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Pendant que les meilleures équipes de football d’Europe s’affronteront en juin 2020 à l’occasion de l’Euro, les meilleurs robots du monde seront à Bordeaux. En effet, la ville a été sélectionnée par le Comité international de la Robocup pour accueillir la Coupe du monde des robots du 23 au 29 juin 2020.
L’événement, qui se revendique comme la plus grande compétition de robotique et d’intelligence artificielle au monde, réunira 450 équipes en provenance de 45 pays et 5 000 robots. Au total, ce sont 3 500 participants et plus de 40 000 visiteurs qui sont attendus à Bordeaux dans deux ans, avec à clé 7 millions d’euros de retombées économiques pour un coût d’organisation d’environ 2 millions d’euros.
Dans la jungle des médias en ligne, Loopsider tente de tirer son épingle du jeu. Moins de six mois après son lancement, le média vidéo uniquement présent sur les réseaux sociaux (Facebook, Instagram, YouTube et Twitter) revendique désormais 2,5 millions de vidéos vues par jour. Lancé par Johan Hufnagel (Libération et Slate), Arnaud Maillard (Discovery) et Giuseppe de Martino (Dailymotion), Loopsider a vu le jour avec l’ambition de raconter le monde en images avec des vidéos de moins de 2 minutes.
Avec ce format «cut», Loopsider espère s’imposer durablement face à une concurrence de plus en plus féroce, représentée notamment par Brut et Konbini. Dernière victime en date : BuzzFeed qui a annoncé l’arrêt du média en France début juin, laissant sur le carreau 14 salariés qui seront prochainement licenciés.
Dans un e-mail envoyé à ses collaborateurs, Elon Musk déclare avoir « été consterné d’apprendre ce week-end qu’un employé de Tesla a commis un important acte de sabotage nuisible sur nos opérations ». Dans ce message, diffusé par des analyses financiers, Elon Musk parle « de changement du code du système de fabrication de Tesla ». Selon Elon Musk, cet ex-employé aurait utilisé de faux noms d’utilisateurs et transmis des données sensibles à des personnes non identifiées.
« L’étendue de ses actions n’est pas encore claire, mais ce qu’il a admis jusqu’à présent est plutôt mauvais. Sa motivation est qu’il voulait une promotion qu’il n’a pas reçue », assure l’emblématique patron de Tesla. « Nous devons déterminer s’il agissait seul ou s’il a des complices chez Tesla et s’il travaillait avec des organisations extérieures ».
« Comme vous le savez, il existe une longue liste d’organisations qui veulent que Tesla meure », poursuit un peu plus loin le patron de Tesla. L’identité du salarié en question n’a pas été révélée. L’entreprise se trouve de toutes évidences dans un contexte tendu. Ces accusations de sabotage surviennent une semaine après l’annonce de la suppression de 9 % des effectifs de l’entreprise, ce qui représente des milliers d’emplois. L’entreprise doit aussi accélérer son rythme de production pour atteindre son objectif de 5 000 Model 3 par semaine d’ici la fin du mois de juin.
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