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Grand reporter photographe de la Formule 1 pendant plus de 30 ans et sculpteur de grande notoriété depuis plus de 40 ans, Emmanuel Zurini a toujours suivi une trajectoire autour de la vitesse. L’égérie de l’horloger Richard Mille s’est frayé un chemin bien à lui dans un monde de la création. Tout ce qu’il conçoit éclate de son regard de génie au travers de ses objectifs et du façonnage de ses mains.
La première course de Formule 1 qu’a photographiée ‘Manou’ Zurini (comme le surnomment ses copains de toujours) était le Grand Prix d’Italie sur le circuit de Monza le 12 septembre 1965 ou le jeune dénommé Jackie Stewart a remporté sa toute première victoire en Formule 1. Manou n’avait que 23 ans à l’époque.
Armé de son Pentax, sa première une de journal était la couverture de la revue sportive belge “Virage Auto” en mai 1966 avec Jochen Rindt (Champion du Monde de Formule 1 à titre posthume en 1970) au volant d’une Alfa Romeo GTA au Circuit de Zolder. Il s’est fait très rapidement un nom sur tous les circuits de l’Europe.
Avec l’agence Diffusion Photos Presse Internationale (DPPI) qu’il rejoint dès 1966, et ayant publié la quantité colossale de plus de 70 000 photos durant sa carrière de photographe, il est un des plus importants et prolifiques de tous les grands reporters photographes du sport automobile. Ses amis-confrères sont ceux du Panthéon de la presse du sport automobile : Thibaut père et fils, Paris, Rives, Cahier, Rosinski.
Grand Prix de France 1970 à Clermont Ferrand, Lotus-72 Rindt, Matra MS-120 Pescarolo & BRM Rodriguez (photo E.Zurini)
Ses amis sont également des noms légendaires de la Formule 1 et des courses d’endurance : Beltoise, Offenstadt, Pescarolo, Depailler, Jabouille, Tambay, Laffite. Manou a été présent à toutes les étapes : la dernière victoire de Ferrari au Mans en 1965 et la première victoire de Ford en 1966; les phénomènes Jarier, Lauda, Prost, Senna, Schumacher, Todt. En tout, plus de 450 Grands Prix photographiés par Manou Zurini.
Grand Prix d’Angleterre 1975, Ferrari 312T Niki Lauda (photo E. Zurini)
Depuis l’année dernière en collaboration avec Johnny Rives, et sur l’idée de Richard Mille, les ouvrages reprenant les courses automobiles voient le jour. Les deux premières editions, ‘Car racing 1965’ et ‘Car racing 1966’ sont sorties en septembre et mars derniers avec d’autres editions à venir. Ces ouvrages rassemblent les récits, les photographies et les anecdotes sur les courses et pilotes de cette époque.
De la photo à la sculpture
Son experimentation avec les formes plastiques a démarré relativement tôt. Dès 1975 il a prêté sa main à la façonnage de sa première sculpture en attaquant un bloc de plâtre. Ont suivi plus de 280 créations de série de 8 à 12 pièces. Ses oeuvres se trouvent chez les collectionneurs des automobiles les plus rares et donc les plus chères an monde : Pierre Bardinon, Peter Mullin, Arturo Keller pour ne citer que ceux-là.
Le Concours d’Elégance de Pebble Beach en Californie a commissionné Zurini pour faire leurs trophées dès 1989. Près d’une centaine de statues en argent massif leurs sont livrées chaque année pour les gagnants des categories et des prix spéciaux de cette réunion la plus prestigieuse au monde.
La McLaren ‘Senna’ par E. Zurini
L’égérie de Richard Mille
Mais le point culminant de son oeuvre doit être sa collaboration récente avec Richard Mille autour des montres en série limitée que l’horloger crée pour accompagner les sorties des modèles de supercar du constructeur McLaren. Déjà, l’horloger de luxe a fait appel à Zurini pour cinq séries de sculptures originales de 12 pièces-chaque pour être offertes aux clients de Richard Mille qui achètent des hypercars de McLaren.
L’horloger suisse, qui sponsorise l’écurie McLaren en Formule 1, est également partenaire dans le marketing des McLaren de route. En octobre 2018 McLaren a présenté son ‘Ultimate Hyper-GT’, la Speedtail, limitée à 106 exemplaires et annoncée au prix de vente de 2 400 000 euros hors taxes. A cette occasion l’acquéreur se verra proposer une montre Richard Mille spécifique à la Speedtail accompagnée d’une création originale correspondant à cette hyper-GT en fibre de carbone d’Emmanuel Zurini.
McLaren, Richard Mille et Zurini : le summum de la vitesse, du luxe et de l’art.
Emmanuel Zurini avec la Mercedes-Benz W125 ‘Caracciola’
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