[ad_1]
S’il y a bien un jour dans l’année où Amazon veut éviter les problèmes, c’est bien lors de son «Prime Day», son opération de super-promotions lancée en 2015 et réservée aux plus de 100 millions d’abonnés premium de la plateforme américaine. S’étalant sur 36 heures, l’édition 2018 a connu une série de couacs. En effet, les consommateurs, présents en masse sur la plateforme pour dénicher les meilleures affaires, ont mis à rude épreuve les serveurs, qui n’ont pas tenu le choc. Selon le site DownDetector.com, qui surveille les troubles du trafic en ligne, la panne a débuté à 21 heures (heure française) et atteint un pic à minuit, avant que la situation ne soit rétablie dans le courant de la nuit. Ce bug technique a entraîné des difficultés de navigation sur le site, notamment lors du paiement des achats.
Outre cet incident sur le site, Amazon doit également faire face à des grèves dans plusieurs pays européens, notamment en Allemagne et en Espagne. Outre-Rhin, un mouvement social a été initié par le syndicat Verdi pour protester contre la pénibilité des conditions de travail des employés de la firme américaine. Le syndicat allemand dénonce les «kilomètres parcourus», les «tâches répétitives» ou encore les positions en «station debout plongée» des salariés. L’heure est également à la contestation près de Madrid où les employés du grand centre logistique d’Amazon en Espagne, à San Fernando de Henares, ont entamé lundi une grève de trois jours pour réclamer une hausse des salaires plus forte que celle proposée par le mastodonte de Seattle. Selon le syndicat espagnol Commissions ouvrières, 1 200 salariés ont pris part à ce mouvement.
Malgré ces problèmes malvenus pour cette journée cruciale, Amazon reste confiant pour battre le record de l’an passé où le «Prime Day» avait rapporté 2,41 milliards de dollars. Selon Coresight Research, ce chiffre devrait progresser de plus de 40% pour cette édition 2018 avec 3,4 milliards de dollars dépensés par les abonnés premium.
Facebook a déposé une demande de brevet concernant un bot de messagerie utilisant l’intelligence artificielle qui permettra à ses utilisateurs de passer et payer leur commande via Messenger, selon CB Insights (paywall).
Un parcours client-type consisterait ainsi à visiter la page du marchand sur Facebook, engager la conversation avec un bot et passer commande dans le chat, sans quitter l’interface de Facebook. L’exemple décrit dans le brevet, dénommé « traitement des transactions de paiement à l’aide de services de messagerie d’intelligence artificielle », expose le process de commande et paiement d’un latte en magasin, de la commande jusqu’au paiement, fournissant le numéro de commande et l’heure de livraison, le tout en utilisant le langage naturel.
Ce brevet vient contribuer aux nombreux efforts du réseau social pour développer les paiements dans Messenger qui, par ailleurs, est de plus en plus utilisé par les marques pour leur relation clientèle. Selon Juniper Research, les bots permettraient ainsi de générer jusqu’à 11 milliards de dollars d’économies dans le retail, la banque et la santé.
Créée en 2009 par Emilie Creuzieux, Monbento propose un catalogue de bentos, ces boîtes repas nippones objets de passion, de design et de mode dans leur pays d’origine. La société propose également des récipients, des couverts, des sacs ou encore des bouteilles isothermes. Reposant essentiellement sur ses activités en France, en Chine et en Allemagne, le chiffre d’affaires de Monbento s’élève à 6,5 millions d’euros. «Cette acquisition du jeune leader français du repas nomade traduit une fois encore la volonté bicentenaire de la famille Peugeot de développer la marque en promouvant une qualité de vie typiquement française», a indiqué Jean-Philippe Peugeot, PDG de Peugeot Frères.
[ad_2]
Yalayolo Magazine
Mars87 Innovative Digital And Social Media Marketing