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Uber devient progressivement une plateforme multimodale de transport. Après avoir mis la main sur les vélos électriques en libre-service de JUMP, la plateforme de VTC s’attaque désormais à la location de voitures et aux transports communs.
Dara Khosrowshahi, le patron d’Uber, a ainsi un partenariat avec le service d’auto-partage Getaround. Grâce à cette alliance, la firme américaine va pouvoir proposer un service de location de voitures entre particuliers, baptisé «Uber Rent», qui se connectera à la marketplace existante de voitures de Getaround. De cette manière, les utilisateurs d’Uber pourront réserver des voitures proposées par Getaroud directement à partir de l’application Uber. Le service sera lancé à San Francisco dans le courant du mois avant de l’étendre à d’autres villes américaines.
Par ailleurs, Uber a annoncé un partenariat avec Masabi, une billetterie mobile pour les transports en commun. Cette dernière gère la billetterie de 30 agences de transport dans le monde, dont Metrolink à Los Angeles, MTA à New York, Thames Clippers à Londres et MBTA à Boston. En s’alliant avec Masabi, Uber pourra ainsi permettre à ses utilisateurs d’acheter et d’utiliser des tickets pour les transports en commun directement à partir de son application.
A l’occasion de ces nouvelles annonces, TechCrunch a listé tous les moyens de transport proposés ou bientôt proposés par Uber :
- VTC (avec et sans conducteurs)
- Auto-partage
- Transports en commun
- Vélos en libre-service
- Voitures volantes (UberAIR)
- Camions (fret et conduite autonome)
Et Dara Khosrowshahi s’intéresse également aux trottinettes électriques…
Lyft veut poursuivre son expansion hors de ses frontières. Après avoir effectué une première percée à l’international en se lançant au Canada en décembre dernier, le principal rival d’Uber aux États-Unis songe désormais à s’aventurer sur le marché japonais. «Nous serions ravis d’être au Japon, et nous examinerons cette possibilité», a déclaré John Zimmer, co-fondateur et président de Lyft lors du New Economy Summit à Tokyo.
Toutefois, la législation nippone, particulièrement sévère, ne fait pas la part belle aux VTC. En effet, il est obligatoire de disposer d’une licence pour opérer un service commercial au Japon, ce qui exclut d’office les chauffeurs non-professionnels, à l’image de ce que propose UberPOP. De plus, les plateformes mobiles de mise en relation entre passagers et chauffeurs sont l’apanage des compagnies de taxis.
Dans ce contexte, Uber n’a jamais réussi à s’imposer sur l’archipel pour l’instant. De plus, les compagnies de taxis japonaises disposent de leur propre «Uber» avec JapanTaxi. Cette application revendique 66 000 taxis affiliés à son service, soit un quart du parc total du Japon. Début février, Toyota a injecté 55 millions d’euros dans le service.
Au regard du fail retentissant des lunettes Spectacles, qui avait plombé les comptes 2017 de Snap Inc. avec l’équivalent de 40 millions de dollars (300 000 paires) d’invendus, c’est un titre qui sonne presque comme un poisson d’avril. Et pourtant, la société-mère de Snapchat ne renonce pas à son incursion dans le hardware : le site américain Variety rapporte que la société a déposé auprès de la FCC (Federal Communications Commission) un dossier concernant une caméra « wearable » – ce qui vient confirmer une première information révélée en mars dernier par Cheddar, annonçant la seconde itération de Spectacles.
Les documents n’offrent que peu de détails : pas de photos, ou de mode d’emploi. Cependant, le nom « Spectacles » apparaît plusieurs fois pour décrire le device, ainsi que la mention « Model 2 » qui suggère la nouvelle version et la prise en charge du standard Wifi 802.11ac, qui permettra d’accélérer le transfert des fichiers dans la bande de fréquence 5GHz.
En mars, Cheddar avait annoncé que Snap travaillait sur deux versions de Spectacles, l’une avec des améliorations à la marge du modèle existant, et l’autre plus haut-de-gamme, équipée de deux caméras et d’un GPS, pour un prix d’environ 300 dollars.
La société américaine Livongo, qui a mis au point une technologie de surveillance mobile qui permet aux utilisateurs de gérer leur diabète, a levé 105 millions de dollars dans un tour de table mené par les investisseurs historiques General Catalyst et Kinnevik.
Historiquement positionné sur des solutions de suivi du diabète, l’entreprise propose désormais aussi des solutions destinées aux personnes souffrant d’hypertension. L’année dernière, l’entreprise avait levé plus de 50 millions de dollars pour accélérer son expansion dans la gestion du diabète et celle de la croissance d’autres maladies chroniques grâce à son portefeuille d’applications, de technologies mobiles et de programmes de santé.
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