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Tesla veut monter en puissance en Chine. Pour cela, la firme d’Elon Musk va augmenter sa capacité de production dans le pays en ouvrant une usine à proximité de Shanghaï, dans la ville nouvelle de Lingang, selon une information des médiaux locaux relayée par Reuters. Ce nouveau site de production sera capable de fabriquer 500 000 voitures par an.
Cette annonce intervient dans un contexte délicat en raison des tensions entre Washington et Pékin. En effet, les deux pays viennent de s’engager dans une guerre commerciale avec l’entrée en vigueur de taxes douanières réciproques sur des dizaines de milliards de dollars de marchandises. Face à la décision de Donald Trump d’imposer des droits de douane de 25% sur 34 milliards de dollars d’importations chinoises, la Chine a répliqué, en décidant notamment de taxer les importations automobiles américaines.
Mauvaise nouvelle pour Elon Musk dans la mesure où Tesla réalise actuellement environ 17% de son chiffre d’affaires sur le marché chinois, avec 15 000 véhicules livrés par an. A cause de la dégradation des relations commerciales entre les États-Unis et la Chine, Tesla vient d’ailleurs de relever les tarifs de ses modèles commercialisés dans le pays. Les prix de la Model X et du Model X ont ainsi été augmentés de plus de 20 000 dollars, selon le site spécialisé dans l’automobile Electrek.
New Delhi, 10 juil 2018 (AFP) – La messagerie mobile WhatsApp s’est payée de pleines pages de publicité dans la presse en Inde pour proposer des «conseils faciles» afin de repérer les fausses rumeurs, après une vague de lynchages dans le pays liés à des «fake news» virales partagées sur sa plateforme à propos de prétendus ravisseurs d’enfants. La messagerie, propriété de la société américaine Facebook, s’était retrouvée sous pression des autorités indiennes pour mettre un terme à la propagation de ces rumeurs qui ont suscité la mort de plus d’une vingtaine de personnes ces deux derniers mois en Inde.
La publicité, publiée dans les principaux journaux en anglais et en hindi, est titrée : «ensemble nous pouvons combattre les fausses informations». Elle énumère 10 conseils aux utilisateurs pour différencier les rumeurs des faits. «Ne prêtez pas attention au nombre de fois où vous recevez un message. Le fait qu’un message soit partagé de nombreuses fois ne le rend pas véridique», préconise-t-elle. Elle suggère également aux utilisateurs de croiser les informations avec celles provenant de sources à la réputation fiable et de ne pas partager de messages s’il existe un doute sur leur authenticité.
WhatsApp va tester en Inde un dispositif pour signaler si un message a été écrit par l’envoyeur ou si celui-ci l’a simplement transféré, mode de propagation habituel des rumeurs. Surfant sur la guerre des prix des opérateurs de téléphonie mobile, les réseaux sociaux pénètrent désormais jusque dans les villages les plus reculés d’Inde. WhatsApp compte plus de 200 millions d’utilisateurs actifs mensuels dans ce pays de 1,25 milliard d’habitants.
Deux ans après le lancement de Pokémon GO, l’euphorie autour du jeu de réalité augmentée, qui consiste à attraper des Pokémon dans l’environnement réel, est retombée. Cependant, si l’engouement n’est plus le même qu’à ses débuts, le jeu n’en demeure pas moins toujours très lucratif. Selon les chiffres de Sensor Tower, Pokémon GO a ainsi généré 1,8 milliard de dollars de revenus en l’espace de deux ans, soit 2 millions de dollars par jour. La barre du milliard de dollars avait été franchie en janvier 2017, sept mois après sa sortie.
Si le jeu développé par Niantic est accessible gratuitement, il génère des revenus via des achats complémentaires permettant de faciliter le quotidien des chasseurs de Pokémon. D’après Sensor Tower, ce sont les Américains et les Japonais qui ont dépensé le plus d’argent, avec respectivement 607 et 500 millions de dollars injectés dans l’application. Le Top 5 des pays les plus dépensiers est complété par l’Allemagne (96 millions), le Royaume-Uni (77 millions) et Taïwan (48 millions). Le jeu devrait rapidement dépasser les 2 milliards de dollars de revenus, d’autant plus qu’il doit être lancé en Chine très prochainement.
Recrutimmo a été lancée en 2016 par Antoine Mesnard. L’entreprise revendique 30 000 offres d’emploi et 15 000 CV actifs déposés sur le site. Avec cette levée, elle souhaite accélérer sa croissance, continuer d’enrichir son offre en termes d’annonces et de profils et développer de nouveaux services, annoncés pour la entrée. Parmi ses autres priorités, Recrutimmo a prévu d’accroître sa communication, sa force commerciale et ses capacités technologiques.
«Cette levée de fonds est une formidable opportunité pour accélérer notre développement tout en continuant à maîtriser notre structure de coûts», explique Antoine Mesnard dans un communiqué.
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