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La recherche vocale est amenée à faire partie intégrante du paysage SEO.
Alors que Google déclare que 20 % des recherches sur l’application Google sont vocales et que les assistants virtuels (Google Home, Amazon Echo…) se répandent, cette pratique apparaît comme un enjeu de plus en plus important.
Mais, en quoi peut-elle bousculer les pratiques de référencement naturel ? Quelles sont ses spécificités ? Et, surtout, comment optimiser une page web pour la recherche vocale ?
Par chance, au cours d’un « Google Webmaster Hangout », John Mueller (analyste chez Google) a donné plusieurs précisions intéressantes sur le sujet :
Voici un petit récapitulatif des enseignements que l’on peut en tirer.
Utiliser des données structurées
Les données structurées sont, plus que jamais, un levier SEO important.
Et leur utilité de ne se limite pas à l’obtention de Rich Snippets pour se distinguer dans les résultats de recherche : John Mueller recommande leur usage pour optimiser vos pages pour la recherche vocale.
L’objectif : décrire le mieux possible ce que contient la page et les sujets qu’elle aborde… Ce que les micro-données font à merveille.
Un contenu qui sonne « naturel » à l’oral
La recherche vocale implique l’utilisation d’un langage oral, parfois très différent de celui que l’on utilise à l’écrit.
En d’autres termes, plus la formulation de votre contenu se rapproche de l’élocution naturelle d’une personne, plus il est susceptible de correspondre précisément à la question posée par l’internaute.
Imaginons une personne demandant « Quelle est la plus haute montagne du monde ? » à Google Assistant ou à Siri.
Comparons maintenant deux réponses correctes, mais formulées différemment :
- « L’Everest est la plus haute montagne du monde »
- « Le sommet dont l’altitude est la plus élevée est l’Everest »
Pour schématiser, la première réponse est plus directe et « naturelle » que la seconde, ce qui favoriserait certainement son référencement pour la recherche vocale.
Éviter les formats « compliqués »
Parfois, la réponse à une question est exprimée par un format « original » (comprenez par là qu’il ne s’agit pas de simple texte) :
- Un tableau ;
- Un graphique ;
- Une liste de liens menant vers des sources d’information…
S’il n’y a rien de mal à cela (un tableau est par exemple un excellent moyen de représenter des données complexes de façon claire, et est un bon moyen d’obtenir un Featured Snippet), la recherche vocale n’est pas friande de ce type de contenu.
Pour bien se référencer sur les requêtes orales, mieux vaut favoriser des formats simples : par exemple, la question en guise de titre et la réponse en un court paragraphe (juste en dessous).
Ce qui ne veut pas dire que les simples pages « question-réponse » sont l’avenir du référencement naturel…
Ne pas sur-optimiser
John Mueller nous met en garde contre la tentation de sur-optimiser pour la recherche vocale.
En effet, ceux qui voudraient créer des pages longues d’un seul paragraphe visant exclusivement les requêtes vocales sont prévenus : Google ne voit pas cela d’un très bon œil.
Les pages ayant une vraie valeur ajoutée et un contenu important sur le fond (pas seulement sur la forme !) seront donc toujours privilégiées.
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