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#E-commerce: Face à Amazon, Rakuten France lance un programme de fidélité en partenariat avec des marques
« Depuis deux mois, la marque Rakuten a dépassé PriceMinister en volume de recherches sur Google », dévoile Fabien Versavau, CEO de Rakuten France. Voilà une importante étape de franchie pour l’entreprise rachetée par le Japonais Rakuten en 2010 et qui a adopté son nom en mars. Le prochain défi pour la plateforme en France? Se démarquer encore plus des autres sites e-commerce, comme Amazon, en ne faisant pas concurrence aux commerçants, par exemple en ouvrant des points de vente physiques, mais en mettant en pratique sa théorie de «l’empowerment », c’est-à-dire en les soutenant davantage, explique l’entreprise.
Pour cela, Rakuten France annonce le lancement du « Club R Everywhere », premier pays du groupe, en dehors du Japon, à l’adopter. Il s’agit d’un nouveau programme de fidélité gratuit qui permet aux membres de bénéficier de 5% reversés en « Rakuten Super Points » dès qu’ils font un achat auprès des marques partenaires, soit une forme de cashback. Si Rakuten dispose déjà d’un autre programme de fidélité, le « Club R », qui permet aussi de récupérer des Supers Points à chaque achat effectué sur le site, cette fois-ci la philosophie du programme est différente. Avec le « Club R Everywhere », les clients commencent leur achat sur le site de Rakuten et sont ensuite redirigés vers le site Web de l’entreprise partenaire pour le finaliser. Ce qui n’est pas le cas pour le « Club R ». C’est ensuite l’entreprise partenaire qui s’occupe de tous les détails, comme la livraison. Celle-ci n’a donc pas à créer de boutique sur la marketplace de Rakuten. En revanche, les Super Points peuvent être dépensés sur tout le site de Rakuten comme c’est le cas pour le Club R.
Le programme a officiellement été lancé jeudi. 130 marques sont déjà listées à travers 6 univers: voyage, mode, beauté, enfant, sport & loisirs ainsi que maison. Ce nouveau programme semble sur la bonne voie, Rakuten ayant réussi à convaincre d’importants acteurs du commerce comme Nike, Hotels.com, Yves Rocher, Sephora ou encore les Galeries Lafayette. La plateforme e-commerce vise 400 partenaires à fin 2019. Ces derniers sont notamment choisis sur la qualité de leur parcours client en ligne et à la livraison.
Les programmes de fidélité sont un enjeu important pour Rakuten sachant que, selon ses chiffres, un membre achète deux fois plus qu’un non-membre avec une marge six fois plus élevée. À travers ce programme, Rakuten touche une commission comme apporteur d’affaires sur chaque vente issue de son site. Celle-ci est par exemple de « 7% pour Nike et varie en fonction de ce qui a été négocié avec chaque marque», nous a expliqué Fabien Versavau. Du côté de l’entreprise partenaire, cela lui permet notamment de rester propriétaire des données puisque l’achat s’effectue sur son site et de diversifier ses sources de trafic.
#VTC : Lyft lance la procédure pour entrer en Bourse
AFP – La plateforme de réservation de voitures avec chauffeur Lyft a lancé jeudi la procédure pour son entrée en Bourse. Pour l’heure Lyft – dont le grand concurrent Uber veut aussi entrer en Bourse – a indiqué que ni le nombre d’actions ni leur prix d’introduction n’avaient été déterminés.
L’introduction en Bourse aura lieu une fois que le gendarme de la Bourse, la Securities and Exchange Commission (SEC), aura passé les documents déposés sous scellés en revue. Selon le Wall Street Journal, l’entrée en Bourse de l’entreprise, qui pour l’heure est valorisée à un peu plus de 15 milliards de dollars, pourrait avoir lieu au cours du premier semestre 2019.
#Facebook : Sheryl Sandberg soutenue par le conseil d’administration du réseau social
AFP – Sheryl Sandberg, la numéro deux de Facebook, a reçu mercredi le soutien appuyé du conseil d’administration du premier réseau social du monde, alors qu’elle est critiquée pour son rôle dans une enquête interne sur le milliardaire George Soros. «Les actions de Mme Sandberg étaient tout à fait appropriées en raison de son rôle de numéro deux», assène le CA dans une lettre adressée au président de la fondation de George Soros, Patrick Gaspard. Ce dernier avait exigé des excuses publiques après les révélations de la presse selon lesquelles Facebook avait utilisé une agence de communication à la réputation sulfureuse pour contrer ses critiques après l’affaire des manipulations russes à l’occasion de la présidentielle américaine de 2016.
Lors d’un discours, tenu en janvier 2018 dans le cadre du forum de Davos en Suisse, George Soros avait notamment qualifié Facebook de «menace pour la société». Sheryl Sandberg cherchait donc à savoir si le milliardaire, qui s’est fait une réputation et une fortune en pariant contre la livre sterling en 1992, attaquait l’entreprise pour en tirer profit. Une thèse que reprend le CA de Facebook : «Quand un investisseur bien connu et virulent attaque publiquement votre entreprise, il est juste et approprié de mener ce genre d’enquête.» Le CA estime que Sheryl Sandberg a agi en toute bonne foi et rappelle que Mark Zuckerberg, le fondateur et PDG de Facebook, ainsi que la numéro deux de la firme américaine ont «demandé une enquête approfondie sur la collaboration de l’entreprise avec des agences de communications».
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