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Snap a tenté un coup de poker pour donner un nouveau souffle à Snapchat, son application de messagerie éphémère. Et c’est totalement raté… Au premier trimestre 2018, le groupe américain a ainsi concédé une perte nette de 385 millions de dollars, tandis que le chiffre d’affaires s’est élevé à 230,6 millions de dollars, soit largement en-dessous des attentes des analystes qui tablaient sur 243,6 millions de dollars. Le coup de grâce vient du nombre d’utilisateurs. Entre janvier et mars, Snapchat n’a gagné que 4 millions d’utilisateurs supplémentaires, alors que les analystes en attendaient 7 millions. Aujourd’hui, Snapchat revendique 191 millions d’utilisateurs dans le monde.
Ces mauvais résultats viennent sanctionner la refonte de l’application qui a été très mal accueillie par les utilisateurs de Snapchat. Une pétition avait même été lancée pour réclamer le retour de l’ancienne version. Celle-ci a recueilli plus d’un million de signatures. Le coup est dur pour Snap, qui avait réalisé un quatrième trimestre 2017 meilleur que prévu. Entre octobre et décembre, l’application avait en effet gagné 8,9 millions d’utilisateurs, soit plus du double par rapport au premier trimestre 2018. Pendant que Snap accuse le coup, son rival Instagram, propriété de Facebook, revendique plus de 300 millions d’utilisateurs actifs par jour pour son outil «Stories», directement inspiré de Snapchat.
Jean-Noël Frydman, entrepreneur américain d’origine française, a décidé de poursuivre l’Etat français. La raison de son ire ? Frydman prétend que le ministère des affaires étrangères l’a dépossédé illégalement d’un nom de domaine qu’il possède depuis 1994 : France.com
Le 10 février de cette année-là, Frydman dépose ce domaine auprès de Web.com pour créer un « kiosque numérique » à destination des francophiles et francophones d’Amérique du Nord, activité qu’il développe ainsi des années durant. Puis, en 2015, le ministère des affaires étrangères intente une action en justice contre Frydman, arguant que le domaine lui appartient et que le kiosque de l’entrepreneur concurrence de façon déloyale Atout France, l’agence en charge du rayonnement touristique de la France. En septembre 2017, la justice déboute le ministère sur l’accusation de concurrence, mais lui donne raison sur la propriété du domaine, en vertu de la loi sur les marques déposées. Web.com transfère alors France.com le 12 mars dernier à Atout France. L’agence, qui dépend du ministère de l’économie et des finances, redirige désormais France.com vers France.fr, le portail qu’elle opère depuis une dizaine d’années.
Jean-Noël Frydman, qui détaille sa version des faits sur un site dédié, dit n’avoir reçu aucune compensation financière, ni même une notification l’informant du transfert par Web.com. L’entrepreneur, qui affirme avoir perdu des « millions » d’euros dans l’affaire, contre-attaque aujourd’hui : selon Ars Technica, le 19 avril, il a saisi à son tour la justice, américaine cette fois-ci, pour cyber-squatting. Sa plainte, déposée en Virginie, vise pêle-mêle « la République française, Atout France, le ministère de l’Europe et des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian ». Affaire à suivre…
Le potentiel disruptif de la blockchain est désormais pris en compte dans de nombreux domaines industriels. C’est aujourd’hui au tour du secteur de l’automobile et de la mobilité de s’y pencher, avec le lancement de l’initiative MOBI. MOBI (Mobility Open Blockchain Initiative) réunit 30 membres fondateurs, parmi lesquels on retrouve BMW, General Motors, Ford, Renault ou Bosch.
Même si les ambitions annoncées demeurent très généralistes – « rendre le transport plus sûr, plus abordable et plus accessible grâce à la technologie blockchain », le groupement a précisé que son champ d’action couvrirait le suivi des données, la gestion de l’offre, le paiement, le financement, mais aussi les nouvelles mobilités, comme le covoiturage ou les véhicules autonomes.
Selon TechCrunch, qui dévoile l’information, ce n’est pas la première fois que les constructeurs automobiles s’intéressent à la blockchain : Toyota explore déjà le territoire, tandis que Renault a rejoint le consortium de recherche R3 et Daimler fait partie du projet Hyperledger de la Linux Foundation. MOBI sera cependant le premier groupe adressant de manière spécifique l’automobile et les nouvelles mobilités.
Les entreprises américaines cotées ont l’obligation de publier chaque année le salaire médian au sein de leur entreprise ainsi que l’écart de rémunération entre ce salaire et celui du CEO. Les chiffres publiées permettent de faire quelques découvertes.
Parmi les 40 plus grandes entreprises établies dans la baie de San Francisco, la rémunération médiane par an varie de 5 375 dollars à Gap à 240 430 dollars pour Facebook, comme le révèle le San Francisco Chronicle. Mais attention, toutes les comparaisons ne se valent pas car le salaire médian comprend tous les salariés même ceux à temps partiel ce qui explique notamment le faible score de Gap dont une quantité non négligeable de vendeurs travaillent à temps partiel.
Néanmoins, cela n’enlève rien au fait que Facebook tient le haut du panier, avec un salaire médian d’un peu de plus de 20 000 dollars par mois. À titre de comparaison, le réseau social de mark Zuckerberg est par exemple bien devant Alphabet, la maison-mère de Google, avec un salaire médian de 197 274 dollars par an.
D’un point de vue général, à partir de l’analyse des données de 1 600 entreprises réalisées par la société Equilar, Facebook se classe toujours en tête des meilleurs salaires. Les entreprises de la tech en général sont très bien représentées puisque Alphabet est seconde suivie de Netflix (183 304 dollars) et Twitter (161 860 dollars). Il faut attendre la cinquième place pour trouver une entreprise qui n’est pas issue de la tech, et il s’agit d’Exxon (161 562 dollars).
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