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Bien que les experts du monde entier s’accordent à dire que l’Afrique sera le continent de demain depuis de nombreuses années, il continue cependant largement de se développer dans l’ombre des États-Unis, qui rayonnent avec les GAFAM et la Silicon Valley, l’Asie, avec les BATX, et de l’Europe, avec notamment Londres, Paris et Station F. Pour changer la donne, Christian Kamayou a décidé d’agir pour donner l’opportunité aux start-up africaines de briller en Afrique, mais aussi à l’international.
Dans ce sens, il a créé MyAfricanStartUp, une plateforme qui vise à promouvoir l’entrepreneuriat africain en facilitant la mise en relation des start-up africaines avec les médias et les investisseurs. Dans la continuité de cette initiative pour épauler les jeunes entrepreneurs africains, MyAfricanStartUp réalise un palmarès annuel des «100 start-up africaines où investir». Cet indicateur permet ainsi aux investisseurs d’identifier les pépites africaines pour les accompagner dans leur développement.
En Afrique, Christian Kamayou estime que l’Afrique du Sud, le Kenya, le Nigeria et le Rwanda sont des piliers de l’entrepreneuriat africain sur lesquels les entrepreneurs doivent s’appuyer pour faire rayonner l’Afrique à l’échelle mondiale. Pour mettre la Tech africaine sur le devant de la scène, des initiatives émergent également en Europe, notamment en France. En janvier, le fonds de capital-risque Partech a lancé un fonds de 100 millions d’euros pour faire décoller les jeunes pousses africaines avec des tickets initiaux compris entre 500 000 euros et 5 millions d’euros. Avec la multiplication de ces structures, les entrepreneurs africains espèrent marcher dans les pas de la plateforme e-commerce Jumia, considérée comme «l’Amazon africain», qui est devenue la première licorne africaine.
A l’occasion du sommet des Napoleons qui s’est tenu début janvier à Val d’Isère, Christian Kamayou a exposé son projet ainsi que sa vision de l’entrepreneuriat africain.
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