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12h, l’heure de ta pause déjeuner. Par chance, ton travail est situé juste à côté d’un centre commercial. Tu y passes parce que tu as repéré ce super jean chez Zara. Et la, en te baladant dans la galerie marchande, tu aperçois « LE sac ». Celui qu’il te faut, celui qui irait tellement bien avec ta nouvelle veste, celui qui embellirait tes tenues et qui te ferait passer pour une riche héritière. En plus, il est noir donc il s’accorde avec tout ! Il est si beau. Et par chance, il est soldé ! Tu saisis cette occasion et sors de la boutique, lanière du sac d’emballage à la main. Ça y’est, tu as craqué, tu viens de dépenser une bonne partie de ton salaire dans ce sac hors de prix, tu te demandes en fait si c’était vraiment une bonne idée. Tu ne devais pas épargner ce mois-ci ?
Les achats compulsifs doivent être considérés comme une véritable addiction ; tu ressens les mêmes effets, et les conséquences peuvent être aussi néfastes. Dans le film « Confession d’une accro au shopping » adapté des romans de Sophie Kinsella (qu’on te conseille d’allez voir ou lire de suite), l’héroïne « Rebecca Bloowmood ou Becky » est sérieusement atteinte par cette addiction. Et ce qu’il en résulte n’a rien de bon.
Becky est une passionnée de mode et grande acheteuse compulsive qui ne peux s’empêcher d’acheter tout ce qu’elle trouve branché : sac, chaussures, veste : elle considère tous ces achats comme des investissements : ou du moins, c’est ce qu’elle tente de se faire croire pour se rassurer après ces achats exubérants.
Très vite, elle accumule les dettes à mesure qu’elle accroit sa collection de vêtements. Son endettement agira par la suite sur sa famille, ses amis, son couple, son travail : sur sa vie tout entière.
Le shopping est un anti dépresseur (si si c’est prouvé) : on se sent tellement mieux en serrant les lanières d’un sac en sortant d’une boutique raffinée. L’héroïne du film décrit cette sensation comme « Du beurre qu’on étalerait sur une tartine bien grillée, tout juste sortie du grille-pain ». Et elle a bien raison.
Mais très vite quand le shopping n’est pas contrôlé et que les achats compulsifs sont onéreux – voire vraiment TRÈS onéreux – l’anti dépresseur peut devenir une cause de dépression. Et une cause entrainant une conséquence, tu te retrouves coincé dans le cercle vicieux de la dépendance aux achats, et tu n’y trouves plus rien de drôle.
Alors pour éviter de vivre un jour la même situation que Becky Bloomwood, on te livre les conseils pour modérer tes achats – sans te priver pour autant.
Tiens tes comptes
Les premiers temps, pour les acheteuses compulsives, il est très dur de savoir se limiter. Tout comme Becky, il nous arrive souvent de débarquer dans une boutique par hasard, et de trouver un besoin vital résidant dans l’achat d’un somptueux cardigan qu’il nous faut « absolument ».
En vérité, tu en possèdes surement déjà une demi-douzaine d’autres qui meublent ton dressing, mais que tu n’as sortie qu’une fois parce que la couleur ressort beaucoup moins bien qu’en magasin ; ou que le tissu te parait moins agréable que dans la cabine d’essayage. Stop ! Fais une liste de tout ce que tu as réellement besoin, et permet toi d’acheter uniquement ce qui s’y trouve. Tu peux aussi programmer tes achats dans le temps, ce qui te permet de pouvoir tenir des comptes et de prendre conscience de tout l’argent que tu vas économiser en suivant cette technique.
Offre-toi des cadeaux pour te féliciter de respecter tes engagements
Bon, ce n’est peut-être pas le meilleur des conseils pour te faire arrêter de dépenser compulsivement. Mais il y’a une grande différence entre réduire les achats et éliminer ceux qui ne sont pas un besoin « vital », et acheter de temps en temps un joli tee-shirt. Parce qu’il faut bien s’habiller et on sait tous que se priver de quelque chose peut avoir des effets très néfastes (en tout cas, on y croit dur comme fer).
Alors, comme une personne au régime se féliciterait de suivre une alimentation raisonnable en faisant un petit écart une fois de temps en temps, tu peux t’autoriser à te faire plaisir quand tu vois que tes efforts payent.
N’achète que ce que tu vas réellement mettre
Avant tout achat, demande-toi objectivement « Ai-je VRAIMENT besoin de ça ? » « Est-ce que tu n’as déjà pas 17 jeans empilés dans ton armoire ? » . Et non, répondre : « oui, mais aucun de mes jeans n’est bleu ciel avec une fleur sur la cheville », ce n’est pas une réponse sincère.
Reconsidère tes achats et tiens-toi en a ce que tu vas réellement mettre. Pas besoin d’acheter une douzième robe de soirée alors que tu ne sors jamais ; ni une huitième paire de talons si tu détestes en porter. Fais des achats utiles et investis dans la qualité de ceux-ci.
N’achète pas si tu ne peux pas acheter
Comme Rebecca Bloomwood, on trouve aussi que l’autorisation de découvert c’est une invention géniale. Après tout, comment on pourrait acheter cette fabuleuse paire d’escarpins hors de prix sinon ?
Malheureusement, dès l’achat consommé, on se rend bien compte qu’il va falloir rembourser le découvert ; et remboursement veut dire privation dans la plupart des cas. Alors, ne te risque pas à passer 2 mois en comptant le moindre de tes euros dépensés, tout ça parce que tu as voulu acheter des choses que tu ne pouvais pas te permettre, et que tu dois maintenant les rembourser. Privilégie les achats intelligents, et n’achète que lorsque tu le peux vraiment.
Vise la qualité, avant la quantité
Considère tes vêtements comme des investissements : c’est eux qui composent ton apparence, qui quelquefois définissent ta confiance en toi, qui te permettent de te démarquer des autres et d’adopter un style bien particulier.
Le tout est d’investir dans quelques pièces qui te ressemblent et qui pourront te définir. Mise sur la qualité des vêtements que tu achètes, plutôt que d’en acheter une tonne, pour au finir, les laisser plier dans une armoire sans jamais les porter (ou pire, ne même pas les déballer).
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