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Regionsjob, qui évolue depuis 18 ans dans le secteur de l’emploi et de la formation, entre dans une nouvelle phase de développement. Le groupe qui édite des sites comme Regionsjob.com, Cadreo.com ou encore Bdmjob.com, change de nom pour s’appeler Hellowork. Une appellation qui doit mieux représenter ses différentes activités mais aussi plus en phase avec ses nouvelles ambitions européennes.
« Notre objectif est à la fois de consolider notre place en France et de sortir de l’Hexagone pour développer un chiffre d’affaires européen. L’achat de JobiJoba nous permet déjà d’avoir un certain nombres de clients en Europe, et c’est quelque chose que nous souhaitons développer dans les prochaines années », explique Jérôme Armbruster, président de HelloWork. Le groupe ambitionne de prendre une position de challenger sur le marché européen d’ici 3 ans. Pour y parvenir, il s’est doté d’une capacité d’investissement de 30 millions d’euros afin de procéder à des opérations de croissance externe.
Acquérir 5 à 10 structures
« Notre objectif ce n’est pas d’être un leader en Allemagne », insiste Jérôme Armbruster. Il s’agit de commencer à avoir une présence dans différents pays européens. Une fois cette phase réussie, le groupe pourrait envisager l’international au sens large. Les 30 millions d’euros pourront également financer des acquisitions en France. En ce qui concerne le montant, Jérôme Armbruster estime qu’il peut permettre de procéder à l’acquisition de «peut-être 5 à 10 structures selon leur niveau de maturité».
Hellowork vise plutôt des scale-up ou start-up avec une expérience commerciale et une mise de leur produit sur le marché réussies. Et parmi ces entreprises, le groupe cherche plus particulièrement des structures qui apportent un point technologique ou s’adressent à une typologie d’actifs que le groupe ne traite pas du tout ou pas suffisamment, à l’instar des freelances. « En termes de technologie, avec CVCatcher, qui est un produit de JobiJoba, nous avons commencé à nous intéresser à des outils qui viennent se plugger à des SIRH. Il s’agit donc de logiciels RH purs. Nous souhaiterions continuer à investir dans ce domaine», illustre également Jérôme Armbruster. Côté développement interne, Hellowork va continuer à investir dans le Web, le mobile, la big data ou encore la sémantique.
Le groupe a également profité de cette nouvelle phase de développement pour redéfinir les postes de l’équipe dirigeante, parmi lesquels celui de Jérôme Armbruster devenu président en charge notamment du pôle dédié à la croissance externe et qui occupait précédemment le rôle de directeur général. Au sein d’HelloWork, cette position est désormais remplie par François Leverger.
Hellowork emploie 250 collaborateurs et revendique l’utilisation de ses différents sites par plus de 4 millions d’actifs chaque mois.
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Yalayolo Magazine