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Quand le DG de Facebook, Mark Zuckerberg donne à ses employés une évaluation de performance, il veut savoir s’ils sont prêts à être remplacés.
Ce n’est pas aussi machiavélique que ça en a l’air.
Lors d’une interview en février publiée récemment, entre le fondateur de LinkedIn Reid Hoffman et Mark Zuckerberg pour le podcast de Hoffman, Zuckerberg explique comment il s’est adapté au rôle de DG.
Ce dernier a fondé Facebook lorsqu’il était étudiant à Harvard en 2004 et c’est en 2008 que le phénomène a commencé à prendre de l’ampleur pour devenir une entreprise mature en 2008. Pour le contexte, Facebook avait terminé l’année avec 450 employés, 272 millions de dollars de revenus, pour une perte de 56 millions de dollars. En 2016, Facebook avait plus de 17.000 employés et rapportait 27,6 milliards de dollars de chiffre d’affaires, avec un bénéfice net de 10,2 milliards de dollars.
Reid Hoffman, qui était parmi les premiers investisseurs de Facebook, a dit à Mark Zuckerberg qu’il avait été très tôt impressionné par la manière dont Zuckerberg avait un instinct pour constamment recruter, en vue de soutenir la croissance de l’entreprise.
Zuckerberg a dit que lors de sa transition d’ingénieur à DG, son expérience dans la tech avait alimenté son développement en tant que leader. Les ingénieurs, dit-il, ont un instinct pour construire lorsque l’inspiration leur vient. En tant que DG, Zuckerberg a rapidement réalisé qu’il ne pouvait pas tout faire par lui-même, alors il a en priorité mis en place un système où quelqu’un était toujours prêt à mettre une idée en action.
Cela a mené à sa conviction que les équipes au sein de Facebook avaient besoin de ne jamais être ralenties par le départ d’un employé, que ça soit parce qu’il change de poste ou d’entreprise.
« Lorsque nous faisons des évaluations de performance avec les gens, beaucoup des évaluations sont juste basées sur ce qu’ils font durant la période de l’évaluation, mais aussi ont-il un bon successeur, leurs fonctions clés sont-elles remplies, est-ce que toutes leurs personnes clés ont des successeurs? » a expliqué Zuckerberg à Hoffman.
En d’autres termes, vous pourriez être performant à un haut niveau — mais si vous décidez de partir demain, est-ce que l’équipe entière s’effondrerait?
« Si vous faites en sorte que ça devienne une grande partie du processus, vous finissez je pense, par vous concentrer à former des équipes solides au sein de l’entreprise, » dit-il.
Vous pouvez écouter l’interview dans son intégralité. Mark Zuckerberg y discute aussi de son parcours et pourquoi il était en tournée aux États-Unis cette année.
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