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- Il est difficile de juger votre propre performance au travail — surtout si votre supérieur ne distribue pas les compliments.
- Mais il y a certains comportements clés que l’on retrouve chez les employés qui excellent. Ces comportements incluent de savoir comment gérer les priorités, se donner des objectifs ambitieux et aider les autres efficacement.
- Nous avons réuni 11 indicateurs qui prouvent que vous excellez au travail —même si vous avez l’impression du contraire.
Il n’est pas toujours facile d’être objectif au sujet de sa performance au travail. Et tous les patrons ne communiquent pas toujours ouvertement leurs retours — positifs ou négatifs.
Mais il existe certains indicateurs de réussite au travail qui sont fiables, qu’importe votre rôle ou l’industrie dans laquelle vous vous trouvez. Voici donc ci-dessous, 11 indicateurs qui prouvent que vous êtes très performant — ou du moins en voie de le devenir.
Vous arrivez aux réunions avec des solutions — pas des problèmes.
Comme l’a rapporté Àine Cain de Yalayolo Magazine, les supérieurs n’apprécient pas quand vous leur rapportez un problème sans rien de plus. Au lieu de cela, ils veulent écouter vos idées sur comment le résoudre.
Par exemple, la CFO de Weebly, Kim Jabal recommande de dire à votre supérieur: « Nous avons une grande opportunité de régler quelque chose qui ne va pas. Voici quelques idées. Je souhaiterais avoir votre avis. »
En fait, Leon Shimkin, directeur général pour la maison d’édition Simon and Schuster qui est plus tard devenu propriétaire de l’entreprise, avait comme règle que vous ne pouviez pas présenter un problème à une réunion sans que vous ayez d’abord essayé de le régler vous-même. Apparemment, cette règle a aidé à réduire le temps passé en réunion de 75%.
Donc économisez le temps de votre patron et évitez son agacement: réglez le problème, ne vous plaignez pas.
Vous prenez du temps pour apprendre.
Beth Comstock, ancienne vice-présidente de General Electric, dit qu’elle dédiait 10% de son temps de travail à ce qu’elle appelle la « découverte. »
Lors d’un entretien avec l’éditeur en chef de LinkedIn, Daniel Roth, Comstock a dit: « Puis-je passer 10% de mon temps par semaine à lire, aller sur des sites comme Singularity, TED, discuter avec des gens, aller à des évènements dans mon secteur, demander au gens: quelles tendances voyez-vous? De quoi êtes-vous inquiet? Qu’est ce qui vous emballe? »
De cette façon, vous vous assurez de rester créatifs et de ne pas être pris au dépourvu quand votre secteur évolue.
Vous ne passez pas toute votre journée sur votre messagerie .
Envoyer et parcourir ses mails peut vous donner l’impression que vous en faîtes beaucoup — mais les meilleurs employés savent que ce temps est mieux utilisé autre part.
Charles Duhigg, un journaliste du New York Times qui a fait des recherches sur le sujet de la productivité pour son livre publié en 2016, « Smarter Faster Better, » dit qu’il mesure sa productivité quotidienne par le nombre de mails qu’il envoie. Moins il en envoie, plus il est productif.
Dans un entretien pour le Peak Work Performance Summit, Duhigg a dit au psychologue Ron Friedman, « Vous pouvez être occupé toute la journée et ne jamais vraiment être productif. » Il ajoute: « Vous et moi savons que nous pouvons passer toute la journée à répondre à des mails et arriver à aucun message non lus, en ayant l’impression d’avoir travaillé chaque minute et sans avoir réellement fait quelque chose. Vous pouvez faire ça toute votre vie. »
De la même manière, l’expert en gestion de temps Laura Vanderkamn, a écrit en 2015 dans son livre « I Know How She Does It »: « [Vous] n’arriverez jamais au bout de votre boîte de réception. Mieux vaut réaliser que tout ce à quoi vous n’avez pas répondu après une semaine sera perdu ou reviendra vers vous sous forme de messages ou appels. »
Vous pouvez dire ‘non’ à votre supérieur — sans être irrespectueux.
Vous ne devez jamais formuler un « non » direct à votre supérieur quand il vous assigne un projet. La clé, d’après Michael Kerr, un orateur en commerce international et auteur de « The Humor Advantage, » est de trouver comment vous pouvez dire « oui.
Par exemple, peut-être que vous êtes débordé par d’autres projets. D’après Lynn Taylor, une experte américaine du lieu de travail et l’auteur de « Tame Your Terrible Office Tyrant: How to Manage Childish Boss Behavior and Thrive in Your Job, » vous pourriez dire:
« Je serais très heureux de faire ce projet, mais cela voudrait dire que [l’autre projet sur lequel vous travaillez] devra être reporté à demain, parce que j’allais justement passer les trois prochaines heures à travailler dessus. Est-ce que vous voulez que je le reporte? »
En d’autres termes, vous adaptez votre réponse pour montrer que vous donnez le meilleur de vous-même — ce qui est certainement dans le meilleur intérêt de votre patron.
Fixez-vous des objectifs ambitieux.
