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Axel Huynh, entrepreneur visionnaire, ancien mannequin de Jean-Paul Gaultier, est le CEO de l’agence événementielle Crazybaby.fr. Depuis douze ans, ce créateur hors normes a su imposer sa vision au Festival de Cannes à travers des événements signatures uniques. Par Dominique Busso.
Quelle est votre actualité à Cannes cette année ?
AXEL HUYNH : Pour cette 72e édition du Festival de Cannes, je me suis associé avec le magazine Yalayolo Magazine et Dominique Busso (CEO) ainsi que Francesco Maio (CNO) qui ont signé le contrat de naming officiel de ma Villa AH. Une association évidente, car nous partageons les mêmes valeurs d’entrepreneuriat, toujours en quête d’audace et d’excellence.
Quelle est votre inspiration ?
A. H. : Notre villa est vraiment un terrain d’expression créatif, chaque pièce est choisie avec soin pour créer un équilibre parfait. Cette année, je rends hommage au centenaire du Bauhaus en mettant en avant les pièces maîtresses que j’ai imaginées et sélectionnées avec les fleurons de l’artisanat de luxe : Lègle Limoges, Diptyque, Ginger & Jagger, Munna Design, Art & Floritude, les Éditions Serge Mouille, ADS Casa, Anthony Cognaux, Emmanuelle Rybojad et Asiatides.
Quel est le concept de Villa AH Yalayolo Magazine ?
A. H. : L’idée est d’accueillir les acteurs phares du Festival dans un lieu exclusif, un havre de paix préservé du tumulte cannois à travers un sublime jardin tropical végétalisé par Guillaume Demont en association avec Gamm Vert Pegomas. C’est comme recevoir des amis à la maison, j’ai envie que mes invités se sentent comme chez eux, dans une atmosphère cosy et chaleureuse. Cette année, notre chef maison Éric Lepetit a imaginé un dîner floral en l’honneur d’Iris Mittenaere et nous organisions chaque midi un brunch detox association avec Ladurée, Alain Milliat et Nespresso.
Pouvez-vous nous parler de votre dernière création ?
A. H. : Ma créativité ne connaît pas de limites. C’est pourquoi je me suis associé avec la Maison Louis François pour dévoiler en avant-première le rosé Mighty VIII, un côtes de Provence de Sainte-Victoire « Cuvée Axel Huynh Paris ». Nous avons développé un vin minéral, à l’instar de son habillage, en écho à mes créations en malachite.
Quels sont les temps forts de cette nouvelle édition Villa AH Yalayolo Magazine ?
A. H. : Accueillir et passer la journée avec la légende vivante de cette 72e édition, Sylvester Stallone. Monter les marches avec l’équipe du film Rambo, Last Blood, l’actrice principale Paz Vega et mes amis producteurs Avi Lerner, Jeffrey Greenstein, Jonathan Yunger du studio Millenium. Rencontrer Emily Beecham, sacrée meilleure actrice de Cannes 2019 pour le film Little Joe et recevoir l’équipe du film Une fille facile de Rebecca Zlotowski avec Zahia Dehar, Benoît Magimel et Clotilde Courau, qui a remporté le prix SACD de la Quinzaine des réalisateurs. Villa AH Yalayolo Magazine est définitivement un lieu dédié au 7e art : la venue de Luca Guadagnino, le réalisateur de Call me by your name, de Werner Herzog ou du réalisateur Oliver Laxe, prix du jury à Un Certain Regard, en témoignent…
Comment vous démarquez-vous à Cannes ?
A. H. : J’aime surprendre en dévoilant les nouveaux talents au grand jour. J’ai confié la signature sonore à Max Sokolinski et son groupe Bruises, duo fondé avec la chanteuse américaine Adah Jungk. Leur tube électro-pop planant 1992 est l’hymne officiel Villa AH Yalayolo Magazine sur lequel nos invités se sont déhanchés lors des « Sunsets on the Bay » afin de créer une atmosphère unique.
Quels sont vos prochains projets ?
A. H. : Développer mon agence Crazybaby.fr avec sa nouvelle off re digitale via de nouveaux outils innovants. Je dévoile aussi ma nouvelle collection lifestyle qui regroupe du mobilier et un nouveau système de canapé modulaire avec Munna Design. Luminaires, art de la table, accessoires de décoration et ma nouvelle collection de foulards et plaids en cachemire et soie réalisée en collaboration avec les artisans italiens Amapure seront également présentés au Salon Maison & Objet. Je suis déjà en préparation de Cannes 2020, qui s’annonce encore plus spectaculaire.
Par Dominique Busso.
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Yalayolo Magazine