOP sans en référer à Bruxelles en amont. Pour rappel, Uber avait fermé UberPOP dans l’Hexagone à l’été 2015, un service qui met en relation des particuliers avec des chauffeurs non-professionnels utilisant leur voiture personnelle.
celle rendue en décembre dernier. La Cour de justice de l’UE avait alors estimé qu’Uber devait être considérée comme un service de transport. Par conséquent, cette décision signifiait que la plateforme de VTC doit se soumettre à la législation en vigueur pour les taxis.
ControleTechniqueGratuit vient de boucler une levée de 2,6 millions d’euros. Ce deuxième tour de financement a été mené conjointement par Sofimac Partners et par 5M Ventures, accompagnés par des investisseurs comme Arthur Media Group, le fonds Pole Capital ou encore Philippe Fraysse (investisseur dans Stuart). L’entrée de 5M Ventures, fonds spécialisé dans le Media for Equity en France, permettra d’apporter à ContrôleTechniqueGratuit une forte visibilité publicitaire. En 2017, des business angels (dont Céline Lazorthes – fondatrice et CEO du groupe Leetchi, Christophe Chausson de Chausson finance ou encore Alexandre Rossoz ex-Apicap) avaient investi un montant total de 750 000 euros.
La plateforme en ligne de ControleTechniqueGratuit permet aux utilisateurs de monétiser leurs données autour de l’automobile et de leur historique automobile, et de bénéficier en retour de la gratuité sur le contrôle technique. La start-up exploite ensuite ces données pour les revendre à l’ensemble des entreprises qui interviennent dans le secteur automobile (concessionnaires, constructeurs, réseaux d’entretien, assureurs, etc.).
Ce financement doit aider la start-up à poursuivre son développement, et à améliorer sa visibilité sur le territoire français.
Ogury, entreprise française spécialisée dans la donnée mobile, annonce l’acquisition d’Adincube qui développe une technologie d’optimisation des revenus publicitaires basée sur l’intelligence artificielle. Avec cette acquisition, Ogury souhaite enrichir son offre à destination des éditeurs d’applications et de sites mobiles au niveau international. C’est la première acquisition de l’entreprise qui vise un chiffre d’affaires de 100 millions de dollars en 2018.
Ogury n’a pas souhaité communiquer sur le montant de la transaction. En 2017, l’entreprise Adincube avait déjà été rachetée par Mozoo. Ce nouveau rachat s’explique par le fait que la technologie d’Adincube s’est beaucoup développée aux États-Unis, tandis que Mozoo y est peu présent. Ogury réalise de son côté 50 % de son chiffre d’affaires Outre-atlantique depuis l’ouverture de son bureau aux États-Unis et est donc mieux à même d’accompagner Adincube selon un porte-parole de l’entreprise. D’ailleurs, Jules Minvielle, président du Comité stratégique et principal actionnaire de Mozoo, rejoint également Ogury en tant que Chief Strategy Officer.
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