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Plusieurs mois avant le décollage pour la station spatiale internationale (ISS), Thomas Pesquet a suivi un entraînement intensif au central spatial de la NASA, à Houston (Etats-Unis).
L’astronaute français en a tiré une leçon qui pourrait s’inspirer tous ceux qui travaillent sur des projets de très longue durée:
« J’ai une mémoire qui marche d’une manière spéciale: je ne garde pas les mauvais souvenirs, je n’ai que les bons. Toutes ces choses censées être ‘pas terribles’, comme ces longs mois d’hiver à travailler d’arrache-pied, à Moscou, sans voir ma famille, je n’en garde que du bon. J’ai de la chance d’avoir ce don. […] S’il fallait le refaire, je signerais sans hésiter, même si cela nécessitait encore plus de travail. »
C’est ce qu’explique Thomas Pesquet dans son premier post de blog depuis l’espace, publié ce dimanche 11 décembre.
Dans son article, l’ingénieur français raconte à quel point il était ému à son arrivée sur l’ISS en pensant « à tout le travail accompli » mais dont il ne se rappelle « que le meilleur ».
L’un de ses exercices préparatoires consistait à passer 6 heures dans une piscine en scaphandre. Objectifs? Savoir anticiper tout risque d’erreur technique quand il devra effectuer une sortie dans l’espace — programmée ou d’urgence — et contrôler son niveau d’adrénaline et de stress.
Depuis le 19 novembre, Thomas Pesquet séjourne sur la Station spatiale internationale (ISS) dans le cadre de la mission Proxima.
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Yalayolo Magazine