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C’est une déesse romaine qui a donné son nom de code à l’un des projets du Lab126 d’Amazon. Le Lab126 est l’entité R&D spécialisée dans le hardware, supervisée par Gregg Zehr et basée à Sunnyvale en Californie, et a déjà développé les liseuses Kindle, les tablettes et smartphones Fire, les enceintes connectées Echo, les Dash buttons… Dans la mythologie romaine, Vesta était en charge de la protection du foyer. Pour la firme de Jeff Bezos, sa réincarnation moderne sera donc logiquement un robot domestique. Le projet, lancé il y a quelques années, connaît aujourd’hui une nette accélération, selon le média américain Bloomberg. En effet, Lab126 cherche à recruter massivement des ingénieurs spécialisés, notamment en logiciels robotiques. Les sources de Bloomberg indiquent qu’Amazon souhaiterait tester Vesta chez ses collaborateurs dès la fin de cette année, pour un objectif de commercialisation en 2019 – si le projet va à son terme.
Peu de précisions ont fuité quant aux tâches que Vesta pourrait accomplir. Certaines sources parlent d’une sorte d’ « Alexa mobile » qui pourrait accompagner ses utilisateurs dans la maison, grâce à des caméras et au « computer vision », à la façon d’une voiture autonome. Ces sources précisent aussi que Vesta n’a rien à voir avec les robots développés par sa filiale Amazon Robotics (anciennement Kiva Systems), destinés à la manutention en entrepôts.
Depuis plusieurs décennies, les acteurs de la Tech cherchent à donner vie au parfait robot domestique. Son itération la plus aboutie – fonctionnellement et commercialement – demeure finalement le robot-aspirateur : le leader iRobot a vendu 20 millions d’unités de son Roomba depuis 2002. Même si chacun appréciera le confort de ne plus passer l’aspirateur, on est encore loin du fantasme du robot-majordome qui fait tout dans la maison. Mais les avancées technologiques – intelligence artificielle, computer vision, commande vocale… – ouvrent des perspectives inédites dans ce domaine. Bloomberg suggère qu’Amazon pourrait même subventionner en partie ces devices pour ses abonnés Prime, rendant ainsi leur prix accessible aux consommateurs, en échange de leurs dépenses sur le site. Selon le cabinet Research and Markets, le marché des robots grand public devrait représenter 15 milliards de dollars en 2023.
Amazon n’a pas souhaité commenter les informations de Bloomberg.
C’est un nouveau record pour Facebook. Sur les trois premiers mois de l’année, la firme américaine a dépensé la bagatelle de 3,3 millions de dollars de lobbying. Confronté à de multiples critiques, en raison de ses pratiques portant atteinte à la vie privée de ses utilisateurs, de son rôle dans l’élection présidentielle américaine et, dernièrement, de son implication dans le scandale Cambridge Analytica, le réseau social tente d’influencer discrètement le point de vue des politiciens américains et européennes. Ces dépenses pourraient être encore plus élevées au deuxième trimestre car celui-ci prendra en compte les manoueuvres de Facebook en amont de l’audition de Mark Zuckerberg devant le Congrès américain.
Malgré le trimestre record de Facebook, le leader des GAFAM en matière de lobbying se nomme Google, avec une enveloppe de 5,02 millions de dollars, en hausse de 43% par rapport à la même période en 2017. Derrière la firme de Mountain View, Amazon a dépensé 3,38 millions de dollars, devant Microsoft et ses 2,3 millions de dollars dépensés. Apple ferme la marche avec 2,14 millions de dollars dépensés sur les trois premiers mois de l’année. Les dépenses de lobbying de la marque à la pomme ont bondi de 53% par rapport au premier trimestre 2017.
Tandis que la production de la Tesla Model 3, berline 100% électrique qui cumule déjà plus de 450 000 réservations, prend du retard, Elon Musk peut compter sur un soutien inattendu. Sur Twitter, le rappeur américain Kanye West s’est fendu d’une véritable déclaration d’amour… pour sa Tesla, une Model S P100D personnalisée selon la presse américaine. Il estime qu’il s’agit de la voiture la plus fun qu’il ait conduite ! Elon Musk appréciera…
I really love my Tesla. I’m in the future. Thank you Elon.
— KANYE WEST (@kanyewest) 23 avril 2018
This is the funnest car I’ve ever driven
— KANYE WEST (@kanyewest) 23 avril 2018
Le groupe Prisma Media lance un média 100 % digital et 100 % vidéo appelé Simone. Positionné sur le segment du divertissement féminin, ce média a pour objectif de donner la parole « aux femmes qui souhaitent s’impliquer dans la société, interagir et s’engager au quotidien », explique le communiqué.
Simone proposera plusieurs vidéos par jour, des portraits, des reportages, des news ou encore des parodies. Le média est disponible sur Facebook, Instagram, twitter et femmeactuelle.fr. « Simone décrypte l’actualité en images sous un prisme féminin et avec un ton impertinent. Elle met en lumière des histoires légères, engagées, commémoratives ou purement divertissantes », déclare Julien Lamury, Rédacteur en Chef de Simone.
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