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Festivals, salons, concerts… le secteur de l’événementiel vit aussi sa digitalisation profitant de différentes innovations à l’instar du cashless. C’est justement aux organisateurs de tous ces événements que Weezevent, startup basée à Dijon et créée en 2008, propose ses solutions de billetterie et d’inscription en ligne, de contrôle d’accès et de paiement cashless.
«Le secteur de l’événementiel se porte bien. Il y a de plus en plus d’événements. Nous le voyons au quotidien, et notamment dans notre sphère startups, avec beaucoup de conférences. On est tous derrière des ordinateurs et il y a un besoin de se retrouver sur des événements ponctuels liés à notre activité. Il y a aussi les événements de partage, les festivals qui ont le vent en poupe », développe Pierre-Henri Deballon, co-fondateur de Weezevent.
Un marché « de plus en plus technologique »
Le secteur de la billetterie, en particulier, est en train de changer de visage. «C ’est un marché sur lequel vous aviez des acteurs historiques qui étaient surtout des réseaux de distribution. Ils dominaient le marché et n’innovaient pas forcément. D’ailleurs, ils étaient devenus un réflexe que l’on retrouvait sur les affiches de spectacle avec la mention ‘achat dans les points de vente habituels’. Ce sont ces réseaux de distribution qui perdent des parts de marché parce que les organisateurs se rendent compte qu’ils ont besoin d’innovation, d’être maîtres de leurs données: qui vient à leur spectacle, quand, comment ils peuvent les recontacter…», explique Pierre-Henri Deballon.
Ainsi, pour lui, la mission de Weezevent est d’amener les meilleures technologies possibles aux organisateurs d’événement. «C’est un marché qui était très distribué et qui devient de plus en plus technologique avec des acteurs comme nous et des sociétés à l’instar d’Eventbrite qui ont initié la voie ».
Weezevent revendique plus de 150 000 clients. 60 % de son revenu provient de la billetterie qui est son cœur d’activité. Une commission est prélevée sur chaque billet vendu, de l’ordre d’environ 5 % du prix de ce dernier. En ce qui concerne le cashless, une commission est prélevée en fonction du nombre de puces activées. L’entreprise propose également des outils de CRM. “Nous enregistrons pas loin de 10 millions d’euros de marge », déclare Pierre-Henri Deballon. Weezevent ambitionne de devenir un acteur international d’ici 2 à 3 ans et ouvre ainsi des bureaux en Espagne, en Angleterre, au Canada ou encore en Suisse.
Retrouvez l’interview complète de Pierre-Henri Deballon, co-fondateur de Weezevent:
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