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Les prix de l’immobilier ont encore progressé en 2018, mais nettement moins qu’en 2017, d’après le bilan publié cette semaine par l’Observatoire des prix immobilier (LPI) qui édite chaque mois le baromètre LPI-Se Loger.
LPI relève en effet que dans l’ancien les prix ont en moyenne progressé de 3,5% en 2018 et de 2,3% dans le neuf.
Si on regarde sur les quatre dernières années (+0,3 en 2015, +2,9% en 2016 et +4,4 en 2017), c’est la première fois que la hausse des prix ralentit.
Au delà des prix, l’Observatoire constate un net recul des transactions de 5,8%, dans l’ancien, et ce « en dépit des conditions de crédit exceptionnelles et d’un assouplissement des exigences des banques en terme d’apport personnels », notent les auteurs du rapport.
L’Observatoire remarque également de fortes disparités géographiques qui lui font dire que « la France est coupée en deux », avec une progression des prix dans 40% des grandes villes (Grenoble, Marseille, Strasbourg…), tandis qu’ils reculent dans 25% des cas. Par ailleurs, la hausse des prix est particulièrement notable dans les métropoles de l’ouest du pays (Rennes, Bordeaux, Rouen).
En 2017, les trois plus fortes hausses avaient été relevées à Bordeaux (+12,7%), Brest (+9,3%) et Lyon (+8,5%).
Voici en 2018, les 9 villes de plus de 60 000 habitants qui ont connu la plus forte hausse des leurs prix immobiliers d’après l’Observatoire des prix immobiliers :
7. Avignon (Vaucluse) +10,7%
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Yalayolo Magazine