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Sacré coup de pédale pour Coleen, qui vient de réaliser un tour de table de 1 million d’euros auprès d’une cinquantaine d’investisseurs privés, ainsi que Bpifrance, le Crédit Coopératif et la Région Poitou Aquitaine. C’est l’une des dernières startups accompagnées par la plateforme Smartangels avant que celle-ci n’abandonne son activité de crowdfunding. Cette levée permettra à la jeune pousse d’accélérer l’industrialisation de son vélo électrique, qui doit être distribué en Europe dès cet été. Elle sera utilisée pour financer sa chaîne de production, recruter des salariés et développer les réseaux de distribution dans les métropoles françaises et européennes.
Dévoilé au CES de Las Vegas en janvier dernier, Coleen veut réinventer le déplacement en milieu urbain, grâce à son vélo combinant légèreté (18 kilos) et technique. Il est équipé d’un système de démarrage Keyless qui permet de le déverrouiller et le démarrer avec son smartphone, ainsi qu’un écran intégré dans le cadre pour disposer des informations essentielles comme la jauge kilométrique, l’indicateur du niveau de batterie, ou la vitesse. Une offre alternative face aux solutions de mobilité urbaine existantes. « Avec ce produit made in France, nous faisons le pari de la qualité et de la pérennité en maîtrisant les briques technologiques qui nous permettront d’embarquer les évolutions futures dans un ebike au design unique« , explique Audrey Lefort, cofondatrice de Coleen.
De la fabrication à la commercialisation, le vélo électrique de Coleen revendique d’être made in France. De fabrication française, le moteur silencieux de moins de 2,5 kilos intègre l’ensemble des capteurs. Il présente 25% d’autonomie de plus que les moteurs traditionnels. La batterie se recharge, elle, en moins de trois heures pour offrir une autonomie moyenne de 100 kilomètres. La selle en cuir est l’oeuvre de Voltaire, un accessoiriste français de luxe. De quoi justifier un prix correspondant à son positionnement haut de gamme dans le segment des vélos électriques de loisirs : 5990 euros.
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Yalayolo Magazine