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Née dans les années 50, la notion de Responsabilité Sociale et environnementale (RSE) n’est pas seulement une belle notion imprimée sur le papier glacé des rapports annuels. Elle a un objectif : faire en sorte que les acteurs économiques prennent en compte l’impact de leurs activités sur la société et l’environnement. Un concept aujourd’hui définit par la Commission européenne comme « l’intégration volontaire par les entreprises, de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et à leurs relations avec leurs parties prenantes ».
En d’autres termes, les entreprises doivent répondre aux attentes environnementales et sociales de gouvernements et de citoyens de plus en plus exigeants et critiques vis à vis de leurs activités. Et si elles pâtissent communément d’un déficit d’image en la matière, celles du secteur automobile semblent bel et bien avoir intégré la RSE à leurs modèles économiques. Il caracole en tête du classement international 2017 des entreprises responsables de l’agence allemande Oekon, devant 26 autres secteurs.
En effet, à l’heure où la voiture est montrée du doigt comme source de pollution, où les nouveaux modes de transports révolutionnent la mobilité, où les citoyens expriment haut et fort leurs préoccupations environnementales, l’industrie automobile a compris qu’elle avait tout à gagner à mettre en place des politiques sociales et environnementales responsables.
BMW fait figure de pionnière en la matière : elle fut la première entreprise automobile à avoir eu une direction du Développement durable dès 1973. Elle a intégré en 2001 le Programme des Nations Unies pour l’Environnement. Un engagement qui s’est concrétisé, notamment grâce au développement de sa gamme électrique, par une réduction de 40 % des émissions de CO2 des modèles que le groupe allemand a mis sur le marché européen entre 1995 et 2015. Objectif 2020 : atteindre une baisse de 50%.
Les constructeurs automobiles sont des acteurs économiques majeurs sur les territoires où ils sont implantés. Leurs objectifs en termes d’emploi, de formation, mais aussi de soutien à l’éducation, par le biais de leurs fondations notamment, on un impact positif sur leur réputation… et leur performance. Comme elles améliorent le bien être de leurs salariés, comme elles anticipent mieux les risques, réduisent le gaspillage et jouissent d’une meilleure image auprès des consommateurs, les entreprises qui mènent de véritables politiques responsables enregistrent une performance économique supérieure de 13% en moyenne à celles qui n’en font pas. De quoi donner envie de poursuivre leurs efforts.
Cet article est sponsorisé par BMW et a été réalisé par BI Studios.
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