Le cabinet de conseil en développement de leadership Zenger/Folkman a réuni plus de 50.000 évaluations à 360 degrés durant cinq ans sur plus de 4.000 individus employés.
Il ont examiné plus spécifiquement les comportement de leadership qui distingue les « bons » employés (ceux classés du 40ème au 70ème centile) des « meilleurs » employés (ceux classés du 90ème centile à plus).
Les résultats ont montré qu’un comportement en particulier avait la plus grande influence sur les notes individuelles des employés: se fixer des objectifs ambitieux.
Jack Zenger et Joseph Folkman, les CEO et président de Zenger/Folkman respectivement, ont écrit dans le Harvard Business Review: « Le meilleur contributeur individuel se fixe — et atteint — des objectifs ambitieux qui vont au delà de ce que les autres pensaient possible. Il encouragent aussi les autres à obtenir des résultats exceptionnels. »
Vous tenez vos promesses.
Dans leur livre « Spark, » trois militaires vétérans américains et consultants en leadership expliquent comment les employés à n’importe quel niveau d’une organisation peuvent faire preuve de comportement de leader. Un de ces comportements est d’avoir un petit écart entre « dire et faire, » qui est « l’écart entre vos paroles et vos actions. »
Maintenir un petit écart entre dire et faire est une manière de gagner la confiance des autres et de montrer le bon exemple pour votre équipe. Même si d’autres personnes n’arrivent pas à respecter les délais ou garder leurs promesses, les auteurs de « Spark » disent qu’il est important que vous y arriviez.
Vous vous assurez de contribuer à la réussite de votre supérieur.
Taylor recommande de « revoir » périodiquement vos responsabilités professionnelles pour vous assurer que vous faites véritablement partie intégrante de la réussite de votre supérieur.
Prenez un jour 15 minutes pour réfléchir sur quoi vous travaillez exactement. « Est-ce-qu’un travailleur intérimaire pourrait faire ce que vous faites et satisfaire votre supérieur? » dit Taylor. Si la réponse est oui, ou même peut-être, vous pourriez avoir besoin de faire plus d’efforts.
Et si la réponse est non? Vous êtes sur la bonne voie.
Vous surveillez votre propre performance.
La consultante en marketing Erica Gellerman a dit qu’une habitude quotidienne simple a aidé son client à obtenir une série d’augmentations et de promotions — et qu’elle peut aider n’importe qui. Tout ce que vous avez à faire est de passer 10 à 15 minutes chaque vendredi à réfléchir à votre semaine.
Vous énumérez: la situation, ce qui était nécessaire de faire pour améliorer la situation, ce que vous avez fait, le résultat, la réponse à vos actions et votre niveau de satisfaction. De cette façon, vous avez des preuves concrètes à présenter à votre supérieur quand vous demandez une augmentation ou une promotion.
Et une habitude encore plus simple qui peut vous aider à booster votre performance, d’après une étude, est de prendre 15 minutes à la fin de chaque journée de travail pour noter quelques idées.
Vous êtes capable d’aider les autres sans avoir de burning out.
Le livre bestseller du psychologue de Wharton, Adam Grant publié en 2013, « Give and Take, » a introduit le concept de « givers, » ou les personnes au travail qui aident à faciliter la réussite des autres.
Grant dit que les givers ont davantage tendance à exceller au travail — mais seulement s’ils savent comment donner efficacement. Par exemple, vous pouvez réservez un moment pour aider vos collègues, pour ne pas être constamment interrompu et perdre le fil. Ou vous pourriez adoptez des façons de faire en accord avec vos objectifs et ceux de votre entreprise.
Dans « Give and Take, » Grant cite l’exemple de Kat Cole, présidente et COO de Cinnabon, qui a commencé comme serveuse à Hooters et a grimpé les échelons grâce à son comportement. Quand on avait besoin de quelqu’un à remplacer temporairement, un serveur ou même un chef, Cole en endossait la responsabilité. Au final, elle avait rempli tellement de rôles différent qu’elle a été sélectionnée pour aider à l’ouverture de restaurants Hooters à l’étranger.
Les gens essayent de vous inclure dans leurs réseaux.
Grant dit que créer seul votre réseau ne vous aidera pas à avancer dans votre carrière. Tandis qu’il est très certainement utile de former des relations avec les personnes dans votre secteur, une meilleure alternative est de travailler dur pour laisser ces relations se former naturellement.
Écrivant dans le New York Times, Grant dit qu’il a appris le concept à ses dépens: « J’ai une fois envoyé un mail à un entrepreneur que j’admirais et n’ait rien reçu en retour. Quelques mois plus tard, il m’a appelé de nulle part, avec aucun souvenir sur le fait que j’avais essayé d’entrer en contact avec lui auparavant. Il avait participé à une conférence que j’avais donné et a souhaité me rencontrer — il avait désormais la preuve que je pouvais apporter quelque chose. »
En d’autres termes, quand vous remarquez des gens qui essayent d’apprendre de votre expertise, vous savez que vous êtes sur la route vers le succès.
Version originale: Lea Bruel/Yalayolo Magazine UK
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