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L’âge d’or de Groupon est bel et bien révolu. Le site de bons plans groupés est à la recherche d’un repreneur, après 10 ans d’indépendance comme le révèle Recode. Les dirigeants de l’entreprise américaine et les banquiers qui la représentent seraient en train de contacter des entreprises susceptibles d’être intéressées.
Ce n’est pas complètement une surprise. L’entreprise avait fait savoir il y a déjà quelques temps qu’elle était ouverte à un rachat. Mais ses représentants seraient cette fois-ci dans une démarche particulièrement proactive. Il n’y a pas pour l’instant plus de détails sur l’avancée des démarches ni la raison pour laquelle l’entreprise a décidé d’accélérer le mouvement.
Lancée en 2008, la société Groupon avait en 2011 signé une des plus grandes introductions en Bourse d’une entreprise technologique. Mais après avoir été valorisée à plus de 16 milliards de dollars quand elle était au sommet, l’entreprise en vaut aujourd’hui 2,4 milliards. En 2016 elle avait fait l’acquisition de son rival LivingSocial.
Index Ventures vient d’annoncer une levée de 1,5 milliard de dollars pour ses deux nouveaux fonds. 650 millions de dollars seront consacrés à l’amorçage, via le neuvième fonds du genre pour la société de capital-risque. Un autre fonds, d’un montant d’un milliard de dollars, sera dédié aux scale-up, ces entreprises en phase de forte croissance – le quatrième depuis la création d’Index Ventures en 1996 en Suisse, aujourd’hui basée à Londres et à San Francisco.
Index Ventures est l’un des principaux acteurs du capital-risque en Europe et aux Etats-Unis, qui a investi dans des entreprises telles que Etsy, Facebook, Flipboard, King, Skype, Slack, SoundCloud, TransferWise, Deliveroo et Zendesk. Parmi ses succès récents, on peut citer iZettle, rachetée 2,2 milliards de dollars en mai dernier par Paypal, et les introductions en bourse déjà réalisées de Dropbox, Adyen et Zuora, et à venir pour Sonos.
En 2016, Index Ventures avait levé 550 millions de dollars pour son fonds early-stage, et 700 millions de dollars pour son fonds growth.
Le géant japonais des télécommunications et services internet SoftBank Group a annoncé lundi avoir déposé auprès du Tokyo Stock Exchange (TSE) un dossier pour l’entrée en Bourse de sa filiale japonaise de services mobiles. La société en question a fait une demande préliminaire d’inscription de ses actions à la Bourse de Tokyo.
Le but, en étant cotée, est « d’avoir une plus grande autonomie pour développer sa propre stratégie de croissance » ainsi que pour « déployer ses activités avec agilité dans un large éventail de secteurs tout en recherchant des synergies avec les sociétés de la maison-mère SoftBank Group au Japon et à l’étranger », a expliqué le groupe du milliardaire Masayoshi Son dans un communiqué.
Ce dernier, qui voit de plus en plus son groupe comme un énorme investisseur dans diverses entreprises de technologies et services en ligne du monde entier, avait déjà fait part de son intention de céder une partie du capital de la filiale qui porte la raison sociale SoftBank Corp. Elle continuera cependant d’être une société consolidée majeure de SoftBank Group.
Le calendrier de l’entrée en Bourse de SoftBank Corp dépendra des délais nécessaires au TSE pour conduire les contrôles nécessaires, a précisé le groupe. Il s’agira le cas échéant d’une opération d’ampleur regardée avec intérêt par les acteurs de la place financière tokyoïte, tant SoftBank a joué un rôle majeur dans la transformation du marché japonais des mobiles depuis que SoftBank a racheté en 2006 au britannique Vodafone ses activités nippones mal en point. M. Son les a redressées et en a fait une vache à lait de son entreprise.
Samsung veut rester le leader sur le marché indien des smartphones. Alors que la firme sud-coréenne a vu le Chinois Xiaomi réaliser de meilleures performances en Inde au cours des derniers mois, Samsung entend bien se rattraper pour éloigner la concurrence. Pour cela, le fabricant ne compte pas lésiner sur les moyens. Samsung vient ainsi d’inaugurer une nouvelle usine de fabrication de smartphones à Noida, dans la banlieue de New Delhi. Il s’agit de la plus grande au monde puisqu’elle permettra de fabriquer 120 millions de smartphones par an.
Cette nouvelle usine devrait essentiellement se concentrer sur la fabrication de smartphones populaires dans le pays, à savoir les modèles d’entrée de gamme et de gamme intermédiaire. Toutefois, elle pourrait également produit des smartphones hauts de gamme, à l’image du Galaxy S9. Le marché des smartphones est actuellement en plein essor en Inde. Seulement 425 millions de personnes possèdent un smartphone dans un pays qui compte 1,3 milliards d’habitants. De facto, le potentiel à exploiter est encore immense.
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