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1083 recycle les fringues de pompiers !
La manufacture Regain récupère les pulls usés de sapeurs-pompiers des SDIS partout en France, fait le tri et supprime les corps durs pour que la marque 1083 puisse confectionner des vêtements dans ses ateliers situés dans le Tarn. Les bonnets et écharpes de la collection sont composés à 65% de pulls de pompiers recyclés et sont ensuite distribués en circuit court par la marque. La couleur bleu marine des pulls des pompiers est préservée afin de diminuer de 70% le besoin de teinture ; seuls les 30% de polyamide ajouté sont teints.
Jules&Jenn créent des baskets éthiques
Pour une consommation modérée et plus raisonnable, Jules&Jenn ont misé sur un choix de matières éthiques et de qualité pour la fabrication de leurs baskets. Ainsi, le fil utilisé pour tisser une toile résistante provient de bouteilles en plastique et de filets de pêche recyclés. La semelle est quant à elle composée de chutes de pneus directement issues de la chaîne de production. En plus de permettre de surcycler les déchets d’une matière qui n’est pas biodégradable, cela assure aux chaussures une certaine durabilité. En outre, la doublure est composée à 50% de céréales qui n’étaient pas destinées à l’alimentation.
Faja conçoit des portefeuilles en toile et plastique recyclé
Constitués de liège biosourcé provenant de l’écorce de chêne-liège au Portugal et de toile en bouteilles plastiques recyclés, les portefeuilles de Faja veulent réduire la pollution de l’industrie textile. Outre l’utilisation de matières responsables, elle veut engager l’utilisateur dans la chaîne de production en lui permettant de choisir et personnaliser les motifs (wax africaine, tissu japonais ou symboles incas), leur taille, leur position sur le portefeuille, ainsi que leurs couleurs, voire même de créer son propre motif. Les portefeuilles Faja prennent forme par la technique de pliage en origami pour s’affranchir des coutures.
Elia fabrique de la lingerie menstruelle en fibres végétales
Pour limiter les déchets toxiques jetés dans la nature, la lingerie menstruelle Elia sèche et retient l’équivalent de 4 tampons grâce à une épaisseur de tissu de 1,5mm. La culotte se garde toute la journée et remplace une protection hygiénique classique. Elle est lavable et réutilisable pendant des années. Cousues à la main par 10 couturières dans un atelier de fabrication française, ces culottes de règles sont éco-responsables, fabriquées en matières végétales bio. La marque estime à 100 euros par an les économies réalisées sur l’achat de protections hygiéniques.
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