[ad_1]
1435-10780-15-2 | Les anciens hangars agricoles repensés pour abriter les chambres ont logiquement inspiré le nom franglais de l’hôtel « Le Barn », grange en anglais.
L’hôtel Le Barn en région parisienne est devenu un phénomène dans un marché hôtelier qui oscille avec plus ou moins de convictions entre « expérientiel » et montée en gamme, pour faire face l’inexorable montée en puissance d’Airbnb. Ses créateurs veulent en faire une véritable marque de fabrique, celle d’une hôtellerie différente qui reconnecte les urbains avec la nature.
C’est une sorte de maison de campagne familiale idéale, nichée au cœur de la Vallée de Chevreuse. Suffisamment loin de Paris pour avoir le sentiment d’être dépaysé. Mais assez près pour y venir à vélo. « Un peu plus d’une heure de la porte Maillot » assure Édouard Daehn, le maître des lieux qui arbore fièrement le tout nouveau maillot de l’équipe des cyclistes du Barn.
On lui fait confiance. Une chose est sûre, le Barn a réinventé une nouvelle forme d’exotisme. Un repère de bobos parisiens en mal de reconnections avec la nature, diront certains. Un petit paradis pour les amoureux de grands espaces en famille, pour les habitués, stars ou inconnus, qui s’y pressent tous les week-ends.
Le Barn est devenu un phénomène dans un marché hôtelier qui oscille avec plus ou moins de convictions entre « expérientiel » et montée en gamme pour faire face l’inexorable montée en puissance d’Airbnb.
Les raisons du succès du Barn ? « Tous les acteurs de l’hôtellerie sont venus nous observer pour essayer de comprendre », se réjouit Édouard Daehn. Qu’ont-ils découvert ? Une ferme du XIXe soigneusement réhabilitée par la paysagiste Daphné Charles-Le Franc et l’architecte d’intérieur Antoine Ricardou. Non loin, des bâtiments abritent les 73 chambres qui ont été pensées dans un esprit « Shaker ». Le style est minimaliste, utilitaire et sobre, authentique et rigoureux. Complètement dans l’air du temps. Ne cherchez pas la climatisation ou les aménagements luxueux, ici c’est atmosphère dépouillée et connexion à la nature environnante.
Certaines ont été aménagées en dortoirs pour réunir les enfants des couples d’amis. Mais pas que. « Les entreprises qui viennent en séminaire aiment bien aussi ce principe de logements collectifs » explique Édouard Daehn. Le marché du séminaire et des professionnels pèse lourd dans le plan de développement de l’hôtel, notamment en semaine et en basse saison.
À l’extérieur, un moulin transformé en gîte, étang, un verger et un potager alimentent une partie de la carte du restaurant simple et savoureuse. On y déguste simplement du sanglier au four, du gratin de coquillettes, du poulet fermier ou des pizzas maison, le tout servi sur de grandes tablées.
Et surtout, 200 hectares de prairies où gambadent les chevaux du haras de la Cense, situé à proximité.
Pour les connaisseurs, le haras de la Cense est une référence. Son propriétaire William Kriegel, un américain qui a fait fortune dans l’énergie, y a développé une technique de dressage révolutionnaire, l’équitation éthologique.
Une méthode qu’il enseigne sur place, en partenariat avec l’Université de Paris-Descartes, mais aussi dans son autre ranch dans le Montana. Les livres de Kriegel sont devenus des best-sellers.
L’homme est tombé amoureux du domaine qui appartenait à Raymond Loewy, une légende du design industriel a qui l’on doit le logo de Coca-Cola, des voitures Studebaker ou des biscuits Lu et des paquets de Lucky Strike. Rien que cela !
Mais le secret du Barn est ailleurs. L’établissement est un avant tout un état d’esprit. Une atmosphère. Un endroit de reconnections à la nature en famille ou l’on peut pratiquer l’équitation, pêcher, jardiner, préparer son beurre, sa mozzarella ou son pain d’épices, faire un atelier de mixologie ou d’œnologie et même partir en randonnée sur le GR11 qui passe à proximité.
À moins que l’on ne se laisse tenter par les bains nordiques ou les massages proposés par l’ostéopathe et le masseur ayurvédique du domaine.
Et comme le début de l’année est la période idéale pour se ressourcer et se revitaliser. Au lendemain des Fêtes, le Barn a tout prévu pour purifier le corps et apaiser l’esprit.
Durant tout le mois de janvier*, le bouillon sera la star du week-end qu’il soit de légumes, de volaille ou de poisson. Les cours de yoga Ashtanga ou Vinyasa permettront par leurs postures de faciliter la détox digestive. Et le 25 janvier aura lieu un atelier de phytothérapie : comment choisir la tisane adaptée à ses maux ?
Les parents et leurs enfants pourront aussi apprendre à confectionner couronne des rois, mangeoire à oiseaux ou encore mobile d’hiver.
À noter que le 26 janvier de 10 h 30 à 12 heures, Le Barn accueillera sa première séance de Sylvothérapie, ces bains de forêt originaires du Japon qui permettent de bénéficier de ses atouts grâce aux sens en contact direct avec les éléments, la matière des écorces, le chant des oiseaux, le bruissement des feuilles… C’est aussi la pratique des respirations ainsi que des exercices d’ancrage et de lâcher prise.
« On peut aussi ne rien faire ou télé travailler loin des perturbations de transport et de l’agitation parisienne » complète opportunément Édouard Daehn.
Et c’est peut-être la clé du succès du Barn ! Un endroit unique ou chacun y trouve… ce qu’il cherche.
Une martingale qu’Édouard Daehn et William Kriegel comptent bien dupliquer. Avec l’objectif de faire de Barn, une véritable marque de fabrique, celle d’une hôtellerie différente.
C’est bien parti !
*A partir de 185 euros par chambre et par nuit. Possibilité en janvier de ne réserver qu’une nuit.
Le Barn ; Moulin de Bretigny 78830 Bonnelles. Renseignements & réservations : www.lebarnhotel.com – Tel 01 86 38 00 00
[ad_2]
Yalayolo Magazine
Mars87 Innovative Digital And Social Media Marketing